Azul Fellawen,
Les peintres sont des virtuoses. Là où les mots sont parfois impuissants, rien de mieux qu'une peinture pour dire, raconter et décrire.
J'ai découvert ce peintre Tahar Abdelkrim par hasard et ses oeuvres m'ont émue, fait souffrir et fait voyager au delà de la mer et au delà du temps.
Je lui avais écris pour lui demander si je pouvais exposer ses toiles dans ce forum et il m'a donné son accord.
Place à l'Artiste! Je me suis permise d'écrire ce que je ressentais sous le titre de ses tableaux .
Autour du Bassin
Point de rencontre
A la recherche de l'eau ou de l’autre ?
Quelques ragots, quelques nouvelles
Autour de vous, mes belles.
LE HENNE
Pour toi ma beauté
Un peu de rougeur
En forme de fleurs
Couleur de henné
Oui je suis enchantée
Le vieux Fatigué
Regard tourné vers le lointain
Sillon creusé par les années
Mémoire intacte il a gardé
Que de bébé il a vus naître..
Et quand son heure viendra
Des larmes du passé jaillira
De sa mémoire qui s’éteindra
Tendre complicité
Assemblés, en train de s’activer
Voici les fées de la maisonnée
Instant complice, elles vont papoter
Les hommes sont loin, on peut parler
Salon de coiffure
Une tête a raser ?
Un instant de tranquillité
Mes cheveux ont poussé
Fais moi beau, s’il te plait !
Temps suspendu
Dans la fraîcheur de la maison
Plus un son.
le temps a suspendu son vol
L’esprit un instant se repose
Et ce regard perdu au loin
Voyage au delà des nuages
Instant de tranquillité,
L’esprit peut s’évader.
Le Cri de la douleur
Les cris de la douleur
Jaillissent du fond de l’âme
Plus un son ne sort
Pour nommer l’innommable
Douleur terreur et sang
Tout est glacé…. A perpétuité
Le bébé Explosé
L’innocence martyrisée
Corps innocent explosé
Une âme s’est enfuie
Au paradis
L’ignominie faite homme
Au nom de Qui ? Dites moi pourquoi
Vous avez commis cet acte là?
L’enfer est là et vous tends les bras
Silence on tue
Dans la nuit noire mon désespoir
Jaillit
Que de sang que d’innocents
Cette nuit on massacre
On tue sans relâche
Les barbares sont là
Circulez, le cauchemar est là.
Rendez-vous quotidien au cimetière
Mères courages quels outrages
Enfants massacrés
Larmes épuisées
Larmes de sang du désespoir
De n’avoir pas eu le bonheur
De voir grandir leurs enfants.
Matoub
L'eternelle rebelle, Tu as sus dire
Qu'il fallait lutter pour notre identité
Même si ils t'on tué, La mort
N'a pas empêcher à tes paroles
de pousser et de fleurir
Dans nos coeurs à jamais.
Les peintres sont des virtuoses. Là où les mots sont parfois impuissants, rien de mieux qu'une peinture pour dire, raconter et décrire.
J'ai découvert ce peintre Tahar Abdelkrim par hasard et ses oeuvres m'ont émue, fait souffrir et fait voyager au delà de la mer et au delà du temps.
Je lui avais écris pour lui demander si je pouvais exposer ses toiles dans ce forum et il m'a donné son accord.
Place à l'Artiste! Je me suis permise d'écrire ce que je ressentais sous le titre de ses tableaux .
Autour du Bassin
Point de rencontre
A la recherche de l'eau ou de l’autre ?
Quelques ragots, quelques nouvelles
Autour de vous, mes belles.
LE HENNE
Pour toi ma beauté
Un peu de rougeur
En forme de fleurs
Couleur de henné
Oui je suis enchantée
Le vieux Fatigué
Regard tourné vers le lointain
Sillon creusé par les années
Mémoire intacte il a gardé
Que de bébé il a vus naître..
Et quand son heure viendra
Des larmes du passé jaillira
De sa mémoire qui s’éteindra
Tendre complicité
Assemblés, en train de s’activer
Voici les fées de la maisonnée
Instant complice, elles vont papoter
Les hommes sont loin, on peut parler
Salon de coiffure
Une tête a raser ?
Un instant de tranquillité
Mes cheveux ont poussé
Fais moi beau, s’il te plait !
Temps suspendu
Dans la fraîcheur de la maison
Plus un son.
le temps a suspendu son vol
L’esprit un instant se repose
Et ce regard perdu au loin
Voyage au delà des nuages
Instant de tranquillité,
L’esprit peut s’évader.
Le Cri de la douleur
Les cris de la douleur
Jaillissent du fond de l’âme
Plus un son ne sort
Pour nommer l’innommable
Douleur terreur et sang
Tout est glacé…. A perpétuité
Le bébé Explosé
L’innocence martyrisée
Corps innocent explosé
Une âme s’est enfuie
Au paradis
L’ignominie faite homme
Au nom de Qui ? Dites moi pourquoi
Vous avez commis cet acte là?
L’enfer est là et vous tends les bras
Silence on tue
Dans la nuit noire mon désespoir
Jaillit
Que de sang que d’innocents
Cette nuit on massacre
On tue sans relâche
Les barbares sont là
Circulez, le cauchemar est là.
Rendez-vous quotidien au cimetière
Mères courages quels outrages
Enfants massacrés
Larmes épuisées
Larmes de sang du désespoir
De n’avoir pas eu le bonheur
De voir grandir leurs enfants.
Matoub
L'eternelle rebelle, Tu as sus dire
Qu'il fallait lutter pour notre identité
Même si ils t'on tué, La mort
N'a pas empêcher à tes paroles
de pousser et de fleurir
Dans nos coeurs à jamais.
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