L’indice de confiance du consommateur algérien augmente de 1,5%
L’indice de confiance des consommateurs algériens est en hausse, selon une étude du bureau conseil YouGov et bayt.com. C’est d’ailleurs le seul dans le monde arabe qui enregistre une hausse (+1,5%) si l’on tient compte des conclusions de cette étude.
L'indice de confiance des consommateurs dans le monde arabe a été réalisé via Internet entre la période du 2 février au 2 mars 2009, avec 8.686 personnes ayant pris part à ce sondage. Il a concerné l’Algérie, les Émirats arabes unis, l’Arabie saoudite, le Qatar, Oman, le Koweït, Bahreïn, la Syrie, la Jordanie, le Liban, l’Egypte, le Maroc, la Tunisie et le Pakistan.
Les initiateurs de ce sondage expliquent cette remontée de la confiance des Algériens par le fait que l’Algérie soit aux côtés de la Syrie parmi les pays les moins touchés par la crise économique mondiale. L’indice enregistré par l’Algérie, cette année, est de 9,5 points contre 8 points en 2008. L’indice de confiance est un indicateur qui aide les entreprises à avoir une vision claire sur le pouvoir d’achat des clients potentiels afin d’y indexer leur production et prix et de gérer leurs stocks. L’étude, qui a inclus les consommateurs algériens, est très importante pour les opérateurs qui s’intéressent au marché algérien. L’étude note que les données collectées auprès des personnes sondées, laisse penser qu’il y a eu une amélioration des finances personnelles des Algériens de 31%. Il s’agit, indique-t-on, du plus grand bond en la matière.
Tirer profit de la crise
Il n’y a que le Qatar et l’Arabie saoudite qui ont réalisé d’aussi bons scores avec respectivement 29% et 28% des citoyens qui disent que leur situation financière se soit améliorée. Il ressort, également, de l’étude que les Algériens affirment que leur pouvoir d’achat s’est amélioré. L’indice démontre également que, malgré le climat morose induit par la crise économique et financière internationale, les citoyens du monde arabe restent confiants de manière générale. Ainsi, 28% d’entre eux estiment que l'économie de leur pays sera meilleure dans un délai d'un an, alors que 20% pensent qu'elle va rester la même. Les Algériens font partie des 19% qui estiment que le moment est propice pour réaliser de grosses dépenses. Cette étude démontre que le marché algérien est devenu très attractif pour les entreprises étrangères. Il faut dire que notre pays peut se prévaloir d’avoir une position financière que lui envieraient bien des Nations dans ce contexte de crise avec, comme fonds de toile, des économies en récessions et le chômage qui va crescendo dans de nombreux pays. Avec des réserves de change de près de 140 milliards de dollars, un niveau d’endettement très faible, un fonds de régulation des recettes dont le montant dépasse les 4.000 milliards de dinars, l’Algérie peut voir l’avenir avec plus de sérénité que les autres pays du monde arabe qui ont été, pour la plupart, touchés par la crise financière. Les pays du Golfe, notamment, ont été sérieusement ébranlés par le séisme qui a secoué l’ensemble des places financières internationales du fait que leur système bancaire y soit connecté, contrairement à l’Algérie.
Le Financier
L’indice de confiance des consommateurs algériens est en hausse, selon une étude du bureau conseil YouGov et bayt.com. C’est d’ailleurs le seul dans le monde arabe qui enregistre une hausse (+1,5%) si l’on tient compte des conclusions de cette étude.
L'indice de confiance des consommateurs dans le monde arabe a été réalisé via Internet entre la période du 2 février au 2 mars 2009, avec 8.686 personnes ayant pris part à ce sondage. Il a concerné l’Algérie, les Émirats arabes unis, l’Arabie saoudite, le Qatar, Oman, le Koweït, Bahreïn, la Syrie, la Jordanie, le Liban, l’Egypte, le Maroc, la Tunisie et le Pakistan.
Les initiateurs de ce sondage expliquent cette remontée de la confiance des Algériens par le fait que l’Algérie soit aux côtés de la Syrie parmi les pays les moins touchés par la crise économique mondiale. L’indice enregistré par l’Algérie, cette année, est de 9,5 points contre 8 points en 2008. L’indice de confiance est un indicateur qui aide les entreprises à avoir une vision claire sur le pouvoir d’achat des clients potentiels afin d’y indexer leur production et prix et de gérer leurs stocks. L’étude, qui a inclus les consommateurs algériens, est très importante pour les opérateurs qui s’intéressent au marché algérien. L’étude note que les données collectées auprès des personnes sondées, laisse penser qu’il y a eu une amélioration des finances personnelles des Algériens de 31%. Il s’agit, indique-t-on, du plus grand bond en la matière.
Tirer profit de la crise
Il n’y a que le Qatar et l’Arabie saoudite qui ont réalisé d’aussi bons scores avec respectivement 29% et 28% des citoyens qui disent que leur situation financière se soit améliorée. Il ressort, également, de l’étude que les Algériens affirment que leur pouvoir d’achat s’est amélioré. L’indice démontre également que, malgré le climat morose induit par la crise économique et financière internationale, les citoyens du monde arabe restent confiants de manière générale. Ainsi, 28% d’entre eux estiment que l'économie de leur pays sera meilleure dans un délai d'un an, alors que 20% pensent qu'elle va rester la même. Les Algériens font partie des 19% qui estiment que le moment est propice pour réaliser de grosses dépenses. Cette étude démontre que le marché algérien est devenu très attractif pour les entreprises étrangères. Il faut dire que notre pays peut se prévaloir d’avoir une position financière que lui envieraient bien des Nations dans ce contexte de crise avec, comme fonds de toile, des économies en récessions et le chômage qui va crescendo dans de nombreux pays. Avec des réserves de change de près de 140 milliards de dollars, un niveau d’endettement très faible, un fonds de régulation des recettes dont le montant dépasse les 4.000 milliards de dinars, l’Algérie peut voir l’avenir avec plus de sérénité que les autres pays du monde arabe qui ont été, pour la plupart, touchés par la crise financière. Les pays du Golfe, notamment, ont été sérieusement ébranlés par le séisme qui a secoué l’ensemble des places financières internationales du fait que leur système bancaire y soit connecté, contrairement à l’Algérie.
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