S'il y a un secteur où l'Algérie est en retard vis-à-vis de ses voisins, à savoir le Maroc et la Tunisie, c'est bel et bien le tourisme. D'où la nécessité d'une politique ambitieuse pour réaliser les infrastructures nécessaires et investir dans la formation de professionnels du tourisme. Grâce au pétrole, les liquidités sont abondantes, manque plus que la volonté politique...
= Comment développer le secteur du tourisme en Algérie ? =
L’Algérie qui est encore mal lotie dans ce domaine précis, n’a point d’autres choix que de tracer une nouvelle stratégie, en optant pour un partenariat efficace afin d’exploiter rationnellement ses potentialités touristiques, a-t-il expliqué en substance.
Notre secteur est appelé à modifier sa stratégie en optant pour un partenariat fructueux afin de commercialiser le produit touristique algérien”. La consigne du ministre du Tourisme, Noureddine Moussa, était clair lors de son allocution d’ouverture de la rencontre, ayant regroupé hier les opérateurs économiques concernés, à la salle de conférences de la wilaya de Boumerdès.
D’emblée, il avait précisé que la réforme de son secteur s’inscrit nécessairement dans le cadre de la mise en application de l’accord d’association avec l’Union européenne, en prévision de l’intégration de l’Algérie dans l’organisation mondiale du commerce. Mais “sommes-nous prêts à affronter la concurrence pour obtenir notre quote-part de migrations touristiques ?”, s’est-il substantiellement interrogé.
L’Organisation mondiale du tourisme prévoit, selon le haut commis de l’Etat, 1 milliard de touristes annuellement à partir de 2 010. Spectaculaire bond en avant d’une activité économique engrangeant d’énormes recettes, créant de multiples emplois et favorisant le développement d’autres infrastructures. L’Algérie qui est encore mal lotie dans ce domaine précis, n’a point d’autres choix que de tracer une nouvelle stratégie, en optant pour un partenariat efficace afin d’exploiter rationnellement ses potentialités touristiques, a-t-il expliqué en substance.
Votre rôle principal est de savoir attirer ce rush de touristes vers l’Algérie qui est a priori au cœur des destinations touristiques, vu sa position géographique, a-t-il insisté en s’adressant directement aux opérateurs et autres intervenants en matière d’investissement touristique. D’un ton ferme, il rappellera dans cette optique la loi 06-99 du 4 avril 1999 déterminant les fonctions et attributions de l’Agence du tourisme et des voyages (ATV), notamment celle de nouer des relations (assez consistantes) avec les partenaires étrangers. Il répétera sa consigne : “Changez vos méthodes de travail de telle sorte que vous puissiez promouvoir les sites touristiques du pays”. Comme simple exemple d’action de marketing, il citera l’élaboration de brochures sur ces multiples destinations de rêves en Algérie pour leur distribution en toute occasion. Et il exhortera, enfin, les cabinets locaux concernés à jouer pleinement leur rôle dans l’information et la sensibilisation sur la situation du pays et ses innombrables potentialités.
Organisés dans l’après-midi, deux ateliers se sont penchés, l’un sur la problématique du développement touristique saharien et l’autre sur le rôle des instances et associations locales dans la préservation du patrimoine, la formation et le financement des projets touristiques.
Source : La Dépêche de Kabylie
= Comment développer le secteur du tourisme en Algérie ? =
L’Algérie qui est encore mal lotie dans ce domaine précis, n’a point d’autres choix que de tracer une nouvelle stratégie, en optant pour un partenariat efficace afin d’exploiter rationnellement ses potentialités touristiques, a-t-il expliqué en substance.
Notre secteur est appelé à modifier sa stratégie en optant pour un partenariat fructueux afin de commercialiser le produit touristique algérien”. La consigne du ministre du Tourisme, Noureddine Moussa, était clair lors de son allocution d’ouverture de la rencontre, ayant regroupé hier les opérateurs économiques concernés, à la salle de conférences de la wilaya de Boumerdès.
D’emblée, il avait précisé que la réforme de son secteur s’inscrit nécessairement dans le cadre de la mise en application de l’accord d’association avec l’Union européenne, en prévision de l’intégration de l’Algérie dans l’organisation mondiale du commerce. Mais “sommes-nous prêts à affronter la concurrence pour obtenir notre quote-part de migrations touristiques ?”, s’est-il substantiellement interrogé.
L’Organisation mondiale du tourisme prévoit, selon le haut commis de l’Etat, 1 milliard de touristes annuellement à partir de 2 010. Spectaculaire bond en avant d’une activité économique engrangeant d’énormes recettes, créant de multiples emplois et favorisant le développement d’autres infrastructures. L’Algérie qui est encore mal lotie dans ce domaine précis, n’a point d’autres choix que de tracer une nouvelle stratégie, en optant pour un partenariat efficace afin d’exploiter rationnellement ses potentialités touristiques, a-t-il expliqué en substance.
Votre rôle principal est de savoir attirer ce rush de touristes vers l’Algérie qui est a priori au cœur des destinations touristiques, vu sa position géographique, a-t-il insisté en s’adressant directement aux opérateurs et autres intervenants en matière d’investissement touristique. D’un ton ferme, il rappellera dans cette optique la loi 06-99 du 4 avril 1999 déterminant les fonctions et attributions de l’Agence du tourisme et des voyages (ATV), notamment celle de nouer des relations (assez consistantes) avec les partenaires étrangers. Il répétera sa consigne : “Changez vos méthodes de travail de telle sorte que vous puissiez promouvoir les sites touristiques du pays”. Comme simple exemple d’action de marketing, il citera l’élaboration de brochures sur ces multiples destinations de rêves en Algérie pour leur distribution en toute occasion. Et il exhortera, enfin, les cabinets locaux concernés à jouer pleinement leur rôle dans l’information et la sensibilisation sur la situation du pays et ses innombrables potentialités.
Organisés dans l’après-midi, deux ateliers se sont penchés, l’un sur la problématique du développement touristique saharien et l’autre sur le rôle des instances et associations locales dans la préservation du patrimoine, la formation et le financement des projets touristiques.
Source : La Dépêche de Kabylie
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