Le télépaiement fait ses premiers pas en Algérie

[Lezard_01]

Savez vous ce qu'est un ingenieur d'affaire... je connais la réponse j'espere que vous aussi.

Exactement bledard... c'est un commercial ni plus, ni moins. Il a une jolie carte de credit de l'entreprise pour inviter et flatter les clients, il passe ses journées à repondre aux appels d'offre et parfois s'occupe du recrutement. Voila ce qu'est un ingénieur d'affaire. Je n'ai d'ailleurs jamais compris comment il pouvait hériter du titre d'ingenieur... etrange.

Ça montre que tu n'as absolument la moindre idée sur le sujet et que tu es tout a fait loin, très loin du domaine et du niveau académique.
Avant de poser la question prends au moins le soin de googler un peu ou de consulter, pour une fois dans ta vie, le site d'une université ou grande école.
Et je peu t'affirmer que tu ne connais d'ingénieur d'affaire que leurs carte de crédits

D'abord il n'y pas de profil norme pour un ingénieur d'affaire.

Cependant deux parcours sont les plus fréquents:

1- on fait un diplome dans une branche economique et un master ensuite
2- On fait un diplome d'ingénieur et un master economie/marketing.

Je suis moi même ingénieur d'affaire depuis plus de 10 ans avec le parcours Nr 2.

J'ai fais toute mes études (Bac +5 +2) en Europe et j'y avais travaillé 7 ans avant de rentrer au Maroc.
Avec les etudes modulaires actuellement un etudiant d'une branche technique peut choisir les modules necessaires lui permettant d'excercer le travail d'ingénieur d'affaire avec seulement un BAC +5.

Évites de parler de ce que tu ne connais.

[Churikan]

Le Maroc dépasse 2,5 millions de cartes VISA

En monétique, le Maroc devance de loin les pays du Maghreb. Le Royaume vient de dépasser les 2,5 millions de cartes Visa. Ces cartes ont effectué plus de 55 millions d’opérations pour un montant global de 40 milliards de dirhams en 2006. « En fait, dans la région de l’Afrique francophone, les deux tiers de l’activité de Visa sont concentrés au Maroc », a tenu à préciser Daniel Paltrinieri, directeur régional de Visa International pour l’Afrique du Nord, de l’Ouest et du Centre, lors d’une conférence de presse, jeudi dernier, à Casablanca.
« On peut constater que dans la région du Maghreb, le Maroc est le pays le plus développé en la matière.
En effet, entre juin 2006 et juin 2007, les cartes VISA émises par les banques marocaines ont connu une augmentation de 30,64 % », selon la mangement de Visa. Si le Maroc arrive en première place avec 2,5 millions de cartes Visa, la Tunisie, elle, occupe la seconde place avec seulement 600.000 cartes.
L’expansion de la monétique est soutenue par un accroissement continu sur le réseau d’acceptation. Au cours de ces dernières années, ce réseau continue de s’étendre, aussi bien au niveau des guichets automatiques de billets comme au niveau des commerçants. Les guichets automatiques de billets acceptant les cartes Visa sont aujourd’hui au nombre de 2.944 alors qu’ils étaient 2.416 en juin 2006. Pour sa part, le nombre de commerçants a dépassé les 17.000.
« Dans la région d’Afrique du Nord, le Maroc est donc en tête des pays les plus développés dans le secteur de la monétique. La croissance soutenue de l’économie marocaine, la demande accrue en moyens de paiements électroniques et la structure du marché bancaire ont motivé l’installation en 2005 d’un bureau régional de Visa à Casablanca », ajoute M. Paltrinieri. Ce bureau multiplie ses actions pour sensibiliser les consommateurs sur la nécessité d’adhérer au paiement électronique. Simple, efficace et surtout sûr, ce mode de paiement présente des avantages qui devraient mettre encourager l’utilisation pour les achats de tous les jours, selon les responsables de cette carte internationale.
Ces derniers ne ménagent aucun effort pour modifier la culture du cash très présente dans notre société. «Visa partage son expertise dans le domaine de la monétique afin de développer le paiement électronique en offrant des services et des produits innovants», affirme M. Paltrinieri.
Dans ce sens, Visa réalise des actions conjointes et durables avec les différents intervenants du marché notamment avec le GPBM, le CMI, Bank Al-Maghrib.

Avant , échanger des francs ( où tout autre devise)au Maroc n'a jamais été un problème( il suffit de taper à la bonne porte) , aujourd'hui toutes les banques échangent des devises ( pas la peine de passer par le marché noir).

