Pour répondre aux cancres qui prétendent que l'Algérie a été crée par la France coloniale (1830), voici un document historique ou plutôt Le passeport méditerranéen, communément appelé passeport de navire, qui a été créé après que les États-Unis ont conclu un traité avec Alger en 1795. Pendant les premières années de l'indépendance, les États-Unis payaient tribut à l'Algérie, et en échange, par traité, le les passeports permettaient aux navires appartenant à des citoyens américains de faire des affaires dans la région méditerranéenne sans ingérence. En juin 1796, une loi fédérale a été adoptée qui exigeait du secrétaire d'État qu'il prépare un formulaire pour le passeport et qu'il le soumette au président pour approbation. Le document visait également à refléter la neutralité de l'Amérique lorsque d'autres nations étaient impliquées dans des conflits et que le commerce maritime américain était présenté avec des dangers supplémentaires.
Ce document est un passeport méditerranéen festonné pour le navire"Anne"de New York..burthen de 123 41/95e tonneaux ou à peu près, monté sans canons, navigué avec huit hommes, Caleb Johnson, maître ou commandant. Il porte le sceau et la signature originale encrée du président des États-Unis d'Amérique, Thomas Jefferson, et la signature originale encrée du secrétaire d'État, James Madison. Il est contresigné par David Gelston, collecteur pour le port de New York, poste auquel Gelston a été nommé par Jefferson en 1801. Le document est daté du 10 juillet 1802. Il porte le sceau des États-Unis en bas la gauche. Le but de la partie supérieure festonnée était de permettre à la partie inférieure du document de s'adapter à la partie supérieure, contribuant ainsi à prouver l'authenticité du document. La partie supérieure du document porte une gravure non signée d'un phare et de voiliers. Par Zaoui kossay
Ce document est un passeport méditerranéen festonné pour le navire"Anne"de New York..burthen de 123 41/95e tonneaux ou à peu près, monté sans canons, navigué avec huit hommes, Caleb Johnson, maître ou commandant. Il porte le sceau et la signature originale encrée du président des États-Unis d'Amérique, Thomas Jefferson, et la signature originale encrée du secrétaire d'État, James Madison. Il est contresigné par David Gelston, collecteur pour le port de New York, poste auquel Gelston a été nommé par Jefferson en 1801. Le document est daté du 10 juillet 1802. Il porte le sceau des États-Unis en bas la gauche. Le but de la partie supérieure festonnée était de permettre à la partie inférieure du document de s'adapter à la partie supérieure, contribuant ainsi à prouver l'authenticité du document. La partie supérieure du document porte une gravure non signée d'un phare et de voiliers. Par Zaoui kossay

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