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comment sauver la litterature populaire?

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  • #16
    vous savez cela est normal...brassage metissage,il faut sauvgarder ce qu'il y'a de precieux,ce qui est precité fait partie de notre memoire collective...loundja bent elghoul..le malouf comme le signale alya..mais aussi khelifi ahmed ,elbar omar..el majdoub et autre...
    ce n'est pas un phenomene propre a l'algerie, c'est un phenomene mondial d'uniformisation atout les niveaux ..j'espere qu'on finira pas tous par manger des mcdo et de boire du coca....il y'a un travail de sauvgarde...
    au fait savez vous comment on apelle les cardes en chaoui??? GHARDOUS ...cela doit probablement etre un heritage romain du a une apellation latine des cardes!! il y'avit timgad et lambeziz et tebessa et autre!!

    ecoutez le malouf.......le monde se divise en deux:ceux qui ecoutent le malouf et ceux qui ne l'ecoutent pas!!
    « Puis-je rendre ma vie
    Semblable à une flûte de roseau
    Simple et droite
    Et toute remplie de musique »

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    • #17
      Envoyé par Badr59
      Mais si on revient 14 siécles dans le temps; on trouvera q'au maghreb; les arabes parlaient bel et bien l'arabe littéraire d'aujourd'hui qui n'est autre que leur dialécte à eux. Et c'est le mélange de cette langue avec la langue Amazigh qui a donné le dialecte maghrebin...
      ça exprime ce que je pense, à peu de chose près, car dans notre dialecte d'aujourd'hui y a pas que l'arabe et l'amazigh,
      à mon avis (mais je suis pas spécialiste), quand Ismet dit que "l'arabe qui était écrit au Maghreb avant la colonisation française était très proche du dialectal.", cela est vrai justement parceque le dialectal était très proche du classique (litéral), comme c'est d'ailleurs toujours le cas dans certaines regions intérieures du pays et du sud.

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