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Les ports d'Algérie moins performants que ceux du Maroc et la Tunisie

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  • #16
    La norme internationale c'est 25 conteneurs par heure, mais cet article est déjà dépassé puisque la gestion des ports algériens vient d'être donner à des grosses sociétés internationales.
    largement dépassé en effet...

    il faut reverifier les 7 jours du port d'alger.... ça va diminuer avec l'arrivée de DP.

    Et je ne sais pas combien fait le port de bejaia.. qui a été confié aux singapouriens..

    la norme semble il est de deux jours d'attente en moyenne....
    « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

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    • #17
      il est de huits jours au port de casablanca

      __________________________________________________ __

      L’objectif est de réduire le délai de séjour au port de 8 à 5 jours

      · 400.000 conteneurs sont traités par an à Casablanca
      Bledard tu nous sort un article de plus de 4 ans! Tu sais depuis bien des choses ce sont passés. Déjà on en est à plus de 700 000 conteneurs par an pour commencer. On est en 2009!

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      • #18
        tu nous sort un article de plus de 4 ans!
        C’est très bien, maintenant il faut juste laisser un p'tit " 4 ans " au port d'Alger pour on reparler.

        PS

        Mon message ne s'adresse pas particulièrement à toi Atlantic.
        .


        Nul n’est plus désespérément esclave, que ceux faussement convaincus d’être libres"-JWVG

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        • #19
          Bledard tu nous sort un article de plus de 4 ans! Tu sais depuis bien des choses ce sont passés. Déjà on en est à plus de 700 000 conteneurs par an pour commencer. On est en 2009!
          OK.. tu as le temps d'attente?

          c'est 3 jours c'ets ça?

          voici un article de juin 2008

          La décongestion, les premiers pas sur la bonne voie
          Le délai de séjour des conteneurs est passé de 13 à 8 jours
          Publié le : 06.06.2008 | 17h00

          Dernière modification par bledard_for_ever, 27 mars 2009, 10h27.
          « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

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          • #20
            http://www.mtpnet.gov.ma/met_piecesj...casablanca.pdf

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            • #21
              Année noire pour le port de Casa

              10/09/2008 01:00:00 - Jeune Afrique- Par : Julien Félix, à Casablanca -


              En attendant l'ouverture à la concurrence, la principale plate-forme maritime des échanges commerciaux du Maroc s'engorge chaque jour un peu plus.


              Quatrième port commercial d'Afrique, Casablanca assure près de 60 % des exportations et des importations marocaines. Mais en dépit de sa capacité de 700 000 EVP (« équivalent vingt pieds », l'unité de mesure des conteneurs), il est, aujourd'hui, complètement saturé. Une fois débarqué, un conteneur attend treize jours environ avant d'être évacué. Les bateaux en rade peuvent patienter jusqu'à une semaine avant d'être déchargés.





              « Nous avons dû faire face à une augmentation exceptionnelle du trafic en 2007, explique Mohammed Abdeljalil, président du directoire de Marsa Maroc. Mais nous nous sommes engagés à aménager des terre-pleins supplémentaires pour augmenter les capacités de stockage. Nous allons aussi investir dans du nouveau matériel et améliorer le traitement des conteneurs. Environ 2 % d'entre eux sont mal localisés, et nos équipes perdent du temps à les rechercher. »



              Pour l'heure, l'entreprise publique qu'il dirige est le seul opérateur portuaire. L'ouverture à la concurrence ne se fera pas avant la fin de l'année, avec l'arrivée de la Somaport. Cette société, filiale du groupe français CMA-CGM, réalise actuellement d'importants investissements en vue d'augmenter de 40 % la capacité actuelle du port. De son côté, l'Agence nationale des ports (ANP) s'est engagée à commencer les travaux d'un troisième terminal en 2008. Des appels d'offres ont été lancés, et plusieurs soumissionnaires se sont manifestés dans cette perspective. Parmi eux, la Société générale des travaux du Maroc (SGMT) et la Somagec.

              Augmentation des tarifs
              En attendant la fin de ces chantiers, l'ANP mise sur l'augmentation des tarifs de magasinage des conteneurs à l'importation, entrée en vigueur le 2 mai, pour réguler le trafic. Si les délais de franchise sont dépassés de cinq à sept jours - permettant d'allonger la période pendant laquelle les conteneurs peuvent quitter le port sans payer de taxe de stockage -, les coûts augmentent au-delà d'une semaine. La manoeuvre, qui s'inscrit dans la « feuille de route » lancée par le ministère marocain des Transports et les acteurs portuaires pour en finir avec les inquiétants problèmes d'engorgement du port apparus fin 2007, vise à dissuader les importateurs de le transformer en entrepôt.



