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La facture alimentaire de l'Algérie s'alourdit

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  • #91
    Un fromage berbère fait avec du lait d'importation , l'idée est originale .

    J'aime beaucoup

    ...fromage goût Roquefort , le fromage fondu goût camembert

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    • #92
      Non merci , je préfère notre "vache qui rit"

      Même la vache qui rit n'est pas de chez toi lis bien, c'est un journal marocain qui te le dit en plus:



      <<
      Outre les produits de contrebande habituels provenant de l’Espagne, l’exception cette année, c’est le déferlement de produits algériens qui arrivent en force, lesquels annoncent le coup de massue pour certaines variétés de produits nationaux.

      Tel est le cas pour les fromages de la société Bel Algérie qui se vendent à des prix défiant toute concurrence, frais de transport en sus. Le paquet La Vache qui rit algérien de 16 portions est vendu à 14 DH contre 17,30 chez l’épicier. Parfois, le prix est même estampillé en dinar (95 dinars, sachant que 100 dinars 9,20 DH). “Quel que soit le pays d’origine, à produit similaire, j’opterai pour le moins cher”, souligne un client. Pour un autre jeune l’ayant déjà acheté, “le goût n’est pas le même, le volume et la qualité de l’emballage non plus”.

      Selon un responsable à la Centrale Laitière, la contrebande des fromages en provenance d’Algérie représentait 2% de parts de marché en 2003.
      >>

      Chicha ,dis merci au moins
      .


      Nul n’est plus désespérément esclave, que ceux faussement convaincus d’être libres"-JWVG

      Commentaire


      • #93
        Le site de kompass du maroc (annuaire economique) révéle l afflux des produits algériens sur le marché marocain. Il ne s'agit plus de carburants ni de cheptel mais bien des produits issus de l'industrie agroalimentaire Algérienne.

        extrait:

        Outre les produits de contrebande habituels provenant de l’Espagne, l’exception cette année, c’est le déferlement de produits algériens qui arrivent en force, lesquels annoncent le coup de massue pour certaines variétés de produits nationaux. Tel est le cas pour les fromages de la société Bel Algérie qui se vendent à des prix défiant toute concurrence, frais de transport en sus. Le paquet La Vache qui rit algérien de 16 portions est vendu à 14 DH contre 17,30 chez l’épicier. Parfois, le prix est même estampillé en dinar (95 dinars, sachant que 100 dinars 9,20 DH). “Quel que soit le pays d’origine, à produit similaire, j’opterai pour le moins cher”, souligne un client. Pour un autre jeune l’ayant déjà acheté, “le goût n’est pas le même, le volume et la qualité de l’emballage non plus”.

        Selon un responsable à la Centrale Laitière, la contrebande des fromages en provenance d’Algérie représentait 2% de parts de marché en 2003.

        Globalement, le marché des fromages au Maroc est estimé à 15.000 tonnes par an. En 2004, les effets de la contrebande algérienne ont été ressentis plus fortement. Les professionnels parlent de 5,6% de parts de marché détenues uniquement sur la variété des fromages en provenance d’Algérie. Par ailleurs, d’autres variétés de fromages provenant de France, de Hollande et d’Espagne sont également commercialisées.

        Autres produits du voisin de l’Est, via Oujda, le lait en poudre et le café soluble, mais aussi les biscuits et les yaourts. Depuis bientôt deux mois, le phénomène a pris des proportions alarmantes dans l’Oriental, souligne le président d’une coopérative laitière. “Même les yaourts algériens sont vendus en vrac par des marchands ambulants à 1,20 DH sans aucun respect de la chaîne de froid”. Selon des coopératives d’Oujda, les professionnels du lait accusent un manque à gagner évalué à 20% dans la région.

        http://www.kompass.ma/actualite/deta...1&amp;niveau=1

        wa naktafi bi hada el kadr oua sallam allikoum

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        • #94
          Conséquence : des fromages se font de plus en plus exportés clandestinement au Maroc.Cependant, gare à la mauvaise qualité !
          Les inspecteurs de la DRC d’Oran (Direction Régionale du Commerce) ont récemment retiré, 6 000 boîtes de fromage de marque “Mami” du marché.
          Ce produit contenait, selon les analyses du laboratoire, des germes pathogènes. La fromagerie est fermée tout de suite.........

          el watan

          ...............................

          Sans commentaires !

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          • #95
            Les professionnels parlent de 5,6% de parts de marché détenues uniquement sur la variété des fromages en provenance d’Algérie
            ça aussi reste sans commentaire



            pour moi ça explique en partie : l'alourdissement de la facture alimentaire, et la boucle est bouclée Mister Chicha.
            .


            Nul n’est plus désespérément esclave, que ceux faussement convaincus d’être libres"-JWVG

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            • #96
              On parle de la différence que tu ne fais pas entre production et importation.
              C'est à quel moment (de la discussion) que j'aurai fait l'amalgame ?

              Par contre, il faut être débile, timbré ou "être descendu trop bas", pour asséner :
              L'Algérie ne produit rien en lait tout comme pour d'autres aliments
              Ce serait tout aussi débile que de m'inscrire dans cette perspective et essayer de te démontrer le contraire.

