Appréciations d’experts sur le gazoduc transsaharien
Un «exemple» d’intégration et de développement en Afrique
Le projet de gazoduc transsaharien (TSGP) devant acheminer le gaz naturel d’Afrique vers l’Europe, initié par la société nationale Sonatrach, a été cité par des experts, hier à Addis-Abeba, comme un «exemple» en matière d’intégration et de développement en Afrique, lors d’une journée portes ouvertes consacrée aux infrastructures en Afrique.
Des experts des Nations unies, de l’Union européenne et d’Afrique ont souligné, dans leurs interventions, «l’intérêt» que revêt ce projet pour les pays et les régions qu’il traverse dans le domaine de l’intégration et du développement économique. Le TSGP est une canalisation destinée à acheminer le gaz naturel vers les marchés européens à partir du Nigeria, via le Niger et l’Algérie, permettant ainsi aux pays de la région de se développer en bénéficiant de cette source d’énergie, ont relevé ces experts, ajoutant que des milliers d’emplois directs seront créés durant la phase de réalisation.
Le projet est également perçu comme une «sécurité» pour l’Europe en ce qui concerne l’approvisionnement en gaz naturel puisqu’il sera relié à Medgaz, qui va vers l’Espagne, et Galsi, vers l’Italie. Initié par Sonatrach, en partenariat avec la compagnie nigériane NNPC, le TSGP sera lancé dans deux années pour être réceptionné vers les années 2015-2017, ont indiqué les responsables du stand de Sonatrach à Addis-Abeba.
Qualifié de méga-projet, le gazoduc transsaharien est inscrit au programme du Nouveau partenariat pour le développement de l’Afrique (NEPAD) et fait aussi partie des trois grands projets structurants du NEPAD, à savoir la route transsaharienne Alger-Lagos et la réalisation d’une liaison par fibre optique Alger-Abuja. La journée portes ouvertes sur les infrastructures en Afrique a été organisée en prévision du 12e Sommet des chefs d’Etat de l’Union africaine (UA), prévu dans la capitale éthiopienne du 1er au 3 février 2009.
LE JOUR D'ALGERIE
Un «exemple» d’intégration et de développement en Afrique
Le projet de gazoduc transsaharien (TSGP) devant acheminer le gaz naturel d’Afrique vers l’Europe, initié par la société nationale Sonatrach, a été cité par des experts, hier à Addis-Abeba, comme un «exemple» en matière d’intégration et de développement en Afrique, lors d’une journée portes ouvertes consacrée aux infrastructures en Afrique.
Des experts des Nations unies, de l’Union européenne et d’Afrique ont souligné, dans leurs interventions, «l’intérêt» que revêt ce projet pour les pays et les régions qu’il traverse dans le domaine de l’intégration et du développement économique. Le TSGP est une canalisation destinée à acheminer le gaz naturel vers les marchés européens à partir du Nigeria, via le Niger et l’Algérie, permettant ainsi aux pays de la région de se développer en bénéficiant de cette source d’énergie, ont relevé ces experts, ajoutant que des milliers d’emplois directs seront créés durant la phase de réalisation.
Le projet est également perçu comme une «sécurité» pour l’Europe en ce qui concerne l’approvisionnement en gaz naturel puisqu’il sera relié à Medgaz, qui va vers l’Espagne, et Galsi, vers l’Italie. Initié par Sonatrach, en partenariat avec la compagnie nigériane NNPC, le TSGP sera lancé dans deux années pour être réceptionné vers les années 2015-2017, ont indiqué les responsables du stand de Sonatrach à Addis-Abeba.
Qualifié de méga-projet, le gazoduc transsaharien est inscrit au programme du Nouveau partenariat pour le développement de l’Afrique (NEPAD) et fait aussi partie des trois grands projets structurants du NEPAD, à savoir la route transsaharienne Alger-Lagos et la réalisation d’une liaison par fibre optique Alger-Abuja. La journée portes ouvertes sur les infrastructures en Afrique a été organisée en prévision du 12e Sommet des chefs d’Etat de l’Union africaine (UA), prévu dans la capitale éthiopienne du 1er au 3 février 2009.
LE JOUR D'ALGERIE
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