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La danseuse prostituée dite « Ouled Naïl », entre mythe et réalité (1830-1962). Des rapports sociaux et des pratiques
sinon pour solas le bougiotte, un de mes enseignants en france qui etait officier marin a l'epoque coloniale m'avait confier que les marins en venant en algerie préféraient accoster a bougie par rapport aux autres ports.
devine pourquoi !
stp cesse d etre ridicule
tu connais l histoire du chasseur..
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ou sinon a part ce qu il t a chuchote a l oreille.....a t il ecrit une these academique sur le sujet que tu evoques
gallek mon enseignant en france au college ou au lycee
TU N AS TOUJOURS PAS REPONDU
non ce n'etait pas une vermine, il etait un gauchiste et sympathisant de la révolution algérienne.
l'appelé de la fitna te dis juste pourquoi tu n'as pas pipé un mot quand ton ami du dechra se défoulais sur les nailis (symbole des arabes en algerie) ya le faux dziri.
AYA MONTRE NOUS OU JE ME SUIS DEFOULE SUR CES GEZANETTES ET OU LES AI JE TRAITE DE CE QUI EST DECRIT ET CONNU
A PART TOI QUI COLPORTE CE QU ON LUI SUSSURE A L OREILLE
The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill
le génocide des «Ouled Riah» par l'armée coloniale française (1845)
Les Enfumades de Ghar-el-Frachih. Les Algériens avaient décidé alors d’avoir leur propre sort entre leurs mains en se soulevant contre le farouche colonisateur et les affreux actes de barbarie commis par des troupes armées issues pourtant d’une nation dite «civilisée».
Ils étaient savamment menés par des sanguinaires qui avaient pour noms à l’époque, Cavaignac, Saint-Arnaud, Cassaigne, Pelissier et autres Bugeaud…Mais bien avant cela, les Algériens auront eu le temps de payer le prix fort du sacrifice tout en subissant les pires humiliations de la part des soldats français, forts de leur imposant arsenal militaire face à la seule volonté et farouche détermination d’un peuple opprimé.
Ainsi, dans les fins fonds de la région du Dahra, au cœur de laquelle est implantée Mostaganem, des crimes de guerre abominables et sans précédent ont été perpétrés par l’armée française contre quelque 1 150 habitants indigènes de la tribu des « Ouled Riah », dans la commune de Nekmaria, à l’extrême Est de la wilaya de Mostaganem.
Il s’agira d’une importante opération d’enfumade de femmes, enfants, nourrissons, vieillards et hommes sans défense au fond des sinistres grottes où a eu lieu l’un des plus graves génocides que l’histoire de l’humanité ait connu jusqu’à présent et ce, sous l’ordre de Pelissier, sur instruction de l’administration centrale d’alors.
Pour la conquête totale de l'Algérie, Bugeaud mena à partir de 1841 une « guerre de ravageur » fondée sur la razzia et la dévastation systématique des régions insoumises. En 1845, la guerre reprend un peu partout dans les « régions pacifiées » à l'appel des confréries.
À partir d'avril 1845, le résistant Boumaza est déterminé à continuer la lutte, appuyé par la tribu des Ouled Riah. Il défait la tribu des Sendjas, collaborateurs des français et élimine leur agha. Le général Bugeaud réagit : il envoie cinq colonnes en différents points du territoire concernés par l'insurrection. Ces colonnes infernales sèmeront la désolation.
Le général d'Abouville de la colonne de Sétif, le général Marey, commandant les troupes de Médéa, auxquelles s'ajoutent trois colonnes d'Orléansville (actuelle Chlef) confiées aux colonels Ladmiraut, Pélissier et Saint Arnaud.
Le colonel Pelissier dirige sa colonne en vue de la répression des Ouled Riah, alliés irréductibles du grand chef de la résistance Boumaza. Les combats sont d'une rare violence en regard des moyens matériels et humains dont disposent les troupes françaises. Les populations n'ont d'autre choix que de se réfugier dans des grottes appelées « Frachih ». A noter que les dites grottes ; profonde d’environ cent quatre-vingt mètres ; sont creusées dans le plâtre et non dans le calcaire comme tant d'autres.
