Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Peter Boyles, D.G HSBC France : Le marché algérien est le plus important du Maghreb

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Peter Boyles, D.G HSBC France : Le marché algérien est le plus important du Maghreb

    Par : K. Remouche
    Lu : (7 fois)

    En marge de la cérémonie organisée à l’occasion du démarrage des activités de HSBC Algérie, la succursale du groupe bancaire britannique, numéro 1 mondial, au regard de sa capitalisation, ce responsable souligne l’importance de cette nouvelle implantation bancaire.

    Pourquoi le groupe HSBC a choisi l’Algérie pour implanter sa nouvelle succursale ?
    L’Algérie s’ouvre au monde. Elle s’ouvre au secteur privé. Elle a des ressources financières importantes. C’est le plus important marché au Maghreb. Le président Bouteflika, lors de sa visite à Londres, nous a demandé de venir en Algérie. HSBC Algérie est la troisième implantation en Afrique. Nous disposons de succursales en Afrique du Sud et en Égypte. Nous allons financer les PME et les grandes entreprises en Algérie et faire de HSBC Algérie la base de notre développement au Maghreb.

    Comment voyez-vous le marché bancaire en Algérie ?
    Nombre de clients en Algérie transportent du cash. Ce qui veut dire que la carte de paiement, utilisée ailleurs, n’est pas systématisée. Le marché des capitaux reste à développer.

    HSBC Algérie est sous-capitalisée. La maison mère compte-t-elle renforcer les fonds propres de sa succursale pour s’impliquer en matière de financement des investissements en Algérie ?
    HSBC est déjà une réussite. Après deux mois d’activités, elle a des clients importants : des grandes entreprises internationales et de grandes entreprises algériennes. Nous allons procéder étape par étape (step by step). Avec les bénéfices gagnés dans le pays, nous allons renforcer les fonds propres de HSBC Algérie et en faire une grande banque.

    Propos recueillis par K. Remouche
    Dernière modification par jawzia, 21 octobre 2008, 23h57.

  • #2
    bonne affaire pour les anglais, le marché algerien était très alléchant

    Commentaire


    • #3
      Une intermédiation financière insuffisante
      Par : K Remmouche

      Hsbc a fêté, lundi dernier, le démarrage de ses activités en Algérie. Il y avait grand monde à l’hôtel El-Djazaïr pour la cérémonie : responsables de grandes entreprises, d’organisations patronales, de banques publiques et privées et de représentants d’institutions publiques.

      Rachid Sekak, le directeur général de HSBC Algérie dans son allocution a planté le décor. “L’Algérie est une économie émergente qui offre les meilleures opportunités de croissance de la région et notre groupe est la banque internationale leader dans les marchés émergents. Cependant, malgré d’excellents fondamentaux économiques et les efforts entrepris en matière de réformes du secteur bancaire et financier, l’Algérie fait toujours face à trois contraintes majeures : faible capacité d’absorption de l’économie, une intermédiation financière insuffisante, et des marchés financiers et de capitaux qui ont besoin d’être développés et d’améliorer leur sophistication”. HSBC Algérie entend contribuer à améliorer les capacités d’intermédiation bancaire du pays, suggère son responsable.

      En ce sens, il affichera les ambitions de la banque. “Dans ce contexte, HSBC Algérie, soutenue par le plus grand groupe bancaire dans le monde et ses 320 000 collaborateurs, aspire à contribuer fortement aux efforts de développement du pays. Notre ambition identique à celle déployée dans les 85 pays où nous sommes présents est d’être la banque étrangère de référence, la plus impliquée dans les affaires locales en participant à une meilleure mobilisation de l’épargne, à l’élargissement et l’amélioration des services bancaires aux particuliers, au financement de l’investissement et l’amélioration de l’efficacité du commerce international”.

      HSBC Algérie compte également contribuer à convaincre des investisseurs étrangers à s’engager en Algérie et à élargir les partenaires de l’Algérie, a-t-il conclu.

      K. R

      Commentaire


      • #4
        Important ... Normal, pendant la décennie noir 20md$$ dormaient dans nos banques faute d'opérateurs sérieux ou de responsabilité manageriale !

        alors j'imagine le surplus de liquidité dans nos banque avec la bonne santé financière de l'Algérie! ... mais y a t il une vision sur chemin économique que doit suivre notre pays?
        ?

        Commentaire


        • #5
          Envoyé par Bennis
          bonne affaire pour les anglais, le marché algerien était très alléchant
          Et bonne affaire pour l'Algérie aussi, car le pilier meme d'une bonne économie c'est un bon système banquaire souple et réactif qui irrigue cette économie avec les fonds nécessaires à son développement et à son épanuissement.

          Et rien de mieux pour l'économie algérienne que d'enregistrer l'implantation des géants banquaires au savoir faire avéré comme HSBC.


          Et n"oubliez pas aussi qui a incité et initié à l'implantation de cette banque en algérie. :

          Le président Bouteflika, lors de sa visite à Londres, nous a demandé de venir en Algérie.
          Dernière modification par mendz, 21 octobre 2008, 23h58.

          Commentaire


          • #6
            Et bonne affaire pour l'Algérie aussi, car le pilier meme d'une bonne économie c'est un bon système banquaire souple et réactif qui irrigue cette économie avec les fonds nécessaires à son développement et à son épanuissement.
            dans la normale, c'est bien le cas
            Et rien de mieux pour l'économie algérienne que d'enregistrer l'implantation des géants banquaires au savoir faire avéré comme HSBC.
            mais aussi, au risque avéré
            une des premières banques au monde (selon les classements forbes et the banker) serait très facillement affectée par la premiere crise internationale qui apparait

            Commentaire

            Chargement...
            X