Mais qu'est ce qu'il raconte ????
La comparaison doit etre sur la base du nombre des distributeurs et transactions par habitant ou par km2
Voila les resultats de l'une des societe actionnant dans le domaines de la monetiques en Tunisie. C'est la societe pioneer au maghreb dans le domaine de la monetique.

Monetique-Tunisie
Année 2008
Nombre total de cartes en circulation 1 870 125
Nombre de GAB en activité 1 246
Nombre de "TPE" en activité 9 583
Nombre de commerçants affiliés 13 284
Nombre total des opérations « cartes » en millions 30, 991
Chiffre d’affaires total en milliers de DT dont : 3 134 327


Sinon Voila un article pas tout a fait recent sur l'actualite de la monetique en tunisie...


Embellie du secteur de la monétique en Tunisie

Avec 25 millions d’opérations par carte bancaire en 2007, la monétique est en pleine expansion en Tunisie. Un programme de réduction des coûts des transactions devrait consolider davantage l’embellie du secteur.

Par Walid Kéfi, Tunis

La 2e édition du Salon banques et monétique 2008, tenu du 31 octobre au 2 novembre à Tunis, a révélé une belle progression de la monétique en Tunisie. Le nombre des cartes bancaires a atteint 2,5 millions en 2007, contre 508 000 en 2001, selon les statistiques de la Société monétique-Tunisie (SMT), une filiale de toutes les banques tunisiennes créée en 1989. Avec environ un million d’unités, les cartes Visa arrivent en première position, suivies par les cartes de retrait locales et les MasterCard.

Au cours de la même période, le nombre des distributeurs automatiques de billets (DAB) a enregistré une forte progression pour s’établir à 1100 unités en 2007 contre 450 six années auparavant, selon la société spécialisée dans la conception, l’intégration, l’exploitation et la gestion de solutions monétiques. De son côté, le nombre des terminaux de paiement électronique (TPE) est passé de 3500 unités en 2001 à 8577 unités en 2007. Cette évolution au niveau des équipements a permis de quadrupler le nombre des opérations de retrait et de paiement par carte bancaire, qui a atteint 25 millions transactions en 2007.



Nouveaux services

Pour atteindre l’objectif de 50 millions de transactions par carte bancaire en 2009, les banques tunisiennes œuvrent à étoffer leur panel de services de paiement sécurisés. Un nouveau service, appelé Mobil Top-Up, permettant la recharge des téléphones portables via les DAB, est opérationnel depuis juillet dernier. Il a été lancé suite à un accord avec l’opérateur de téléphonie mobile privé Tunisiana, la filiale tunisienne d’Orascom Télécom. Un autre service, qui doit permettre aux clients des banques de régler directement leurs factures à travers les DAB et les téléphones portables, sera lancé avant fin 2008. « Cette nouvelle solution baptisée Bill Payement ne concernera dans une première étape que le paiement des factures de la Société tunisienne d’électricité et de gaz (STEG) et de la Société nationale d’exploitation et de distribution de l’eau (SONEDE) », explique Khaled Fradi, directeur de la SMT.

Tous les établissements tunisiens de crédit viennent également de mettre à la disposition de leurs clients une « carte allocation touristique » permettant le retrait d’espèces et le règlement des achats à l’étranger. Le porteur de cette carte bénéficie automatiquement d’une assurance-maladie et d’une assistance à l’étranger, notamment en cas de perte ou de vol de sa carte.

La SMT, qui a reçu récemment le premier prix pour le meilleur programme national assurant la transition de la carte magnétique à la carte intelligente pour la région Afrique, Moyen-Orient et sud-est asiatique, décerné par MasterCard, vient aussi de signer des accords avec American Express Diners Club pour l’acceptation des cartes de ces deux opérateurs en Tunisie au nom de l’ensemble du secteur bancaire local.



« Démocratiser » le paiement électronique

Le programme national de promotion de la monétique s’est fixé, d’autre part, pour objectif de porter le nombre des commerçants adhérant au paiement par carte bancaire à 26 000 en 2009, contre 12 000 en 2007. « Cet objectif sera réalisé grâce à la mise en place début 2009 d’un réseau de communication interbancaire pour les terminaux de paiement électronique (TPE) qui va réduire de 90% le coût de communication des commerçants », indique M. Fradi.

