Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Il n'y avait pas d'Etat algérien selon De Gaulle

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Il n'y avait pas d'Etat algérien selon De Gaulle

    Il n'y avait pas d'Etat algérien selon De Gaulle.


  • #2



    ​Captionhttps://www.algerie-dz.com/forums/co...EAAAICRAEAOw==


    Code HTML:
    Histoire[modifier | modifier le code]
    
    Époque pré-coloniale[modifier | modifier le code]
    
    https://upload.wikimedia.org/wikiped...dgeTribute.jpg
    Le capitaine Bainbridge versant un tribut au dey Moustapha (v.1800)
    
    L'Algérie et les États-Unis ont une longue histoire de liens positifs. La plus ancienne colonie permanente établie par les Européens aux États-Unis, Saint Augustine en Floride, fondée par les Espagnols le 8 septembre 1565, sous la conduite de l'amiral Pedro Menéndez de Avilés1, la ville est aussi le plus ancien établissement d'origine européenne resté continuellement occupé sur le territoire continental des États-Unis2,3. L'amiral donna à l'endroit le nom de l'évêque Augustin, en souvenir de l'instant où ses équipages avaient vu pour la première fois la terre de Floride, le jour de la Saint-Augustin (28 août)1.
    
    Les puissances maritimes européennes ont payé le tribut exigé par les dirigeants des États pirates d'Afrique du Nord (Alger, Tunis, Tripoli) pour prévenir les attaques sur leur cargaison par les corsaires. Plus couverts par les paiements de tributs anglais après la Révolution américaine, des navires marchands des États-Unis ont été saisis et les marins réduits en esclavage dans les années qui ont suivi l'indépendance. En 1794, le Congrès américain a alloué des fonds pour la construction de navires de guerre pour contrer la menace de la piraterie en Méditerranée. En dépit des préparatifs navals, les États-Unis ont conclu un traité avec le dey d'Alger, en 1797, garantissant le paiement du tribut s'élevant à 10 millions de dollars américains sur une période de douze ans en échange d'une promesse que les corsaires algériens ne dérangeraient pas les flottes des États-Unis. Les paiements de rançons et de tributs aux États pirates s'élevaient à 20 % des revenus annuels du gouvernement américain en 18004.
    
    Le 5 septembre 1795, lorsque les deux pays ont signé le Traité de paix et d'amitié entre les États-Unis et la régence d'Alger, quelques années après la reconnaissance officielle de l'indépendance de la jeune république américaine par la Régence (1783), l'Algérie a été parmi les premiers pays à reconnaître l'indépendance des États-Unis5.
    
    Les guerres napoléoniennes du début du xixe siècle ont détourné l'attention des puissances maritimes pour la suppression de ce qu'ils ont péjorativement appelé le piratage. Mais quand la paix fut rétablie en Europe, en 1815, Alger s'est retrouvé en guerre contre l'Espagne, les Pays-Bas, la Prusse, le Danemark-Norvège, l'Empire russe, et le Royaume de Naples. En mars de cette année, dans ce qui est devenu le Seconde guerre barbaresque, le Congrès des États-Unis a autorisé des actions navales contre la Côte des Barbaresques, les alors indépendants États musulmans d'Alger, de Tunis et de Tripoli. Le Contre-Amiral Stephen Decatur a été envoyé avec un escadron de dix navires de guerre pour assurer la sécurité des flottes des États-Unis en Méditerranée, et pour forcer une fin au paiement des tributs. Après la capture de plusieurs corsaires et leurs équipages, Decatur a navigué dans le port d'Alger, a menacé la ville avec ses armes, et a conclu un traité favorable dans lequel le dey a convenu de cesser les demandes pour le tribut, de payer des réparations pour les dommages aux biens américains, de relâcher les prisonniers américains sans rançon, et d'interdire la poursuite de l'interférence du commerce des États-Unis par des corsaires algériens. À peine Decatur était parti pour Tunis pour faire respecter un tel accord que le dey a répudier le traité. L'année suivante, une flotte anglo-néerlandaise, commandée par l'amiral britannique Edward Pellew, a effectué un bombardement de neuf heures sur Alger. L'attaque a immobilisé beaucoup des corsaires du dey et a obtenu de lui un second traité, qui a réaffirmé les conditions imposées par Decatur. En outre, le dey a convenu de mettre fin à la pratique de l'esclavage des Chrétiens.
    Époque coloniale[modifier | modifier le code]
    
    
    En 1860 à Damas, le leader de la résistance algérienne l'émir Abdelkader a sauvé des massacres la vie de dizaines de milliers de Chrétiens, y compris le personnel du consulat américain. Le président Lincoln a honoré l'Émir Abdelkader comme un grand humanitaire pour cette réalisation.
    
