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Les festivités du printemps...
Dans la région de Ouargla, la fête du printemps coïncide avec le premier jour de l’an ouargli.
C’est la période où pointent les nouveaux régimes de dattes, c'est-à-dire à l’équinoxe de printemps.
C’est le maître de l’école coranique qui avertit ses élèves de l’arrivée du printemps.
La tradition veut qu’en cette occasion, on organise un pique-nique. On demande à chacun de contribuer à l’achat de denrées alimentaires. Les élèves apportent également des offrandes en nature.
On charge les denrées sur un âne et, depuis la mosquée, on se rend au pique-nique. C’est le maître d’école qui ouvre le cortège.
Les enfants entonnent des chants religieux, notamment la burda ou chant à la gloire du Prophète, mais également des chants profanes : «mercredi, c’est le printemps / les nouveaux régimes ont poussé des palmiers / Dame Kheïra n’y était pas, elle tourne, elle tourne dans la palmeraie / Bénisse Dieu et l’olive.» On va généralement vers les lieux boisés, notamment à Sidi M’barek où on passe la journée. Tandis que les plus petits jouent, les grands s’occupent à faire la cuisine. On mange et on s’amuse beaucoup, puis on rentre, avant le coucher du soleil, à Ouargla. Le retour se fait toujours par la porte du printemps. Tout le monde se rend à la mosquée. Sous la direction de maître, on récite la fatiha.
- InFoSoir
Dans la région de Ouargla, la fête du printemps coïncide avec le premier jour de l’an ouargli.
C’est la période où pointent les nouveaux régimes de dattes, c'est-à-dire à l’équinoxe de printemps.
C’est le maître de l’école coranique qui avertit ses élèves de l’arrivée du printemps.
La tradition veut qu’en cette occasion, on organise un pique-nique. On demande à chacun de contribuer à l’achat de denrées alimentaires. Les élèves apportent également des offrandes en nature.
On charge les denrées sur un âne et, depuis la mosquée, on se rend au pique-nique. C’est le maître d’école qui ouvre le cortège.
Les enfants entonnent des chants religieux, notamment la burda ou chant à la gloire du Prophète, mais également des chants profanes : «mercredi, c’est le printemps / les nouveaux régimes ont poussé des palmiers / Dame Kheïra n’y était pas, elle tourne, elle tourne dans la palmeraie / Bénisse Dieu et l’olive.» On va généralement vers les lieux boisés, notamment à Sidi M’barek où on passe la journée. Tandis que les plus petits jouent, les grands s’occupent à faire la cuisine. On mange et on s’amuse beaucoup, puis on rentre, avant le coucher du soleil, à Ouargla. Le retour se fait toujours par la porte du printemps. Tout le monde se rend à la mosquée. Sous la direction de maître, on récite la fatiha.
- InFoSoir
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