Selon lui, un régime d’assurances, couvrant les opérations financières en ligne, sera également proposé aux commerçants dont la « frilosité » explique la faiblesse des transactions par carte bancaire liées au commerce électronique. Le nombre des ces transactions s’est limité à 149 863 sur un total de plus de 22 millions d’opérations entre le 1er janvier et le 30 septembre 2008.

(reprise de l'article du journal numéro 51, 6 au 12 novembre 2008)

[Churikan]

La Société monétique de Tunisie s’implante en Algérie

Et enfin voila comment l'Algerie, la libye et bcp d'autres pays africains ont commence l'histoire du payement electronique

La Société monétique de Tunisie s’implante en Algérie
SMT s’instale en Algérie, émanation de plusieurs banques tunisiennes, a été créée pour promouvoir et gérer le système des cartes de paiement bancaires : plate-forme monétique et transactions.

La SMT a remporté plusieurs contrats en Algérie, destinés à promouvoir l’utilisation des cartes bancaires, avec la Banque de développement local pour la personnalisation des cartes monétiques, les transactions internationales des clients, l’utilisation des cartes étrangères sur les distributeurs de la banque algérienne. La Société Monétique Tunisie (SMT), entreprise à participations bancaires dans son capital et qui gère notamment tout de ce qui se rapporte aux cartes bancaires, de la personnalisation à la gestion des transactions via sa plateforme monétique, vient de signer un important accord avec la Banque de développement local (BDL). Au terme de cet accord, la SMT gèrera tout l’aspect personnalisation des cartes monétiques de cette banque algérienne, ainsi que les transactions internationales des clients de cette banque via les cartes et l’acceptation des cartes étrangères sur ses distributeurs. Le prix des transactions sera facturé comme pour les banques tunisiennes non actionnaires à la SMT, c’est à dire avec une simple marge de 5 % sur les taux appliqués à ses propres actionnaires.

Ce contrat avec la Banque de développement local s’ajoutera ainsi à ceux déjà signés en Algérie avec le Crédit Populaire d’Algérie pour les transactions Master Card et avec d’autres banques, notamment en Libye pour la banque Amen Bank of commerce & investment et le Gimtel de Mauritanie. En Algérie, la carte bancaire est aujourd’hui encore peu répandue et est essentiellement utilisée pour effectuer des retraits d’argent au distributeur. Le projet de généralisation de la monétique fait partie intégrante de la réforme financière menée par le ministère des Finances, visant en particulier à moderniser les instruments de paiement. Il permettra de remplacer progressivement l’utilisation massive de la monnaie fiduciaire par la monnaie scripturale. A noter néanmoins que " la monétique est en phase de construction dans un cadre interbancaire. Cela prend beaucoup de temps et il faut une certaine planification ". La carte bancaire devient le premier instrument de paiement et l’Algérie ne doit pas rester à la traîne.

Les banques algériennes ont déjà pris une bonne initiative de s’unir autour de la Société algérienne de transactions interbancaires et de la monétique (Satim) pour lancer le projet de paiement électronique. Certains experts ont estimé que le marché algérien peut contenir jusqu’à 10 millions de cartes à puce dans les 3 prochaines années, car il y a un potentiel important à développer, notamment en termes de généralisation des moyens de paiement électronique.

Salima Zouggar — La Maghreb

[Lezard_01]

La comparaison doit etre sur la base du nombre des distributeurs et transactions par habitant ou par km2

très juste

[mehdoche]

Ça montre que tu n'as absolument la moindre idée sur le sujet et que tu es tout a fait loin, très loin du domaine et du niveau académique.
Avant de poser la question prends au moins le soin de googler un peu ou de consulter, pour une fois dans ta vie, le site d'une université ou grande école.
Et je peu t'affirmer que tu ne connais d'ingénieur d'affaire que leurs carte de crédits

D'abord il n'y pas de profil norme pour un ingénieur d'affaire.

Cependant deux parcours sont les plus fréquents:

1- on fait un diplome dans une branche economique et un master ensuite
2- On fait un diplome d'ingénieur et un master economie/marketing.

Je suis moi même ingénieur d'affaire depuis plus de 10 ans avec le parcours Nr 2.

J'ai fais toute mes études (Bac +5 +2) en Europe et j'y avais travaillé 7 ans avant de rentrer au Maroc.
Avec les etudes modulaires actuellement un etudiant d'une branche technique peut choisir les modules necessaires lui permettant d'excercer le travail d'ingénieur d'affaire avec seulement un BAC +5.

Évites de parler de ce que tu ne connais.