    Le 2 juillet 1957, le sénateur John F. Kennedy s'était prononcé en faveur de l'indépendance de l'Algérie, alors que le pays était sous la colonisation française, le jeune sénateur de l'État du Massachusetts, John Fitzgerald Kennedy devant le Sénat des États-Unis, prononce un discours important, devenu célèbre aux États-Unis sous le nom de The Algerian Speech. Il constitue la première contribution politique se prononçant pour l'indépendance de l'Algérie et émanant d'une figure telle que John F. Kennedy.
    Situation actuelle[modifier | modifier le code]
    
    https://upload.wikimedia.org/wikiped...amed_Yazid.jpg
    Le président John F. Kennedy avec le représentant spécial algérien, M'Hamed Yazid.
    
    En 1979, l'Algérie a fourni la totalité de la force de sa diplomatie et l'influence politique pour garantir la liberté de 52 otages américains en Iran. Le 2 janvier 1981, les otages ont été libérés à la suite d'une médiation algérienne, saluée par les autorités américaines6. Lorsque les États-Unis sont attaqués, en septembre 2001, l'Algérie a été l'un des premiers pays à leur offrir son soutien et a continué à jouer un rôle clé dans la lutte contre le terrorisme. Elle a travaillé en étroite collaboration avec les États-Unis pour éliminer le terrorisme transnational. Le président Bouteflika a salué l'élection du Président Barack Obama et a dit qu'il serait heureux de travailler avec lui à la poursuite de la coopération entre les deux pays. L'intensité de la coopération entre l'Algérie et les États-Unis est illustrée par le nombre et la fréquence des visites de haut-niveau d'importance effectuées par les responsables civils et militaires des deux pays. Les relations entre l'Algérie et les États-Unis sont entrés dans une nouvelle phase dynamique. Bien que caractérisés par une étroite collaboration sur les questions régionales et internationales d'intérêt commun, les liens entre les deux pays sont également définis par l'importance et le niveau de leur coopération dans le domaine économique. Le nombre de sociétés américaines, déjà actives, ou en examen de projets d'entreprises en Algérie a augmenté de façon significative au cours des dernières années, reflétant la confiance croissante dans le marché et les institutions algériennes. Les officiers supérieurs de l'armée algérienne, y compris son chef de cabinet et le secrétaire général du Ministère de la Défense, ont effectué des visites officielles aux États-Unis. L’Algérie a accueilli des visites de l'US Navy et de la Garde Côtière et a pris part avec les États-Unis aux exercices navals conjoints de l'OTAN. L'augmentation du niveau de coopération et d'échanges entre l'Algérie et les États-Unis a généré des accords bilatéraux dans de nombreux domaines, y compris l'Accord de Coopération scientifique et technologique, signé en janvier 2006. Un accord a été récemment conclu entre le Gouvernement algérien et le Gouvernement des États-Unis, qui est entré en vigueur le 1er novembre 2009, en vertu duquel la durée maximale de validité pour plusieurs catégories de visas accordés aux citoyens algériens venant aux États-Unis a été prolongée jusqu'à 24 mois. Un traité d'assistance judiciaire mutuelle et un Accord de coopération douanière sera également signé prochainement.
    
    Le 8 juillet 2012, le Soummam 937 est le premier navire des Forces navales algériennes à se rendre aux États-Unis7.
    T
    Le 20 janvier 2013, le Département d'État américain a émis un avertissement aux citoyens des États-Unis pour l'Algérie en réponse à la prise d'otages d'In Amenas8.

    Tellement un cerveau hors norme chez Degaule qu il est passé comme mauviette en GB quand l Hilter se premenait a Paris

    Les africains ont libéré la France et non pas les Gaulistes .
    Dernière modification par m1111, 07 avril 2023, 13h33.

