Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Réduction de la dette extérieure à moins de 10 milliards de dollars

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Réduction de la dette extérieure à moins de 10 milliards de dollars

    Bouteflika dans un discours prononcé l'’hôtel el-Aurassi a évoqué les perspectives de développement du pays. Il a ainsi évoqué, entres autres, la baisse du taux de chomage qui était de l'ordre de 30% et n'est plus qu'à 17%, l'intention de créer au moins 2 Millions d'Emplois nouveaux, le P.I.B qui est passé en cinq ans de 48 à 84 milliards de dollars ainsi que de la réduction de la dette extérieure.

    =====

    “L’Algérie se lancera dans la bataille du développement, soucieuse de se libérer du cauchemar de la dette extérieure. Notre pays, qui aspire à atteindre un PIB de plus de 100 milliards de dollars à la fin de cette décennie, envisage également de réduire sa dette extérieure à moins de 10 milliards de dollars pour la même période”, a déclaré Bouteflika avant d’ajouter que le pays a réduit sa dette extérieure qui était de l'ordre de 30 milliards de dollars pour la ramener à moins de 20 milliards de dollars et en améliorant sa sécurité financière par des réserves de changes décuplées.

    En livrant à l’occasion des chiffres concernant le développement, le chef de l’État a indiqué que le taux de chômage a été ramené de 30% à moins de 17 % et que la croissance économique dépasse aujourd'hui les 5% après plusieurs années de stagnation. “Il va sans dire que le PIB a doublé, en cinq ans, passant de 48 à 84 milliards de dollars”, a-t-il dit. Le président de la république a annoncé la mobilisation par l’État d’importants fonds estimés à plus de 2 300 milliards de DA, soit 30 milliards de dollars, auxquels viennent s'ajouter les 15 milliards de dollars d'investissements nationaux et étrangers. “Ces dépenses sont appelées à se multiplier pour atteindre, durant les cinq années à venir, 4 200 milliards de DA, soit 55 milliards de dollars, auxquels viendront s'ajouter près de 40 milliards de dollars d'investissements nationaux et étrangers”, a-t-il précisé avant de souligner que ces moyens nous permettront aussi de créer, durant la même période, plus de 450 000 nouvelles places pédagogiques au profit de l'enseignement supérieur pour porter ce nombre à 800 000 places au terme de cette décennie, soit plus de 130 % des capacités nationales enregistrées en 1999.

    “Durant cette même période, notre pays se dotera de dix nouveaux barrages pour augmenter, d'ici à 2009, nos capacités de réserves de 50 % par rapport à 1999. Mieux, l'Algérie compte réaliser 11 stations de dessalement d'une capacité globale de 1 million de m3/j. Ces projets permettront d'alimenter en eau potable l'ensemble des populations du littoral. Une projection qui a déjà pris forme partiellement dans la région d'Oran”, a-t-il également ajouté.
    Concernant le secteur privé, le chef de l’État a déclaré que le capital privé national bénéficiera chaque année de plus de soutien pour l'investissement dans la mise à niveau des entreprises et le développement des régions situées à l'intérieur du pays.

    Ainsi, nous prévoyons la création de 100 000 entreprises durant ce quinquennat. “Cet effort, conjugué aux différents types de soutien à la création d'emplois au profit des chômeurs, permettra à notre pays de créer au moins 2 millions d’emplois nouveaux, ce qui engendrera une nouvelle baisse du taux de chômage qui atteindra à la fin de cette décennie environ 10%”, a-t-il dit

    Quant à l’apport des investissements étrangers, le président de la république a estimé qu’il a atteint 15 milliards de dollars entre 1999 et 2004.
    Un apport appelé à franchir le seuil de 40 milliards de dollars durant le quinquennat en cours.

    Pour le revenu annuel, le chef de l’État a indiqué qu’il était de 1 623 dollars en 1999 et de 2 600 dollars en 2004, et qu’il est appelé à dépasser les 3 000 dollars en 2009. “Cette croissance évolue dans un cadre macroéconomique stable : l’inflation approche les 3,5 % et devra se maintenir à ce niveau. Les réserves de changes, qui avoisinaient les 4 milliards de dollars fin 1999, ont atteint 40 milliards de dollars fin 2004”, a conclu le président.

    Source: Liberte-algerie

  • #2
    Tous ces chiffres rendent compte d'une amèlioration de la situation économique de l'Algérie.

    Il faut faire remarquer, cependant, que cette amélioration découle, pour l'essentiel, de la situation qui prévaut au niveau international en matière de prix des hydrocarbures.

    En effet, l'envolée du prix du pétrole a permis un accroissement très sensible du niveau des réserves en devises de l'Algérie.

    Le secteur des hydrocarbures continue à être l'unique source d'exportation et donc de rentrées de devises en absence d'une quelconque contribution des autres secteurs tels que le tourisme, l'agriculture, etc....


    Cette situation est très préoccupante et l'embellie économique actuelle ne doit pas nous cacher le fait que notre pays demeure dépendant, dans une très large mesure de l'étranger, en matière d'approvisionnement du marché national en produits alimentaires de base :sucre, huile, blé etc...
    Dernière modification par irijda, 26 septembre 2005, 19h55.

    Commentaire


    • #3
      khoroto blabla
      Dernière modification par éliamine, 13 août 2013, 09h07.

      Commentaire

      Chargement...
      X