Alors on recommence. Apres chicha voila Lezard.
Je suis ingenieur spécialisé dans les SI et le genie logiciel. Je travaille pour l'une des plus grandes SS2I internationale qui a pignon sur rue à Paris depuis plus de 6 ans. Je suis donc consultant senior.
Ce que tu m'as recité c'est la theorie, c'est la lecon que tu as appris par coeur. Maintenant il y a la réalité : si tu relis ce que j'ai ecris je n'ai jamais dit que les ingenieur d'affaire etait tous des sans diplomes. Bien entendu qu'il y en a, qu'il a des personnes sorties d'ecole d'ingé par exemple et qui sont devenu ingenieur d'affaire. Mais ce que je dis c'est que n'importe qui peut faire ce métier. Il n'y a rien de tres compliqué à faire ingenieur d'affaire. Par définition un ingenieur d'affaire est la pour developper le business de l'entreprise en fidelisant les clients, en decrochant des appels d'offre, en rentabilisant les comptes qu'il a à sa charge (en limitant les intercontrant des consultant qu'il a sous sa responsabilité).
Et ca c'est la realité du terrain que j'affronte tous les jours. Tiens ce midi je dejeune avec mon commercial ou mon ingenieur d'affaire. Je vais lui redemander ses diplomes (mais je connais la réponse, il a fait licence bio avant d'arreter et de devenir commercial). N'importe qui qui a de la tchatche, qui sait s'exprimer et qui connait un minimum le métier client peut devenir ingenieur d'affaire.

[Lezard_01]

Je suis ingenieur spécialisé dans les SI et le genie logiciel

Si toi tu es ingénieur alors Einstein est un analphabète! le monde a l'envers

Ce que tu m'as recité c'est la theorie, c'est la lecon que tu as appris par coeur. Maintenant il y a la réalité

Théorieet réalité, je crains que ce sont là deux choses qui semblent t'échapper malheureusement.

Tiens ce midi je dejeune avec mon commercial ou mon ingenieur d'affaire

Sinon bon appétit pour ton "déjeuner d'affaire". C'est effectivement comme ca qu'on imagine souvent le travail d'ingénieur d'affaire

[Kriss]

En tant que spécialiste RH d'une multinationale IT,je confirme ce que dit Mehdoche. Un ingénieur d'affaire est un commercial quelque soit son niveau de formation

[mehdoche]

Si toi tu es ingénieur alors Einstein est un analphabète! le monde a l'envers

Théorieet réalité, je crains que ce sont là deux choses qui semblent t'échapper malheureusement.

en mal d'arguments... en fait tu tchatches beaucoup d'où tes competences en tant que commercial. En valeur ajoutée pas grand chose, d'où encore tes compétence en tant que commercial.
Conclusion : ingenieur d'affaire etait ta vocation.

En tant que spécialiste RH d'une multinationale IT,je confirme ce que dit Mehdoche. Un ingénieur d'affaire est un commercial quelque soit son niveau de formation

Non mais laisse, il vit dans un monde paralléle. Je pense qu'il est vexé par la realité de son métier (tant soit peu qu'il soit vraiment ingenieur d'affaire, ben oui je me permets d'emettre des doutes sur la realité puisque tu en emets me concernant). Le boulanger du coin peut devenir ingenieur d'affaire. Faut pas faire saint cyr pour le savoir. Dans ma boite, sur 10 ingenieur d'affaire il y en a au moins 7 qui ont un cursus qui n'a absolument rien à voir avec le métier de base. Pauvre petite lezard, la realité est dure, aussi dure que le jour où tu as decouvert que le pere noel etait une légende....
Allez sans rancunes et pour me faire pardonner, je peux t'envoyer un CV ? Ben oui parce qu'à part tchatcher, tu fais aussi du recrutement... Tchatcher et recruter tel est ma raison. Allez j'arrete.

[Lezard_01]

... en fait tu tchatches beaucoup

en fait

mehdoche
Messages au total: 4 413 (5,53 messages par jour)

Je suppose que tu as appris les opérations < et > et que tu es en mesure, tout seul, de conclure qui de nous ne fais que "tchatcher"

[chicha51]

Ce que tu m'as recité c'est la theorie, c'est la lecon que tu as appris par coeur. Maintenant il y a la réalité : si tu relis ce que j'ai ecris je n'ai jamais dit que les ingenieur d'affaire etait tous des sans diplomes.

Mehdoche

...................................

On parle d'un type qui sort d'une grande école ( ENSIAS) qui produit de vrais ingénieurs et toi tu nous dis que n'importe qui ( pourvu qu'il soit lettré) peut devenir un "ingénieur" et tout le tralala.