    Commentaire


    • #3
      Et pourtant pourtant
      de Gaulle s est bien mis à table en face d un gouvernement provisoire algerien
      Pour négocier le cessez le feu
      Anzoul as Always,you're out of control
      Gone with the Wind.........

      Commentaire


      • #4
        Et pourtant pourtant
        de Gaulle s est bien mis à table en face d un gouvernement provisoire algerien
        Moi aussi, je me mets a table avec mon fils, ou est le probleme?

        Commentaire


        • #5
          LA MEME HISTOIRE QUI SE REPETE

          LE ROI DU MAROC NE RECONNAIT PAS L EXISTANCE DU SAHARA OCCIDENTAL



          ET POURTANT

          Code HTML:
          Le Sahara occidental (arabe : الصحراء الغربية) est un territoire de 266 000 km2 du Nord-Ouest de l'Afrique, bordé par la province marocaine de Tarfaya au nord, l'Algérie au nord-est, la Mauritanie à l'est et au sud, tandis que sa côte ouest donne sur l'Atlantique. Territoire non autonome selon l'ONU, cette ancienne colonie espagnole n'a toujours pas trouvé de statut définitif sur le plan juridique depuis le départ des Espagnols, en 1976.
          
          Le territoire est revendiqué à la fois par le Maroc et par la République arabe sahraouie démocratique (RASD), proclamée par le Front Polisario en 1976. Ce dernier est un mouvement dont l'objectif est l'indépendance totale du Sahara occidental, revendication soutenue par l'Algérie3. Devenu un enjeu global illustrant la rivalité entre le Maroc et l'Algérie, le dossier saharien bloque toujours la construction de l'Union du Maghreb arabe (UMA). Le Polisario s'appuie sur un « consensus écrasant parmi les Sahraouis vivant sur le territoire en faveur de l'indépendance et en opposition à l'intégration avec tout pays voisin », tel que décrit dans un rapport de l'ONU en 19754. Le Maroc fonde sa revendication sur les accords de Madrid et sur la base de liens d'allégeance passés entre les tribus sahraouies et les sultans du Maroc. En effet, la position marocaine met en avant l'appartenance du territoire aux différentes dynasties comme les Almoravides, issus de ce même Sahara, et les Almohades dont la monarchie actuelle est l'héritière et qualifie le conflit de relique de la colonisation5.
          
          Depuis le cessez-le-feu de 1991, le Maroc contrôle et administre environ 80 %6 du territoire, tandis que le Front Polisario en contrôle 20 % laissés par le Maroc derrière une longue ceinture de sécurité, le « mur marocain »7,8 devenu aujourd'hui la frontière de facto. La Mission des Nations unies pour l'organisation d'un référendum au Sahara occidental patrouille dans l'ensemble du territoire.
          Histoire
          
          Article détaillé : Histoire du Sahara occidental.Période précoloniale
          
          
          En 1048, des Berbères sanhadjas de l'ouest du Sahara (actuelle Mauritanie) se coalisent sous l'impulsion d'un prédicateur malikite, Abdellah ben Yassin et d'un chef local et fondent le mouvement almoravide. Ils conquièrent et unifient les tribus du Sahara occidental entre 1042 et 1052, puis s'emparent du Maroc actuel (alors éclaté en petits émirats à la suite de la chute de l'empire chérifien des Idrissides) et d'une grande partie de la péninsule Ibérique (Al-Andalus). Les Almoravides ont pour capitale et base Marrakech. À leur chute aux mains des Almohades (1147), le territoire perd son organisation.
          
          À partir de 1514, avec l'avènement de la dynastie marocaine des Saadiens, l'ascendant marocain devient effectif sur le Sahara occidental9. Aux xve et xvie siècles, les Portugais et les Espagnols installent des forts sur la côte, mais en sont chassés après quelques décennies.
          Sahara espagnol
          
          Articles détaillés : Sahara espagnol et Afrique occidentale espagnole.
          https://upload.wikimedia.org/wikiped...otectorate.png
          Sahara espagnol.
          
