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L'Algérie met le cap sur les énergies renouvelables

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  • #61
    Laayoune est mieux eclairee qu'alger, c'est qu'on n'a pas de coupure de ce cote ci... Aides toi, apres penses a aider les autres

    Pour l'ENIE, gros blagueur va!
    Production electrique:

    Algerie:33.12 milliards kWh
    Maroc:21.88 milliards kWh

    Consommation electrique:

    Algerie:26.91 milliards kWh
    Maroc:19.58 milliards kWh

    Gallek laayoune.......je me marre.......a profusion

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    • #62
      Il nous a sorti une association et un revendeur pour nous impressioner...
      hehe, no comment... Tu as sorti exactement la meme chose, tu voulais faire croire a tout le monde qu'une entreprise algerienne maitrisait la technologie photovoltaique de A a Z, je veux bien si c'etait vrai, mais il parait qu'il y a de la "supervision" espagnole. Je comprends que tu sois irrité et que tu ne trouves pas la replique.

      Ce qui va pour toi va pous jawzia aussi.

      Pour revenir au coeur du sujet, tjs pas UNE realisation? daaamn, c'est pire que je ne le pensais...

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      • #63
        la technologie du solaire est disponible et tend à se démocratiser, le seul pb actuellement: on ne sait pas la stocker efficacement. Reste le potentiel, en algerie, qui dispose des plus grandes reserves d'ensoleillement du bassin méditérraneen.
        le Solaire Thermique est de 169 440 TWh/an soit l’équivalent de 38 000 milliards m3/an, représentant prés de 4 fois la consommation énergétique mondiale.(source : (agence spaciale allemande”DLR”)

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        • #64
          Le solaire algérien souffre de la concurrence déloyale des énergies fossiles
          Le marché de l’énergie solaire n’arrivait pas à décoller en Algérie. Les pressions extérieures pour sortir du carbone ont donné une impulsion à un pays au potentiel solaire exceptionnel.

          Par Mélanie Matarese, Alger

          « Nous avons perdu énormément de temps et d’argent, nous avons beaucoup pollué. Maintenant, il n’est plus possible de fonctionner sur une politique énergétique basée à 100% sur les hydrocarbures. » Pour Selim Kehal, directeur adjoint du Centre de développement des énergies renouvelables, l’Algérie n’a plus le choix. « Le gouvernement doit prendre des mesures concrètes pour soutenir le marché des énergies alternatives. » A commencer par celui de l’énergie solaire, le plus facile et le moins coûteux à développer, encore trop timide et très en retard par rapport à celui des voisins tunisiens et marocains (voir encadré). En cause : les prix subventionnés du gaz et de l’électricité. « Le marché du solaire est victime d’une concurrence déloyale, résume un entrepreneur algérien spécialisé dans cette technologie. Economiquement, les entreprises et les particuliers n’ont pas le choix : pourquoi iraient-ils dépenser des sommes importantes pour des équipements qu’ils amortiront sur plusieurs années, alors que les énergies conventionnelles ne leur coûtent quasiment rien ? »
          De l’or pour le sud de la Méditerranée qui, dans les vingt prochaines années, devrait voir sa population passer de 200 à 400 millions d’habitants et sa consommation d’énergie tripler.

          Potentiellement 6 kWh au m2 au sud !
          Mais le vent du changement semble se lever. Trois facteurs pourraient permettre à un marché des énergies propres de réellement émerger. D’abord, l’Algérie (qui a ratifié le protocole de Kyoto) est sensibilisée comme tout le monde à l’épuisement des ressources fossiles et à la responsabilité des gaz à effets de serre dans les changements climatiques. « Nous aussi, nous allons être obligés de changer nos habitudes et de penser “économies”, car les prix du gaz et du pétrole vont continuer à augmenter », poursuit un responsable du développement des énergies renouvelables. Selim Kehal va plus loin : « La courbe ascendante du prix du baril va croiser celle du prix du kilowatt-heure solaire, qui lui est de moins en moins cher. On estime qu’en 2020 ce dernier sera plus compétitif. »
          Ce changement pourrait être accéléré par l’extraordinaire potentiel solaire algérien – premier gisement du bassin méditerranéen avec 3000 heures d’ensoleillement par an – encore inexploité, capable de produire 6 kWh d’électricité par mètre carré au sud et 4 kWh au nord. De l’or pour le sud de la Méditerranée qui, dans les vingt prochaines années, devrait voir sa population passer de 200 à 400 millions d’habitants et sa consommation d’énergie tripler.
          Les Européens l’ont bien compris et – c’est le troisième facteur – incitent de plus en plus les pays du Maghreb à créer un marché susceptible de leur fournir ce dont ils ont besoin pour réduire leurs émissions de gaz à effets de serre. Car grâce aux mécanismes du protocole de Kyoto, l’achat d’énergies propres à des pays non pollueurs permet de faire baisser les émissions. « Ne nous y trompons pas, nuance l’entrepreneur algérien qui attend depuis trois ans une ouverture du marché, si les choses sont en train d’évoluer, on ne le doit pas à une subite volonté politique de valoriser les énergies propres, mais à des pressions extérieures. »