              Ces initiatives suffiront-elles à calmer la grogne des utilisateurs ? Rien n'est moins sûr. Pour beaucoup, le problème dépasse de loin, en effet, les objectifs visés par ces aménagements. Nombreux sont ceux qui remettent en question, par exemple, la réforme du port lancée il y a un an. Celle-ci avait mis fin à un système d'un autre âge : la manutention sur les bateaux était assurée par des privés, et une société publique, l'Office d'exploitation des ports (Odep), assurait le travail à terre. Cette situation pesait lourd sur les coûts de passage et la productivité. Autre anomalie, l'Odep jouait le rôle d'autorité portuaire et se retrouvait, de fait, juge et partie. Le nouveau texte a sonné le glas de l'Odep, qui a éclaté en deux entités : l'ANP, nouvelle autorité portuaire, et Marsa Maroc.



              « On attendait tous cette réforme, mais elle devait également instaurer la libre concurrence. Pour cela, on va devoir encore attendre », regrette un usager. Pour lui, l'augmentation du trafic ne suffit pas à justifier les problèmes d'engorgement. « Si l'ancien système n'était pas très efficace, Marsa Maroc a du mal à mettre en place sa nouvelle activité. Les cadences de chargement et de déchargement ont considérablement diminué. Cela est dû aussi bien à un mauvais entretien des machines qu'à un manque de savoir-faire des personnels. Autre problème : beaucoup de hangars ont été rasés pour préparer le terrain en vue de l'arrivée des conteneurs de Somaport. Mais il y a, du coup, d'autant moins de place pour entreposer les marchandises conventionnelles. » Une chose est sûre, le port de Casablanca semble avoir bien du mal à suivre la libéralisation des échanges et l'accélération des investissements.

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              • #22
                salam azzouz

                On peut laisser au port d'alger le temps que vous voudrez. Moi je faisais juste remarquer que sortir des chiffres vieux de 4 ans ne veux rien dire que ça soit pour alger ou casa.

                Précision pour les autres : la situation au mois de septembre au port de Casa était exceptionnelle : c.d.d pas normal. Quand le délai était monté à 13 jours ça faisait la une des journaux télévisés et le ministre de l'équipement a du s expliquer longuement en public. Depuis les choses sont rentrés dans l'ordre.

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                • #23
                  Port de Casablanca: Collision à quai · Le Zagoura restera 15 jours au port

                  · Important manque à gagner pour l’armateur IMTC


                  Un accident s’est produit hier matin au port de Casablanca causant d’importants dégâts au bateau Zagoura qui était à quai. L’accident, qui n’a pas fait de victime, s’est produit lorsque le bateau Al Houria, qui était en manœuvres avec un pilote à bord, a heurté de plein fouet le Zagoura. L’Economiste a constaté que le choc a provoqué de grandes brèches à l’avant et côté quai (tribord) du Zagoura. Ce dernier devait terminer de charger ses conteneurs vers 16 h et appareiller à 17 h à destination de Barcelone et Gênes.

                  Selon le commandant du bateau, le Zagoura doit rester à quai pendant au moins deux semaines pour réparation. Il s’agit d’abord de procéder au découpage de dizaines de mètres carrés de tôle des parties touchées du bateau avant de les remplacer. Des experts étaient sur place hier pour évaluer l’ampleur des avaries. En tout cas, l’immobilisation du Zagoura va engendrer un important manque à gagner pour l’armateur IMTC.

                  L’incident du Zagoura remet, certes, au-devant de la scène la sécurité dans le premier port du Maroc. Mais pas seulement la sécurité. En effet, de nombreux retards dans les chargements et déchargements des bateaux ont été signalés. Pas plus de 30 à 50 conteneurs sont traités par shift de huit heures. Avant l’entrée en vigueur de la réforme portuaire, les dockers en faisaient jusqu’à 250 par shift. Sur place, des grues sont en panne, «depuis quelques jours déjà», confirment des dockers. En plus, des pannes électriques fréquentes paralysent souvent le travail des dockers et manutentionnaires tournant déjà à un rythme souvent lent. Tout cela provoque d’importants retards qui sont préjudiciables aux armateurs. Ces derniers paient entre 70.000 et 100.000 dollars par escale. En moyenne, un bateau reste à quai de 5 à 7 jours attendant d’être chargé ou déchargé. Mais il n’y a pas que les armateurs qui sont victimes de la situation qui prévaut actuellement au port de Casablanca. En effet, leurs clients sont eux aussi «pris en otage» et souvent ils n’arrivent pas à honorer leurs engagements. Un exportateur a déclaré à L’Economiste qu’il lui est «de plus en plus difficile de décrocher des contrats sur les marchés européens de grande consommation à cause des retards de livraison». «Quand on s’engage sur une date avec un supermarché en France, en Italie ou en Espagne, il faut que le produit soit réceptionné par le client à cette même date, pas un jour avant ni un jour après», explique-t-il. Pour les importateurs, c’est le même topo. Avec cependant un peu plus de retard qui n’est pas dû, dans ce cas précis, seulement au retard du déchargement, mais aussi aux transporteurs. «Le port est tellement congestionné que la circulation y devient de plus en plus difficile», affirme un transporteur travaillant pour une grande entreprise installée à Berrechid.
                  La réforme portuaire a-t-elle réussi? Peut-être, mais seulement sur certains aspects. Dans d’autres, le port de Casablanca continue de connaître les mêmes dysfonctionnements, la même pagaille, le même désordre.

