Les cours du pétrole poursuivent leur repli vendredi, les derniers indicateurs économiques ayant confirmé la perspective d'une baisse de la demande d'hydrocarbures au cours des prochains mois, que la réduction de la production de l'Opep ne semble pas suffire à compenser aux yeux des investisseurs.
A 15h40 GMT, le contrat décembre sur le brut léger américain perdait 1,38 dollar, soit 2,09%, à 64,58 dollars le baril et le Brent cédait 1,67 dollar (-2,62%) à 62,04 dollars.
L'annonce d'une baisse de 0,3% de la consommation des ménages aux Etats-Unis en septembre et la lourde chute de l'indice de confiance Reuters-Université du Michigan en octobre ont nourri les craintes d'une forte diminution de la demande américaine de produits pétroliers.
Ces craintes pourraient rapidement réduire à néant l'impact de la réduction de 1,5 million de barils par jour (bpj) de la production de l'Opep, qui doit entrer en vigueur ce samedi.
"L'échec du rally d'hier pèse sur le sentiment du marché aujourd'hui", a constaté Tom Bentz, analyste de BNP Paribas Commodity Futures.
La remontée du dollar ajoute à la pression sur les cours des matières premières.
Le mois d'octobre devrait se solder par une chute d'environ 35% du baril de brut léger. En trois mois et demi, celui-ci aura perdu plus de la moitié de sa valeur par rapport à son record historique de la mi-juillet à plus de 147 dollars.
Face à cette glissade, le Venezuela, membre de l'Opep, s'est prononcé en faveur d'une nouvelle diminution de la production du cartel d'un million de bpj, en estimant que l'organisation devrait se fixer un prix plancher de 70 ou 80 dollars le baril.
LePoint.fr
A 15h40 GMT, le contrat décembre sur le brut léger américain perdait 1,38 dollar, soit 2,09%, à 64,58 dollars le baril et le Brent cédait 1,67 dollar (-2,62%) à 62,04 dollars.
L'annonce d'une baisse de 0,3% de la consommation des ménages aux Etats-Unis en septembre et la lourde chute de l'indice de confiance Reuters-Université du Michigan en octobre ont nourri les craintes d'une forte diminution de la demande américaine de produits pétroliers.
Ces craintes pourraient rapidement réduire à néant l'impact de la réduction de 1,5 million de barils par jour (bpj) de la production de l'Opep, qui doit entrer en vigueur ce samedi.
"L'échec du rally d'hier pèse sur le sentiment du marché aujourd'hui", a constaté Tom Bentz, analyste de BNP Paribas Commodity Futures.
La remontée du dollar ajoute à la pression sur les cours des matières premières.
Le mois d'octobre devrait se solder par une chute d'environ 35% du baril de brut léger. En trois mois et demi, celui-ci aura perdu plus de la moitié de sa valeur par rapport à son record historique de la mi-juillet à plus de 147 dollars.
Face à cette glissade, le Venezuela, membre de l'Opep, s'est prononcé en faveur d'une nouvelle diminution de la production du cartel d'un million de bpj, en estimant que l'organisation devrait se fixer un prix plancher de 70 ou 80 dollars le baril.
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