          En 1884 l'Espagne place ce territoire sous son protectorat ; la prise de contrôle est confirmée par la conférence de Berlin de 1884-1885. Elle établit des comptoirs commerciaux et une présence militaire. Les frontières ne sont pas clairement définies, jusqu'aux traités entre la France et l'Espagne, datant du début du xxe siècle (traité de Paris de 1900, convention de Madrid de 1912 qui fait suite au traité de Fès instaurant un protectorat français). Les tribus locales luttent contre la puissance coloniale avec l'aide du sultan marocain. Cet appui cesse lorsque ce dernier est soumis à un protectorat franco-espagnol en 1912. Le Sahara espagnol est créé à partir des territoires de Rio de Oro et de Seguia el-Hamra en 1924. Il est administré en commun avec le territoire de Cap Juby (Tarfaya), séparément des territoires marocains sous protectorat espagnol. L'Espagne réorganise ces territoires en Afrique occidentale espagnole (1946-1958), puis en Sahara espagnol.
          
          Entre octobre 1957 et avril 1958, le Maroc à la suite de l'indépendance de sa partie nord en 1956, tenta de libérer Ifni, Tarfaya et le Sahara occidental de l'occupation espagnole, en soutenant l'Armée de libération nationale du Maroc sud, formée d'irréguliers marocains et de tribus sahraouies. À l'issue de la guerre d'Ifni, le Maroc récupère quelques territoires (le Cap Juby, aussi désigné comme région de Tarfaya, ainsi que la majeure partie du territoire d'Ifni, excepté Ifni elle-même). Toutefois, l'opération conjointe franco-espagnole – dite en français opération « Écouvillon » – met en échec les irréguliers marocains de l'Armée de libération nationale au Sahara occidental, les forçant à évacuer les villes d'Edchera, Tafurdat et Es-Semara, qu'ils contrôlaient10.
          
          En 1963, le Maroc fait inscrire ce territoire sur la liste des territoires non autonomes de l'ONU. Celle-ci essaie alors, en ordre dispersé de convaincre l'Espagne de décoloniser ce territoire ainsi que Cap Juby et l'enclave d'Ifni, et de négocier pour cela avec le Maroc. La résolution 2072 du 17 décembre 1965, appelant à la décolonisation, est ainsi votée malgré l'opposition de l'Espagne et du Portugal et l'abstention de la France, du Royaume-Uni, des États-Unis et de l'Afrique du Sud. À ce manque de consensus d'une part importante des grandes puissances s'ajoute le conflit ouvert entre l'Algérie et le Maroc, qui culmine dans la guerre des Sables de 1963. De plus, le Maroc et la Mauritanie, non reconnue par celui-là (certains éléments, à commencer par Allal El Fassi, représentant de l'aile droite du Parti de l'Istiqlal et ministre entre 1961 et 1963, espérant former un Grand Maroc qui inclurait cette dernière), ont aussi des revendications territoriales opposées sur ce territoire. De ce fait, les trois voisins du Sahara occidental ne parviennent pas à créer un front commun face à l'Espagne, qui, moyennant concessions (la décolonisation d'Ifni en 1969, conformément à la résolution 2072 de l'ONU), perpétue ainsi sa domination jusqu'à la mort de Franco, en 1975. Le règlement du conflit algéro-marocain et la reconnaissance de la Mauritanie par le Maroc en 1969 permettent d'unifier le front anti-espagnol. Parallèlement, plusieurs groupes locaux se lancent dans la résistance armée aidé par l'armée de libération nationale marocaine11 issue de la lutte populaire marocaine contre l'occupation hispano-française du Maroc.

          Commentaire


          • #6
            Personne ne va lire ton message en HTML, juste pour info...

            Commentaire


            • #7
              Ayoub

              Tout cela explique le complexe des dirigeants algérien vis a vis du Maroc depuis les année 60

              Commentaire


              • #8
                De Gaulle : <à aucun moment, sous aucune forme, il y avait un Etat algérien>>
                tout ceux à qui les algériens ont distribués des gifles finissent par devenir amnésiques ...
                on vous rafraichis la mémoire ...

                liste des consuls de France à Alger :16éme,17 éme et 18 éme siécle .


