(Boursier.com) -- Comme anticipé, le baril de brut connaît une nouvelle séance mouvementée. Stable dans la matinée autour des 43 Dollars, le " light sweet crude " pour livraison février 2009 perd désormais près de 3% proche des 41 Dollars.
Le revirement de tendance sur le marché des changes avec la progression de l'Euro face à la monnaie de l'oncle Sam (+0,7% à 1 Euro pour 1,37 Dollar), dans l'attente du discours de Barack Obama, ne suffit pas à soutenir les cours du brut. Pas plus que la poursuite du conflit au Proche-Orient alors qu'Israël continue son offensive dans la bande de Gaza.
Les craintes concernant la demande mondiale de pétrole prennent le pas sur les incertitudes pesant sur l'offre alors que les annonces de mauvais chiffres macroéconomiques se succèdent des deux cotés de l'atlantique. Ce matin, l'indice de confiance des affaires en Europe a reculé de 74,9 à 67,1 points entre novembre et décembre, soit son plus bas niveau depuis l'introduction de l'indice en 1985. Aux Etats-Unis, le nombre de chômeurs indemnisés a atteint son plus haut niveau depuis 1982 !
Rappelons que la veille, le baril avait déjà chuté de 12% pénalisé par une augmentation plus importante qu'attendue des stocks de pétrole américains. Les réserves de brut augmentant de 6,7 millions de barils, bien au-delà des attentes des analystes qui tablaient sur une progression de 900.000 barils.
Le revirement de tendance sur le marché des changes avec la progression de l'Euro face à la monnaie de l'oncle Sam (+0,7% à 1 Euro pour 1,37 Dollar), dans l'attente du discours de Barack Obama, ne suffit pas à soutenir les cours du brut. Pas plus que la poursuite du conflit au Proche-Orient alors qu'Israël continue son offensive dans la bande de Gaza.
Les craintes concernant la demande mondiale de pétrole prennent le pas sur les incertitudes pesant sur l'offre alors que les annonces de mauvais chiffres macroéconomiques se succèdent des deux cotés de l'atlantique. Ce matin, l'indice de confiance des affaires en Europe a reculé de 74,9 à 67,1 points entre novembre et décembre, soit son plus bas niveau depuis l'introduction de l'indice en 1985. Aux Etats-Unis, le nombre de chômeurs indemnisés a atteint son plus haut niveau depuis 1982 !
Rappelons que la veille, le baril avait déjà chuté de 12% pénalisé par une augmentation plus importante qu'attendue des stocks de pétrole américains. Les réserves de brut augmentant de 6,7 millions de barils, bien au-delà des attentes des analystes qui tablaient sur une progression de 900.000 barils.
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