La ministre de la Culture, Mme Khalida Toumi qui a procédé à l’inauguration était accompagnée de M. Mokhtar Taleb-Bendiab, directeur général de l’IMA et d’autres personnalités du monde de la culture.
Ce dernier déclarera, à cette occasion que «cette exposition a pour objectif de faire connaître au grand public, l’apport des savants arabes à la science universelle», ajoutant que cette exposition, inaugurée en 2005 au siège de l’IMA à Paris sera présentée, après Alger, en Syrie, en Malaisie, à Marseille (France).
Réunissant des objets et manuscrits «éparpillés» à travers tous les musées du monde, cette exposition évoque les différentes découvertes enregistrées durant la période allant du milieu du VIIIe siècle et la fin du XVe siècle et comprend trois sections, en l’occurrence : «Le ciel et la terre», «L’homme dans son milieu» et «Les sciences et les arts».
Dans la première section, sont abordées les disciplines ayant permis d’observer, mesurer, décrire et même prédire, tandis que la seconde rend compte des disciplines relatives à l’être humain, à l’environnement naturel ainsi que les sciences appliquées. Enfin, la dernière section explore les rapports entre théories scientifiques et pratiques artistiques.
Mettant en évidence le génie arabe en matière de découvertes scientifiques, notamment l’élaboration de la première carte du monde arabe, la vérification et correction des mesures astronomiques de Ptolémée, la publication du premier livre arabe sur le calcul indien et le premier livre d’algèbre, par Al Khawarizmi, durant la période 813-833, «L’Age d’or des sciences arabes» met aussi en valeur le premier livre de mécanique arabe, oeuvre des frères Banu Musa, le livre de Ibn Sina (Avicenne) Le canon de la médecine, l’essor de l’hôpital-école de médecine de Damas (1170), la fondation de l’Observatoire de Marâgha (actuel Azerbaïdjan), en 1263, et celui de Samarkand (actuel Ouzbékistan) en 1421. Le rôle des Arabes dans la traduction des grandes oeuvres scientifiques et philosophiques, telle que les «Eléments d’Euclide», ainsi que dans le domaine médical, de Galien et d’Hippocrate par Hunayn Ibn Ishâk, sont également présentés, contribuant ainsi à faire connaître aux visiteurs, qu’ils soient avertis ou profanes ce que furent les sciences arabes
in la Nouvelle Republique
Ce dernier déclarera, à cette occasion que «cette exposition a pour objectif de faire connaître au grand public, l’apport des savants arabes à la science universelle», ajoutant que cette exposition, inaugurée en 2005 au siège de l’IMA à Paris sera présentée, après Alger, en Syrie, en Malaisie, à Marseille (France).
Réunissant des objets et manuscrits «éparpillés» à travers tous les musées du monde, cette exposition évoque les différentes découvertes enregistrées durant la période allant du milieu du VIIIe siècle et la fin du XVe siècle et comprend trois sections, en l’occurrence : «Le ciel et la terre», «L’homme dans son milieu» et «Les sciences et les arts».
Dans la première section, sont abordées les disciplines ayant permis d’observer, mesurer, décrire et même prédire, tandis que la seconde rend compte des disciplines relatives à l’être humain, à l’environnement naturel ainsi que les sciences appliquées. Enfin, la dernière section explore les rapports entre théories scientifiques et pratiques artistiques.
Mettant en évidence le génie arabe en matière de découvertes scientifiques, notamment l’élaboration de la première carte du monde arabe, la vérification et correction des mesures astronomiques de Ptolémée, la publication du premier livre arabe sur le calcul indien et le premier livre d’algèbre, par Al Khawarizmi, durant la période 813-833, «L’Age d’or des sciences arabes» met aussi en valeur le premier livre de mécanique arabe, oeuvre des frères Banu Musa, le livre de Ibn Sina (Avicenne) Le canon de la médecine, l’essor de l’hôpital-école de médecine de Damas (1170), la fondation de l’Observatoire de Marâgha (actuel Azerbaïdjan), en 1263, et celui de Samarkand (actuel Ouzbékistan) en 1421. Le rôle des Arabes dans la traduction des grandes oeuvres scientifiques et philosophiques, telle que les «Eléments d’Euclide», ainsi que dans le domaine médical, de Galien et d’Hippocrate par Hunayn Ibn Ishâk, sont également présentés, contribuant ainsi à faire connaître aux visiteurs, qu’ils soient avertis ou profanes ce que furent les sciences arabes
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