Rabat 09/02/09 - Les engagements du constructeur automobile français Renault, concernant la création d'une usine à Tanger, qui ont été contractés avec le gouvernement marocain, demeurent inchangés, en dépit du désengagement annoncé de son partenaire japonais Nissan, dont la participation ne représente que 20 pc du volume global du projet, a estimé le ministre de l'industrie, du commerce et des nouvelles technologies, M. Ahmed Réda Chami.
Le désengagement du groupe japonais Nissan ne diminue pas de l'ampleur du projet, prévu à Tanger, avec le constructeur automobile français Renault, a-t-il indiqué, en soulignant que le projet devrait, après son démarrage, monter en puissance, au fur et à mesure du développement de la demande.
"Le projet de Renault tient toujours et l'impact du retrait de Nissan reste très limité, pour toutes ces raisons", d'autant plus que les accords conclus à propos de cette plate-forme industrielle de Tanger, engagent le gouvernement marocain et son partenaire, le constructeur français Renault, a souligné le ministre, qui n'exclut pas que Nissan pourrait revenir par la suite, une fois le choc de la crise internationale amorti.
Le constructeur français Renault a réaffirmé, pour sa part, lundi, que ses engagements "sont maintenus" et qu'ils ne sont pas remis en cause, après l'annonce le même jour, par Nissan, de la suspension de sa participation à ce projet.
Le porte-parole de la firme française, Mme Sophie Durant a souligné à Paris que "c'est Renault qui avait signé les accords relatifs à l'usine de construction automobile de Tanger et qu'elle "pilote, de ce fait, ce projet industriel".
Le retrait du constructeur japonais Nissan n'a pas d'impact sur le déroulement du projet, a estimé pour sa part M.Larbi Belarbi, PDG de la Somaca. Le projet se poursuit normalement, a-t-il assuré.
La parole-parole de Renault avait récemment déclaré que l'usine de Tanger demeurait un projet stratégique à long terme pour la production de véhicules à bas prix
Le désengagement du groupe japonais Nissan ne diminue pas de l'ampleur du projet, prévu à Tanger, avec le constructeur automobile français Renault, a-t-il indiqué, en soulignant que le projet devrait, après son démarrage, monter en puissance, au fur et à mesure du développement de la demande.
"Le projet de Renault tient toujours et l'impact du retrait de Nissan reste très limité, pour toutes ces raisons", d'autant plus que les accords conclus à propos de cette plate-forme industrielle de Tanger, engagent le gouvernement marocain et son partenaire, le constructeur français Renault, a souligné le ministre, qui n'exclut pas que Nissan pourrait revenir par la suite, une fois le choc de la crise internationale amorti.
Le constructeur français Renault a réaffirmé, pour sa part, lundi, que ses engagements "sont maintenus" et qu'ils ne sont pas remis en cause, après l'annonce le même jour, par Nissan, de la suspension de sa participation à ce projet.
Le porte-parole de la firme française, Mme Sophie Durant a souligné à Paris que "c'est Renault qui avait signé les accords relatifs à l'usine de construction automobile de Tanger et qu'elle "pilote, de ce fait, ce projet industriel".
Le retrait du constructeur japonais Nissan n'a pas d'impact sur le déroulement du projet, a estimé pour sa part M.Larbi Belarbi, PDG de la Somaca. Le projet se poursuit normalement, a-t-il assuré.
La parole-parole de Renault avait récemment déclaré que l'usine de Tanger demeurait un projet stratégique à long terme pour la production de véhicules à bas prix
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