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Le président du Forum des Chefs d’Entreprises, M. Réda Hamiani invité de Fatour Essabah
M. Réda Hamiani, Président du Forum des Chefs d’Entreprises, a qualifié le marché parallèle en Algérie de phénomène en pleine croissance et un frein pour les entreprises productives. Il a indiqué qu’entre 40 et 50% de la masse monétaire reste en dehors du cercle bancaire.
M. Hamiani, invité de Fatour Essabah, a indiqué que le marché parallèle s’est développé rapidement et que malgré ses quelques côtés positifs, notamment l’offre de la marchandise à des prix moins chers, il a, cependant, ouvert le champ à l’apparition des endroits qui échappent à la loi et à la maîtrise de l’Etat et aux Impôts.
M. Hamiani a considéré que la vigueur des lois et des législations ainsi que les complications de la démocratie ont tellement aidé le marché parallèle, qui encourage, selon lui, les phénomènes de l’usure, la non facturation et la non utilisation des chèques bancaires. Nous considérons également qu’il y a un refus de l’utilisation des chèques et qu’aujourd’hui, entre 40 et 50% de masse monétaire sont en-dehors du circuit des banques et des impôts.
Interrogé si le problème de la région arabe de libre échange est purement algérien, M. Hamiani a affirmé que la raison de la demande du forum du report de l’application de la zone arabe de libre échange n’est pas due à la crainte des produits algériens et des produits des autres pays mais elle est due à la lenteur de l’administration et du Gouvernement. Il a indiqué que le problème n’est pas avec les pays arabes mais avec l’administration, en affirmant qu’il faut appliquer les mêmes avantages qui ont été accordés aux pays européens surtout que les échanges avec ces derniers sont estimés à 60% de l’ensembles des échanges commerciaux de l’Algérie alors que les échanges avec les pays arabes ne dépassent pas les 4%. Ce qui affirme, a-t-il ajouté qu’il n’y a pas de risque dans l’ouverture de la zone arabe de libre échange, mais que le problème est entre les algériens et que les pays arabes n’ont rien à avoir avec la revendication du forum.
Hamiani demande d’autres avantages pour les compagnies algériennes
Le président du Forum des chefs d’entreprises a déclaré que l’Algérie est le seul pays qui accorde des transactions publiques aux étrangers sans exiger que ces derniers apportent des avantages à l’économie algérienne.
M. Réda Hamiani a expliqué que le forum qu’il préside a appelé le Gouvernement, depuis des années, à associer les entreprises nationales dans la croissance économique réalisée suite aux dépenses publiques et à ne pas ouvrir le champ seulement aux compagnies étrangères.
Cependant, le président du forum des chefs d’entreprises a considéré la dernière note publiée par le premier ministre, M. Ahmed Ouyahia, à savoir, avantager les compagnies algériennes en termes d’offres financières par 15% dans les appels d’offres concernant les transactions publiques, ne suffit pas étant donné qu’elle existe déjà dans la loi des transactions publiques et qu’elle n’a pas donné de résultat.
Il a indiqué que l’Algérie est le seul pays qui accorde des transactions publiques à des compagnies étrangères et qui n’exige pas de ces dernières de transférer une partie de leurs usines en Algérie.
- ElKhabar
M. Réda Hamiani, Président du Forum des Chefs d’Entreprises, a qualifié le marché parallèle en Algérie de phénomène en pleine croissance et un frein pour les entreprises productives. Il a indiqué qu’entre 40 et 50% de la masse monétaire reste en dehors du cercle bancaire.
M. Hamiani, invité de Fatour Essabah, a indiqué que le marché parallèle s’est développé rapidement et que malgré ses quelques côtés positifs, notamment l’offre de la marchandise à des prix moins chers, il a, cependant, ouvert le champ à l’apparition des endroits qui échappent à la loi et à la maîtrise de l’Etat et aux Impôts.
M. Hamiani a considéré que la vigueur des lois et des législations ainsi que les complications de la démocratie ont tellement aidé le marché parallèle, qui encourage, selon lui, les phénomènes de l’usure, la non facturation et la non utilisation des chèques bancaires. Nous considérons également qu’il y a un refus de l’utilisation des chèques et qu’aujourd’hui, entre 40 et 50% de masse monétaire sont en-dehors du circuit des banques et des impôts.
Interrogé si le problème de la région arabe de libre échange est purement algérien, M. Hamiani a affirmé que la raison de la demande du forum du report de l’application de la zone arabe de libre échange n’est pas due à la crainte des produits algériens et des produits des autres pays mais elle est due à la lenteur de l’administration et du Gouvernement. Il a indiqué que le problème n’est pas avec les pays arabes mais avec l’administration, en affirmant qu’il faut appliquer les mêmes avantages qui ont été accordés aux pays européens surtout que les échanges avec ces derniers sont estimés à 60% de l’ensembles des échanges commerciaux de l’Algérie alors que les échanges avec les pays arabes ne dépassent pas les 4%. Ce qui affirme, a-t-il ajouté qu’il n’y a pas de risque dans l’ouverture de la zone arabe de libre échange, mais que le problème est entre les algériens et que les pays arabes n’ont rien à avoir avec la revendication du forum.
Hamiani demande d’autres avantages pour les compagnies algériennes
Le président du Forum des chefs d’entreprises a déclaré que l’Algérie est le seul pays qui accorde des transactions publiques aux étrangers sans exiger que ces derniers apportent des avantages à l’économie algérienne.
M. Réda Hamiani a expliqué que le forum qu’il préside a appelé le Gouvernement, depuis des années, à associer les entreprises nationales dans la croissance économique réalisée suite aux dépenses publiques et à ne pas ouvrir le champ seulement aux compagnies étrangères.
Cependant, le président du forum des chefs d’entreprises a considéré la dernière note publiée par le premier ministre, M. Ahmed Ouyahia, à savoir, avantager les compagnies algériennes en termes d’offres financières par 15% dans les appels d’offres concernant les transactions publiques, ne suffit pas étant donné qu’elle existe déjà dans la loi des transactions publiques et qu’elle n’a pas donné de résultat.
Il a indiqué que l’Algérie est le seul pays qui accorde des transactions publiques à des compagnies étrangères et qui n’exige pas de ces dernières de transférer une partie de leurs usines en Algérie.
- ElKhabar