                  Jamal Eddine HERRADI

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                  • #24
                    il y en a des grands investisements qui étaient lancé dérniérement par le roi au port de Casa.
                    Pour le port d'Alger, normalement aprés sa concession à un opérateur privé ça doit y aller mieux dans l'avenir.

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                    • #25
                      Oggy malgré le pire temps qu'on fait, et encore c'est juste le port de casa capitale economique du maroc, et qui est a chaque fois exeptionnel puisqu'il ne s'agit que d'une fois, on fait mieux que vous

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                      • #26
                        Pratiques surréalistes

                        Selon plusieurs témoignages émanant des transporteurs et aussi des commis en douane, le manque de matériel et de personnel au port favorise une autre pratique : le bakchich. «Rien n'est gratuit au port. Pour n'importe quel service, il faut «huiler», sinon il faut attendre une éternité», avance plusieurs transitaires et commis en douane. «De l'agent de police devant la porte d'accès au port à l'agent de la douane en passant par le magasinier, le pot de vin est obligatoire», ajoutent-ils. En effet, pour accéder au port, nous avons été obligés de payer un droit de passage à l'agent de police: 10 DH.

                        Parfois, la corruption prend des dimensions surréalistes. Pour transporter un conteneur vers l'espace réservé à la visite douanière, l'importateur ou son représentant (transitaire, commis) sont obligés de soudoyer le chauffeur du chariot cavalier. Le tarif qui était de dix dirhams avant la crise, a grimpé à 50 DH ces derniers jours. Pour recevoir l'argent, le corrompu fait descendre sa machine du haut de ses dizaines de mètres jusqu'en bas et le remonte. Puis, il descend de sa cabine et prend l'argent en toute tranquillité. Cette fameuse scène très célèbre chez les habitués du port se répète à longueur de journée alors que des milliers de conteneurs attendent en souffrance.

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                        • #27
                          Quelqu'un peut_il avoir l'honnêteté intellectuelle pour ne pas sortir des article vieux de plusieurs années sur le port de Casa, ou des articles qui qui ne sont pas en rapport avec la description d'un fait exceptionnel et ponstuel dans le temps qui font suite à des mouvements de gréves des dockers casablancais.

                          Merci !!!!

                          13 jours d'attente au port de casablanca avait fait bougé le ministre, le gouverneur et tous les responsables en rapport avec ce problème c'était à un tel point que tout les médias du pays (Journaux, Magazines, Radio, TV, Net) en ont parlé.

                          Le cas d'ALger et différent ce n'est pas un cas exceptionnel c'est un cas normale que d'avoir plus de 21 jours d'attente.

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                          • #28
                            les articles sont de 2008. ils datent de moins d'une année

                            Port de Casa : le délai moyen de séjour

                            13 juin 2008

                            Il était de 13,5 jours 6 mois auparavant n Les actions programmées en décembre 2007 permettront d’éviter la congestion estivale Une zone de stockage de 16 ha sera mise en service d’ici fin juillet.


                            Le port de Casablanca connaîtra-t-il à nouveau des perturbations comme ce fut le cas l’été dernier ? Pour les autorités portuaires qui ont organisé la semaine dernière une visite au port et fait le point sur l’état d’avancement de la «feuille de route» signée le 14 décembre 2007 entre les intervenants ( ANP, douane, ministère de l’équipement, ministère du commerce et de l’industrie, agriculture, CGEM, etc.), la réponse est négative.

                            Ainsi, malgré une forte hausse du trafic à fin mai 2008 (+20 % par rapport à la même période de 2007) et une augmentation de 20% de la cargaison moyenne des navires, on constate de meilleures conditions de transit durant les premiers mois de l’année. Ainsi, le délai moyen de séjour a baissé de 13,5 jours par rapport au deuxième semestre 2007 à 12,79 jours.
                            Dernière modification par Oggy, 27 mars 2009, 22h05.

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