Elles sont constituées de galeries sans ramifications latérales et à peu près rectilignes... Ce sont donc des couloirs obscurs longs d'environ 200 m. Les Ouled Riah utilisent de longue date cet abri séculaire leur servait à échapper aux mehallas des deys qui venaient ramasser les lourdes impôts imposés à la population locale. Alors le colonel Pelissier charge des médiateurs arabes d'établir un dialogue avec les chefs tribaux pour négocier un retrait en échange de la soumission des Ouled Riah pour isoler le chef de l'insurrection Boumaza.
Les émissaires essuient un refus.
C'est alors que Pelissier ordonne d'amasser des matières combustibles devant l'ouverture des grottes, en application des recommandations du général Bugeaud : «Si ces gredins ne se retirent pas des grottes, enfumez-les comme des renards.» Le lendemain, une compagnie d'hommes du génie et des tirailleurs pénètre dans ces grottes pour y mettre le feu. Un courant d’air active le foyer et entraîne à l’intérieur un flux brûlant de fumée. Près d'un millier de femmes et d'enfants ont été ainsi exterminés par le feu en ce triste 20 juin 1845.
Un soldat a donné, dans une lettre, le récit de ce qu’il vit la nuit et le matin.
un colonel français reconnait avoir torturé en Algérie
Antoine Argoud avoue avoir pratiqué la torture, des actes de barbarie, des exécutions sommaires contre les Algériens sous-entendant qu'il respectait une sorte de code moral de la torture mêlant philosophie roublarde et christianisme de bistrot ; le tout enveloppé, couvert, justifié, motivé par des principes d'une civilisation occidentale funeste dont le malheur et l’inhumanité sont d’avoir tué l’homme quelque part.
les nailias vous êtes des prostituées a défaut des guezanetes,seule une région et immunisée de ces tares.seul sidi valoi disait la bonne aventure,d'ici bas et dans l’au delà pour cette région
Dernière modification par ice berg, 05 août 2019, 22h58.
regarder cette vidéo de propagande coloniale contre l'école coranique .....
la colonisation française cherche a preuve que les algérien ne sont pas civilisé se sont eux les occident qui ont porter la civilisation en Algérie.
pendant l'occupation allemande de 40 a 45 les fançaises ont subits aussi le viol de la par des criminel nazis,chuuuut tes maîtres ne parlent pas de prostitution,et pourtant ...il y'a qui se sont livrées de leur plein grès d'autre pour la survie.sans parler du débarquement des alliers,
dans ta bibilio il doit manquer beaucoup de livres sur la prostitution a travers le monde puisque la tienne ne se limite qu'aux naillias
Dernière modification par ice berg, 05 août 2019, 23h35.
Un extrait d'une analyse pertinente à contre courant de l'histoire officielle et de la propagande dans les manuels scolaires Algériens, propos de Lydia Ait Saadi Bouras, également à visionner en entier lors d'un colloque, elle dit ceci:
Pour entrer dans le détail, en Algérie, la guerre d'indépendance représente le tronc central de l'enseignement en histoire qui est enseignée dès l'âge de huit ans.
Ce récit national autour de la guerre et de la période coloniale à sensiblement évolué depuis l'indépendance.
En effet, jusqu'en 1990, seuls les martyrs faisant figures de héros et avaient une place dans les manuels scolaires algériens. Ainsi même Messali Hadj, le père de l'idée d'indépendance y était à peine évoqué. Au début des années 1990, après le basculement politique algérien et l'arrêt du processus électoral, il sera fait appel à Mohamed Boudiaf, entré en dissidence et exilé au Maroc, pour devenir le président du Haut comité d'Etat, l'organe provisoire chargé de gérer le pays. Mohamed Boudiaf va être accueilli en grande pompe.