              Un chouiya pour raisons ..... "humanitaires" : http://img42.imageshack.us/img42/1314/lait6gd.jpg

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              • #97
                ..............

                dsl
                Dernière modification par Bachi, 28 janvier 2009, 15h23.

                Commentaire


                • #98
                  merci Jawzia pour le graphe.




                  une tres belle évolution, et je suis sûr qu'avec une bonne organisation, un meilleur controle des frontieres ouest et sud, la valeur des importations en produits laitiers va se retracter à quelque disaines de millions $ pas plus.
                  .


                  Nul n’est plus désespérément esclave, que ceux faussement convaincus d’être libres"-JWVG

                  Commentaire


                  • #99
                    merci Jawzia pour le graphe.
                    Mais de rien Azzouz, tant qu'il s'agit de combattre l'ignorance. Wa Ajrouna 3inda allah.

                    Commentaire


                    • La digression "laitière" étant réglée, revenons au sujet de la facture alimentaire.

                      Voici, des graphiques explicites sur les cours des différents produits de base. Les cours au premier et deuxième trimestre de 2008 exhibent des pics jamais atteints.

                      Les niveaux actuels, plaident pour une facture plus "allégée" au titre de l'année 2009 .... à moins d'une autre flambée.

                      Note de conjoncture au 24/01/2009

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                      • C´est tout a fait normal quand on vante a longueur de journée les caisses pleines de l´etat grace aux revenues d´hydrocharbures.

                        Si on suit la logique de Maslow, on cherche d´abord a satisfaire ses besoins physiologiques avant de passer a autre chose, et c´est un principe qui s´applique aux riches comme aux pauvres.

                        Commentaire


                        • facture alimentaire de l'Algérie s'alourdit
                          j'aime bien le couscous et le lait caillé;

                          je suis désolé!
                          Mr NOUBAT

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                          • On parle de la différence que tu ne fais pas entre production et importation.

                            C'est à quel moment (de la discussion) que j'aurai fait l'amalgame ?

                            Jawzia

                            ................................

                            En assenant des choses du genre ci après


                            "Mauvaise piste puisque l'Algerie produit autant que les niveaux de production dans la région du Maghreb.
                            C'est la consommation qui est trop élevée par rapport aux moyennes de la région. "

                            Alors que la politique laitière des trois pays du Maghreb est divergente.

                            ...........................................

                            Production laitière au Maghreb

                            L'élevage bovin laitier a été retenu par les pouvoirs publics des pays du Maghreb comme un axe important des politiques agricoles post-indépendance, pour la création d'emplois et de revenus et pour assurer l'approvisionnement en protéines animales de populations en plein essor démographique avec des habitudes alimentaires changeantes.

                            Les politiques laitières ont connu des évolutions divergentes par pays (approvisionnement avec de la poudre de lait importé, en Algérie ; production bovine locale, au Maroc ; et voie intermédiaire, en Tunisie), avec des instruments variables, ce qui a généré des performances des filières contrastées.

                            Cet article fait le point sur les évolutions récentes de la production bovine laitière dans les pays du Maghreb ainsi que sur ses perspectives : défis posés par la continuation des efforts de sécurisation de l'approvisionnement et mise à niveau des filières par une meilleure maîtrise de la qualité des produits et de la répartition des revenus entre les opérateurs.

                            (....)Conclusion

                            L’analyse des filières laitières maghrébines révèle des évolutions contrastées, suite aux différentes politiques mises en œuvre.

                            L’expérience marocaine, et plus récemment, l’expérience tunisienne ont privilégié un approvisionnement local par du lait frais, à la différence de l’Algérie qui, a surtout eu recours aux importations de poudre.

                            En dépit de ces différences,les performances de productivité et de qualité demeurent limitées, marquées par la faiblesse du savoir-faire laitier dans les
                            élevages bovins.
                            Par ailleurs, les achats de concentrés et l’irrigation, peinent à contrecarrer les effets des aléas climatiques et du manque de fourrages, ce qui plombe les marges des éleveurs.
                            De même, la réflexion sur les politiques d’amélioration génétique, basées jusqu’ici sur les importations de vaches Holstein, n’a pas encore intégré ni les possibilités d’acclimatation d’autres souches à double finalité ni le poids des races locales.
                            La collecte et la transformation laitière affichent des performances nuancées, car de nombreux opérateurs traitent des volumes réduits, ce qui entrave leurs perspectives de durabilité face à l’ouverture des marchés. La consommation demeure modeste, en raison du prix du lait élevé, eu égard au pouvoir d’achat des consommateurs.
                            Elle n’atteint pas les recommandations internationales et dévoile d’importantes disparités sociales, surtout entre ruraux et citadins.
                            Dans leur globalité, les dynamiques récentes des filières laitières maghrébines sont le fruit d’ajustements qui ont été opérés au cours
                            des trente dernières années, indiquant que les résultats dans ce domaine nécessitent du temps afin de tester effectivement sur le terrain les options retenues et d’ajuster leurs résultats (....)

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