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Bouteflika s’apprête à annuler les dettes de jeunes entrepreneurs

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  • #31
    neuviemement: ca fait 8 ans qu'il est au pouvoir avec des caisses pleines, qu'est ce qui l'a empeche de faire tt cela?

    Neuviemement: Khrot.



    Ayoub

    ..................................

    Bien vu

    Jawzia toujours là pour venir à la rescousse de Boutef .

    Commentaire


    • #32
      Dixièmement : Si l'effacement de la dette t'offusque outre mesure ... il est encore plus scandaleux que le propriétaire de 12.000 hectares (des terres les plus fertiles) s'auto-exonère sur le revenu jusqu'à .... 2014.

      La3ab H'mida, Rachem H'mida.

      Citation:
      Mohammed VI, grâce aux domaines royaux, soit 12 000 hectares d’exploitations, serait le plus grand exploitant agricole du pays. Ces domaines, créés en 1960, constituent un des principaux producteurs - exportateurs de fruits et légumes au Maroc, avec plus de 170 000 tonnes de production exportées à l’étranger. Par ailleurs, l'exonération totale des revenus agricoles, en vigueur depuis 1984, a été prolongée par le roi jusqu'au 31 décembre 2014, et ce, pour la deuxième fois consécutive.

      Jawzia

      .............................

      Peux tu à l'avenir donner tes sources de préférence des sources neutres et surtout répondre aux questions posées au lieu de faire diversion avec M6 et ses domaines royaux .

      Pourquoi Boutef a t'il attendu l'approche des élections pour ouvrir la période des étrennes ?( Noël !c'est pourtant passé)

      Ce que tu oublies de préciser c'est que ce sont les nantis du régime mafieux algérien qui vont bénéficier de cet effacement alors qu'ils ont détourné les terres agricoles pour spéculer dans l'immobilier et l'import/Import

      Extrait d'un article d'Al Watan du 2 Mars 2009:

      (....)Il ne faut pas être grand clerc pour deviner que l’effacement de l’ardoise va d’abord profiter aux « gros exploitants » dont on sait que beaucoup d’entre eux ont carrément détourné les crédits et prêts bancaires de leur destination agricole ou de la mise en valeur de nouvelles terres pour « investir » dans l’immobilier spéculatif ou dans « l’import-import » tout aussi « juteux »

      ...........................



      Qui dit vrai, qui dit faux ?



      L’effacement des dettes des agriculteurs et des éleveurs auprès des banques annoncé par Abdelaziz Bouteflika depuis Biskra doit-il être pris pour ce qu’il est, sans doute : un simple effet d’annonce.
      En effet, faut-il pour autant s’enthousiasmer et croire qu’enfin l’agriculture et son développement sont revenus comme centres d’intérêt des pouvoirs publics ?

      Trop tôt pour le dire et pas suffisant pour le croire, car au-delà du montant considérable – 41 milliards de dinars – que représente la dette concernée, une telle mesure n’aura aucun effet sur la majorité des petits agriculteurs qui, de toutes les manières, sont depuis longtemps exclus des prêts bancaires parce que jugés non solvables.

      Il ne faut pas être grand clerc pour deviner que l’effacement de l’ardoise va d’abord profiter aux « gros exploitants » dont on sait que beaucoup d’entre eux ont carrément détourné les crédits et prêts bancaires de leur destination agricole ou de la mise en valeur de nouvelles terres pour « investir » dans l’immobilier spéculatif ou dans « l’import-import » tout aussi « juteux ». Quant aux petits fellahs qui possèdent moins de 5 ha et qui constituent la majorité du monde agricole, l’embellie n’est sans doute pas pour demain.
      Ce « geste généreux » profitera davantage à ceux qui ont bénéficié de milliards de crédits et qui n’ont pas investi le moindre dinar dans l’agriculture. Le caractère spectaculaire de la mesure annoncée dans le cadre de la préparation de l’opinion à l’élection présidentielle ne cache pas moins la portée limitée et le bénéfice immense à qui elle va surtout profiter. L’agriculture a certes besoin de mesures énergiques d’incitation pour de vrais investissements dans l’accroissement des rendements, des surfaces cultivables et de la productivité, des mesures plus ciblées dont la portée se traduirait à terme par des résultats tangibles. Le monde rural aurait sans doute mieux accueilli des décisions liées à des abattements de taxes sur les intrants agricoles, des baisses remarquables des taux d’intérêt de prêts à long terme, une revalorisation des prix à la production de la céréaliculture, du lait, etc. Bref, des mesures qui contribueraient à éloigner le spectre de l’insécurité alimentaire, mais dont l’effet d’annonce à court terme, c’est-à-dire pour l’échéance du 9 avril prochain, serait nettement moindre.
      Mais le candidat-président ne pouvait laisser de côté le monde rural, surtout après l’annonce faite à Oran de revoir à la hausse le salaire minimum à partir de janvier prochain. La conjoncture électorale se prête, il est vrai, à toutes les mises en scène. Après les projets inaugurés plus d’une fois, les mesures qui n’en sont pas comme ce fut le cas de l’annonce, il y a quelques semaines à peine par l’UGTA, du paiement des salaires impayés au profit de 21 000 salariés, voilà une mesure qui n’a certes pas eu l’effet escompté d’autant qu’en 2007, l’ex-chef de gouvernement, Abdelaziz Belkhadem, avait solennellement annoncé devant les députés que le dossier des salaires impayés, concernant plus de 52 000 travailleurs, était définitivement réglé. Deux ans plus tard, à l’approche du 9 avril, on découvre qu’il ne l’était pas totalement et que 21 000 salariés étaient encore sur le carreau. Alors qui dit vrai, qui dit faux ?



      Par Reda Bekkat( Al watan)
      Dernière modification par chicha51, 05 mars 2009, 15h52.

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      • #33
        Jawzia toujours là pour venir à la rescousse de Boutef .
        moi aussi je dirai bien vue. ca c'est la réalité algérienne: y en a qui aiment et défendent leur président, y en a qui le critiquent ou ne l'aiment pas. l'algérie est plurielle.

        Est ce que Monsier le Président va tenir ces promesses, peut 10% d'entre elles, comme la majorité des politiciens. Mais ce qe je note le plus, c'est l'article d'el watan, une critique sérieuse et courageuse du président.

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        • #34
          je pense que Bouteflika en anulant la dette il sait quelque part que cela n'a aucune incidence.
          il ya au moins une chose en reponse a racdavid vbmenu_register("postmenu_1962059", true); qui a totalement raison que le fait d'effacer c'est aussi déresponsabiliser les investisseurs.
          D'un autre coté ce geste ne sera jamais fait si le dinars etait convertible. le president ne pourra jamais faire cela.
          Dans ceratine epoque meme en europe la monnaie peut devenir un bon de consommation ce phenomene etait visible dans les années post nazi ou la monnaie se deplassait en brouette. Anat cette datte le comptable principale allemand offrait des bons consommations a ces agents administratif mais ne pouvait pas garantir leur echange en oeuf tomate courgette farine huile etc.....les soldats nazis les prenaient de force dans les fermes française occupées.
          en tout cas l'action du president en epongeant cette dette n'a commis aucune faute disant économique et finaciere. tout juste il yavait un deplacement de chiffre d'un compte vers un autre mais ce qui est sure c'est son comptable doit faire attention au cours dans troisieme mandat. le comprtable doit conseillé a son president
          '' sidi erraysse bouteflika, la tomate que la tomate et rien que la tomate""
          bonne continuation

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