                ارحم من في الارض يرحمك من في السماء
                On se fatigue de voir la bêtise triompher sans combat.(Albert Camus)

                Commentaire


                • #9
                  De Gaulle le premier président de la France post guerre WW2 l'a dit.
                  Le dernier président de la France en activité vient de récidiver,
                  L'affaire est donc classée,la France est sûre de ça, elle a créé en toute pièce, dans ses frontières actuelles,un pays qui s'appelle l'Algérie,
                  ''Algérie made by la France'' : elle ne le dit ni pour le Maroc ou la Tunisie .

                  Commentaire


                  • #10
                    et évidemment least but not last ,le traité de paix conclu en 1795 entre la régence d'Alger les Etats unis d'Amérique ..
                    les traités de paix se concluent et se signent entre Etats et non pas entre un etat ( si puissant) et rien du tout..



                    ارحم من في الارض يرحمك من في السماء
                    On se fatigue de voir la bêtise triompher sans combat.(Albert Camus)

                    Commentaire


                    • #11
                      ''Algérie made by la France'' : elle ne le dit ni pour le Maroc ou la Tunisie .
                      oooh que si, tu veux qu'on te mette les écrits d'hubert lyautey ?
                      le type qui a crée le royaume du maroc ,son drapeau, ses FAR ,son hymne national , du moins la musique , car les paroles ont été ajoutés à l'occasion de la coupe du monde de football en 1970 , c'est dire l'écart historique avec les Algériens et leur république ...
                      Dernière modification par xenon, 07 avril 2023, 14h10.
                      ارحم من في الارض يرحمك من في السماء
                      On se fatigue de voir la bêtise triompher sans combat.(Albert Camus)

                      Commentaire


                      • #12
                        ils ou le vétérinaire pour sortir à de gualle les cartes de 1830, le dons ottomans et les cartes de 1962, la création française


                        Commentaire


                        • #13
                          Envoyé par xenon
                          tout ceux à qui les algériens ont distribués des gifles finissent par devenir amnésiques ...
                          on vous rafraichis la mémoire ...

                          liste des consuls de France à Alger :16éme,17 éme et 18 éme siécle .
                          C'est la liste des consuls de France auprès de l'occupant ottoman (1516 à 1830).


                          Envoyé par xenon
                          le traité de paix conclu en 1795 entre la régence d'Alger les Etats unis d'Amérique
                          Sur la pancarte écrite en trois langues tu peux lire: "une copie d'un traité de paix conclu entre le Dey d'Alger Hassan Pacha et le président américain George Washington"

                          Hassan Pacha ou Hassan Barberousse était turc ottoman, il est enterré à Istanbul. Il est le fils de Khayr ad-Din Barberousse ou Kheïr-Eddine Baba Arroudj, lui aussi turc ottoman, né à Lesbos et mort à Istanbul.


                          Commentaire


                          • #14
                            Par contre tu trouveras jamais d'ambassadeur algériens représentant le " royaume d'Alger" ( régence d'Alger) à l'étranger avant l'indépendance.....

                            Commentaire


                            • #15
                              C'est la liste des consuls de France auprès de l'occupant ottoman (1516 à 1830).
                              le consul aurait du être alors à Istanbul et non à Alger , il n'ya qu'un seul occupant dans la région , c'est le royaume d'Espagne qui colonise encore des villes marocaines ...

                              Hassan Pacha ou Hassan Barberousse était turc ottoman, il est enterré à Istanbul.
                              ben, il n'empêche qu'il était le dey d'Alger ,malgré ses origines turc ,ton roi est arabe, il le revendique comme tel , tout autant que son aïeul qui a pris le pouvoir , il n'empêche qu'il règne sur vous ..
                              il est question ici de sa fonction de chef de l'Etat d'Alger et de ses dépendances , et sa fonction fait qu'il paraphe des documents contresigné par les dirigeants de puissances étrangères ..comme par exemple le document ci dessus .

                              Il est le fils de Khayr ad-Din Barberousse ou Kheïr-Eddine Baba Arroudj, lui aussi turc ottoman, né à Lesbos et mort à Istanbul.
                              ca serait étonnant ,déjà par ce que les fréres Barberousse n'étaient pas turcs mais grecs ,ensuite par ce qu'entre eux et Hussein dey , trois siècles les sépare..
                              ارحم من في الارض يرحمك من في السماء
                              On se fatigue de voir la bêtise triompher sans combat.(Albert Camus)

                              Commentaire

                              Chargement...
                              X