Des sages ont dit que la plus grande leçon que l’être humain avait apprise de l’histoire, c’est qu’il n’avait jamais rien appris de l’histoire !
Jusqu’à un peu moins d’un siècle, une grande partie du monde arabe et musulman était, symboliquement c’est vrai, unifié dans un seul état, celui des Ottomans.
C’était un géant malade, affaibli et rongé de l’intérieur. Mais la vie circulait encore dans ses veines, et il y avait toujours une chance, ou un risque pour les vautours anglais et français qui tournaient autour, que ce grand corps retrouve des forces et se lève.
Et comme dans une maladie auto-immune mortelle où des cellules immunitaires censées protéger le corps contre des cellules étrangères, se mettent à attaquer d’autres cellules du même corps en impliquant sa propre autodestruction, des Musulmans arabes, membres de ce grand corps malade ottoman, suivent les sirènes du grand vautour britannique et portent les armes contre d’autres Musulmans turcs de plus en plus chauvins et nationalistes.
Ils ne restent aux vautours britanniques et français qu’à facilement dépecer ce corps mourant et à se partager la proie.
Mais comme le montre ,l’expérience de Lawrence d’Arabie, les peuples ne meurent pas si facilement, et les morceaux que les vautours tentaient d’avaler s’avéraient brûlants et immangeables.
De nos jours, de nouveaux vautours arrivent et tentent d’avaler ces morceaux appétissants. Mais les vautours, tout comme les humains, n’apprennent jamais de l’histoire. Plus ils s’acharnent, plus ils se brûlent.
Il est aussi dommage que les Arabes et les Musulmans, quelque soit leur ethnie d’origine, n’apprennent pas, eux non plus, de l’histoire, et certains parmi eux n’hésitent pas à se mettre sous les ailes de ces vautours en croyant qu’ils ne seront pas atteints par leurs griffes.
Jusqu’à un peu moins d’un siècle, une grande partie du monde arabe et musulman était, symboliquement c’est vrai, unifié dans un seul état, celui des Ottomans.
C’était un géant malade, affaibli et rongé de l’intérieur. Mais la vie circulait encore dans ses veines, et il y avait toujours une chance, ou un risque pour les vautours anglais et français qui tournaient autour, que ce grand corps retrouve des forces et se lève.
Et comme dans une maladie auto-immune mortelle où des cellules immunitaires censées protéger le corps contre des cellules étrangères, se mettent à attaquer d’autres cellules du même corps en impliquant sa propre autodestruction, des Musulmans arabes, membres de ce grand corps malade ottoman, suivent les sirènes du grand vautour britannique et portent les armes contre d’autres Musulmans turcs de plus en plus chauvins et nationalistes.
Ils ne restent aux vautours britanniques et français qu’à facilement dépecer ce corps mourant et à se partager la proie.
Mais comme le montre ,l’expérience de Lawrence d’Arabie, les peuples ne meurent pas si facilement, et les morceaux que les vautours tentaient d’avaler s’avéraient brûlants et immangeables.
De nos jours, de nouveaux vautours arrivent et tentent d’avaler ces morceaux appétissants. Mais les vautours, tout comme les humains, n’apprennent jamais de l’histoire. Plus ils s’acharnent, plus ils se brûlent.
Il est aussi dommage que les Arabes et les Musulmans, quelque soit leur ethnie d’origine, n’apprennent pas, eux non plus, de l’histoire, et certains parmi eux n’hésitent pas à se mettre sous les ailes de ces vautours en croyant qu’ils ne seront pas atteints par leurs griffes.


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