Dans la foulée, on va faire revenir dans le récit scolaire d'anciens protagonistes de la guerre d'indépendance comme Aït Ahmed, Ben Bella, Ferhat Abbas (présenté pour sa part comme assimilationniste francophone).
L'enjeu était, dans l'urgence, de légitimer le retour au pays de ces “héros oubliés” bannis après l'indépendance; et expliquer aux jeunes générations pourquoi on faisait appel à eux après les avoir effacés de la mémoire dominante. On a donc intégré dans les manuels scolaires tous ces nouveaux revenants en les présentant comme pères de la révolution.
Aujourd'hui encore ce besoin de légitimation reste de mise pour le pouvoir en place issu du FLN-ALN.
C'est ainsi que le “martyr inconnu” ne sera plus l'unique protagoniste de cette indépendance nationale. En revanche, le credo scandé depuis 1962 :
"Un seul héros, le peuple" demeure, certes, malgré tout présent dans ce récit.
Par ailleurs, sur le plan de la définition des origines et de l'identité nationale on assiste, depuis les années 2000, à une mise en perspectives chronologique, voire une re-contextualisation régionale de cette histoire propre à l'Algérie.
Dernière modification par katiaret, 06 août 2019, 12h40.
Symboles des arabes
Bah oui je vais faire tout le forum pour trouver qui dit quoi sur les wled Nail, j'ai que ça à faire, je vais poser un congé payé pour le faire et me farcir tout ça ya le faux arabe
"Que choisir entre la vie et l'honneur? La première est plus belle mais l'honneur est plus eternel!" Ali Gouasmi (Allah y rahmou)
pourquoi cette focalisation ces derniers temps sur tout ce qui est arabo-musulman en Algérie ??
La prostitution le premier métier du monde se pratiquait partout en Algérie en période coloniale et même après, mais la femme "Ouled Nail" par sa beauté se remarquait le plus
Barkahoum FERHATI, l'écrivaine est une Nailia de Boussada, Barkahoum : Ce prénom ne se trouve que dans la région Djelfa-Boussada. Mais vous savez que pour se faire valoir en France pour un intelectuel ou artiste maghrébin il faut qu'il parle de ces sujets là : la prostitution les hamams le voie etc ..
C'est Étienne Dînet qui a collé l'étiquette de "Prostitution" aux femmes des Ouled Naïl. Il s'est installé à Bou- Saada où il est enterré et presque, tous ces tableaux sont inspirés et peints dans les "maisons closes".
Les chercheurs doivent se pencher sérieusement sur l'étude de ce personnage et décortiquer à fond sa liaison intime avec son soi-disant "ami" un Chaâmbi de Metlili Hadj Slimane Ben Brahim.
Personnellement, je doute de sa conversion à l'Islam au vu des ses oeuvres qui frisent la pornographie.
Dernière modification par mage, 08 août 2019, 13h46.
Curriculum vitæ : "Je suis né et depuis... j'improvise !!"
C'est Étienne Dînet qui a collé l'étiquette de "Prostitution" aux femmes des Ouled Naïl. Il s'est installé à Bou- Saada où il est enterré et presque, tous ces tableaux sont inspirés et peint dans les "maisons closes".
Depuis l'origine des Temps et aussi loin que la mémoire collective de l'humanité puisse nous transmettre des souvenirs, l'Homme a toujours créé, dessiné, peint, façonné ou modelé. Au même titre que l'aquarelle, les plus anciennes traces de manifestations artistiques se trouvent sur les murs des grottes préhistoriques. De cette période jusqu'au début du XXème siècle, l'art a toujours eu une dimension figurative, c'est à dire que l'image cherche à représenter et imiter ce que l'on voit que ce soit d'une manière réaliste ou pas.
Figurative signifie que l'artiste s'est essayé à reproduire des scènes représentant l'Homme mais aussi des animaux, la nature ou encore des objets... tout ce quotidien qui l'intriguait ou lui faisait peur même parfois.
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