Pas la peine de t'enfoncer encore plus .

Celui que tu as traité de pur commercial est un lauréat de l'ENSIAS et est par conséquent un INGÉNIEUR qui a trimé pour atteindre ce grade .

Il est d'abord un ingenieur spécialisé en Technologies de l'Information et de la Communication avant d'etre un ingenieur d'affaire car il faut maitriser son sujet pour démarcher des entreprises ,leur présenter les produits de sa société ,identifier les produits pouvant répondre à leurs besoins, rencontrer les prospects ,déterminer avec eux un projet adapté à leurs besoins.,mettre au point une proposition commerciale et technique (cahier des charges), négocier les contrats en prenant en compte les risques financiers et juridiques.

Je suis moi meme ingenieur dans les nouvelles technologies spécialisé dans les SI et le genie logiciel.

Laisse moi en douter si tu élèves un représentant ou un commercial au niveau d'un ingénieur car si c'est le cas c'est une usurpation de grade et de fonction

Arrête donc avec le H.S et revient à la discussion initiale ;Celle de la monétique au Maghreb.

[Lezard_01]

On parle d'un type qui sort d'une grande école ( ENSIAS) qui produit de vraiset tout le tralala. ingénieurs et toi tu nous parles d'un cordonnier qui peut devenir un "ingénieur" d'affaire

L'Homme est le produit de son environnement

[bledard_for_ever]

J'ai fais toute mes études (Bac +5 +2) en Europe et j'y avais travaillé 7 ans avant de rentrer au Maroc.
Avec les etudes modulaires actuellement un etudiant d'une branche technique peut choisir les modules necessaires lui permettant d'excercer le travail d'ingénieur d'affaire avec seulement un BAC +5.

Alors tes 7 ans d'expériences à l'etranger ne t'ont pas permis de voir bcp de monde pour classifier un "ingénieur d'affaires" en cursus 1 et 2

[mehdoche]

Je suppose que tu as appris les opérations < et > et que tu es en mesure, tout seul, de conclure qui de nous ne fais que "tchatcher"

Et quel est le rapport ? j'ai plus de message donc je tchatche plus ? Si tu commencais par regarder ma date d'inscription par rapport à la tienne. Tu as tellement peu de reparti que tu en es à me sortir ça... wowwwww finalement pas si bon commercial que ca.

On parle d'un type qui sort d'une grande école ( ENSIAS) qui produit de vrais ingénieurs et toi tu nous dis que n'importe qui ( pourvu qu'il soit lettré) peut devenir un "ingénieur" et tout le tralala.

Pas la peine de t'enfoncer encore plus .

Celui que tu as traité de pur commercial est un lauréat de l'ENSIAS et est par conséquent un INGÉNIEUR qui a trimé pour atteindre ce grade .

Alors je me repete puisqu'encore une fois tu lis en diagonale. Bien sur qu'il y a des ingenieurs d'affaire qui ont un vrai diplome d'ingénieur (j'en connais tout plein). Mais il y a également bcp d'ingenieurs d'affaire qui ont un diplome de rien de tout. Le métier de commercial un BAC+2 peut le faire facilement. Allez du concret : j'ai bossé, collaboré pour Cap Gemini, Atos Origin, Altran CIS, Alten, etc. Je peux continuer la liste... et j'ai toujours constaté les meme profils chez les ingenieur d'affaire.

Laisse moi en douter si tu élèves un représentant ou un commercial au niveau d'un ingénieur car si c'est le cas c'est une usurpation de grade et de fonction

Arrête donc avec le H.S et revient à la discussion initiale ;Celle de la monétique au Maghreb.

Qu'est ce qui ya tu fais un double complexe d'inferiorité ? Tu viens d'apprendre que j'etais algerien et ingenieur. Allez ca va aller.
Bref en etant ingenieur et consultant je crois connaitre mieux que toi la réalité du terrain.
Ah oui j'ai demandé à mon commercial son diplome : il a fait une licence en marketing puis il a arreté pour devenir ingenieur d'affaire. Quand je vous dis que n'importe qui peut faire commercial ou "ingenieur d'affaire".

[Bachi]

Ingénieur en quoi, l'ingénieur d'affaire ?
Quel génie ?

[El-NiNo]

hého là les techniciens, z'arrêtez de dénigrer les commerciaux et les marketaires. Ils ont toujours su faire fonctionner une entreprise mieux que vous.