Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Algerian Women’s Būqālah Poetry/ Poésie Būqālah des femmes algériennes

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Algerian Women’s Būqālah Poetry/ Poésie Būqālah des femmes algériennes

    Algerian Women’s Būqālah Poetry: Oral Literature, Cultural Politics, and Anti-Colonial Resistance
    Susan Slyomovics
    University of California, Los Angeles
    https://www.researchgate.net/publication/279109368_Algerian_Women's_Buqalah_Poetry_Oral_Lit erature_Cultural_Politics_and_Anti-Colonial_Resistance



    Būqālah designates at one and the same time a material ceramic object as well as the immateriality of a poem performed and ritually embedded in the tra-ditional, favorite, divinatory pastime of many Algerian women. Thus, būqālah (also spelled in the literature as bouqala, boukala, boqala, and in the plural as bwaqel, bawāqal, boukalates) is the name of a porous clay water pitcher with two handles, employed to this day to divine the future, especially to predict the fate of sons, husbands and future loves.1 The būqālah pitcher and poem are intimately linked through women’s physical touch, poetic creativity, and a belief in the efficacy and magical powers of divination. As the name of the short verse poem of approximately four to ten lines or longer, the būqālah is rhymed, polysemic, and transmitted orally by Algerian woman in vernacular Algerian Arabic (dārijah), while the clay būqālah pitcher twirls in the wom-en’s hands. It is a poetic and ritual practice long associated with the female inhabitants of specific cities such as Blida, Cherchell, Constantine, Tlemcen, and Algiers.

    Among the scholars, primarily French and Algerian, who have collected and analyzed būqālah poetry are Joseph Desparmet, Saadeddine Bencheneb, Kaddour M’Hamsadji, William Marçais, Mourad Yelles-Chaouche, Aida Bamia, Aziza Boucherit, Mohamed Kacimi, and Martine Bertrand.

    The word būqāl is said to derive from the French word bocal, or “jar” according to AdrienBarthélemy, Dictionnaire arabe-francais.


    La poésie Būqālah des femmes algériennes : Littérature orale, politique culturelle et résistance anti-coloniale
    Susan Slyomovics
    University of California, Los Angeles


    Būqālah désigne à la fois un objet matériel en céramique et l'immatérialité d'un poème exécuté et rituellement intégré au passe-temps traditionnel, favori et divinatoire de nombreuses femmes algériennes. Ainsi, būqālah (également orthographié dans la littérature comme bouqala, boukala, boqala, et au pluriel comme bwaqel, bawāqal, boukalates) est le nom d'une cruche d'eau en argile poreuse avec deux anses, utilisée jusqu'à aujourd'hui pour deviner l'avenir, en particulier pour prédire le destin des fils, des maris et des amours futures. La cruche būqālah et le poème sont intimement liés par le contact physique des femmes, la créativité poétique et la croyance en l'efficacité et les pouvoirs magiques de la divination. Le būqālah, nom d'un court poème en vers de quatre à dix lignes ou plus, est rimé, polysémique et transmis oralement par les femmes algériennes en arabe algérien vernaculaire (dārijah), tandis que la cruche d'argile būqālah virevolte dans les mains de la femme. Il s'agit d'une pratique poétique et rituelle longtemps associée aux habitantes de villes spécifiques telles que Blida, Cherchell, Constantine, Tlemcen et Alger.

    Parmi les chercheurs, principalement français et algériens, qui ont recueilli et analysé la poésie būqālah, citons Joseph Desparmet, Saadeddine Bencheneb, Kaddour M'Hamsadji, William Marçais, Mourad Yelles-Chaouche, Aida Bamia, Aziza Boucherit, Mohamed Kacimi et Martine Bertrand.

    Le mot būqāl dériverait du mot français bocal, selon AdrienBarthélemy, Dictionnaire arabe-français.


    Ancora Imparo

  • #2
    [..........]
    Dernière modification par Someday, 24 juillet 2025, 17h23.
    Ancora Imparo

    Commentaire


    • #3
      [............]
      Dernière modification par Someday, 24 juillet 2025, 17h24.
      Ancora Imparo

      Commentaire


      • #4
        Someday

        all is very interesting, but why have you never asked for your Fella's boquala

        you want one ?

        Bessm’allah bdit wa 3la nabi Salit we Lik Someday had el Boqala Enwit:



        No , no, and no , only Fella can do it



        Je t embrasse si tu passes par la






















        ..pas toi Someday, j'embrasse Fella


        Thanks for sharing




        .

        Commentaire


        • #5
          Oui, très intéressant...

          Dans mon coin, à Biskra, on n'a pas la culture de la boqala qui est plus algéroise.
          Mais ca m'a toujours fait penser aux m'7ajyate de ma grand=mère et mes tantes oû il y avait toujours des amoureux ( des têtes bandées, racontaient-elles par pudicité, et surtout des ghoul ( des ogres qui bouffaient le petits turbulents comme nous )...

          ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément

          Commentaire


          • #6
            Merci Bachi

            illu

            Non. J'ai deja demande l'annee passe une boqala a Fella . Une Boqala suffit. Je ne fais pas la collection des Boqalates comme toi
            Ancora Imparo

            Commentaire


            • #7
              Une Boqala suffit. Je ne fais pas la collection des Boqalates comme toi







              Bessm’allah bdit wa 3la nabi Salit we Lik Someday had el Boqala Enwit:


              Dans le silence étoilé, ma douce lumière,

              Je t’attends, ô beauté, ma tendre prière.

              Chaque souffle du vent murmure ton nom,

              Dans le jardin de mes rêves, tu es ma passion.




              Quand la lune s’élève, je vois ton reflet,

              Ton sourire éclatant, comme l’aube en secret.

              Les étoiles dansent, amies de notre histoire,

              Elles brillent pour nous, écrivant notre gloire.





              quel beau présage Someday, ta lumière t'attend, ne traine pas trop, ta dulcinée ne tourne pas au solaire, elle est sur pile et sa charge n'est plus qu'à 5 %





              je taquine someday, je ne te connais pas



              Fella , j'ai massacré ton jeu



              Commentaire


              • #8
                joli topic hein la boqala et non la boukala

                oui c'est une cruche en terre cuite dans laquelle chaque femme présente mettait dedans un objet lui appartenant, bijou etc... et ensuite l'objet est tiré au sort...

                toute gamine, des souvenirs...ma mère y mettait du jasmin (el fel) et de l'eau dans cette cruche et au frigo...l'eau est fraîche et parfumée...

                alors comme je suis de passage je vais y laisser mon empreinte et cette boqala est dédiée à qui la lira



                Besmellah bdit w 3la nabi sallit … we 3la sou7aba rdith ou likoum ya el 7adrine had el bouqala n'wit'halkoum…



                Dert el 7enna bez’har wel mesk
                We el 3anbar ou leb’khour
                Medit yeddi lel’9mar
                We kh’recht lelber n’dour
                T9a3ed wet segem essa3d
                Elli kène w’ra leb’7our


                J’ai étalé le henné avec l’eau de fleur d’oranger,
                Du musc, de l’ambre et de l’encens
                Je suis sorti(e) m’aérer tout autour
                Et j’ai levé mes mains vers la lune
                De là mon destin me revient de bien loin
                Et la chance me sourit.
                ..."Le sourire que tu m'envoies, revient vers toi" ...

                Commentaire

                Chargement...
                X