          Investir ? Oui, mais pour quel marché ?
          Les entreprises désireuses d’investir se heurtent quant à elles aux mêmes blocages depuis des années. « Il n’existe toujours pas de cadre juridique favorable », relève Andrea Hergenröther, directeur général de la Chambre algéro-allemande de commerce et d’industrie. « Le coût des énergies renouvelables est très élevé. Nous voulons bien investir pour produire des panneaux solaires, par exemple, à condition de savoir pour quel marché ? Or la demande actuelle ne justifie pas de tels investissements. Par ailleurs, la nouvelle directive du Premier ministre selon laquelle les sociétés importatrices étrangères devront ouvrir 30% de leur capital à des firmes algériennes ne contribue pas à rassurer les investisseurs. » Les professionnels algériens réclament de leur côté des textes d’accompagnement à la loi 2004 du Ministère de l’environnement relative à la promotion des énergies renouvelables, arguant que l’idée de départ doit maintenant s’accompagner de réelles mesures incitatives pour le particulier et l’entrepreneur. « Car pour l’instant, on ne fabrique rien, note un responsable du secteur de l’énergie. Alors c’est vrai, seuls quelques pays maîtrisent la technologie de pointe du photovoltaïque, mais nous, nous ne savons même pas fabriquer un chauffe-eau solaire ! Pourtant, ce n’est pas compliqué. Au lieu de cela, on préfère importer – sans contrôle – des modèles bon marché et dangereux. »

          Se baser sur le prix du gaz « ne donne rien de bon »
          Restera enfin à résoudre le problème des appels d’offres, comme le suggèrent les patrons. « Il faudrait qu’ils soient correctement rédigés, commente un entrepreneur. Quand on ne connaît pas les prix du marché de l’énergie solaire et qu’on se base sur les prix du gaz et de l’électricité, ça ne donne rien de bon. »
          A l’exception de l’Agence nationale pour la promotion et la rationalisation de l’énergie, qui nous a assuré de « la sincère implication du ministre de l’Energie dans le développement des énergies renouvelables », le programme gouvernemental de 5% d’énergies vertes d’ici 2017 en laisse plus d’un circonspect. Pourtant, c’est de l’Etat, et de l’Etat seulement, que viendra le salut. « C’est tout le problème, résume Stéphane Meunier, directeur associé en charge du pôle énergie & utilities au cabinet Sia Conseil, qui a ouvert un bureau au Maroc. Les filières des énergies vertes ne sont pas rentables en elles-mêmes et ne fonctionnent que si elles sont fortement subventionnées, car elles sont liées au prix et à la rareté des énergies conventionnelles. C’est donc bien à l’Etat, dont le rôle est de penser le long terme, de prendre des décisions pour ce qui se passera dans vingt ans. »

          La Tunisie et le Maroc en sherpas
          « Si, comparée à ses voisins, l’Algérie est à la traîne dans le développement des énergies renouvelables, c’est en grande partie parce que les Marocains et les Tunisiens n’ont pas de pétrole et sont importateurs d’énergie », explique un responsable du secteur à Alger. « Mais leur volonté politique les a amenés à conclure des partenariats avec les Européens. Résultat : les Marocains, par exemple, savent produire des chauffe-eau solaires. Nous, non. » Le Maroc, qui s’est fixé 10% d’énergies renouvelables d’ici 2012 (4% actuellement), a notamment misé sur le solaire pour électrifier ses zones rurales.

          Les Tunisiens, plus modestes, aimeraient passer à 6,5% en 2030 (contre moins de 1% actuellement). Ils proposent, depuis les années 90, une aide financière aux particuliers qui souhaiteraient acheter un chauffe-eau solaire (ils ont installé 40 000 mètres carrés de chauffe-eau solaires en 2008), et une nouvelle loi sur la maîtrise des énergies prévoit pour bientôt des subventions aux investisseurs producteurs d’énergie solaire.

          Les Afriques

          Wa chaida chahidon min 3indihom ! le complexe marocain w ma dayr f had l9awm

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          • #65
            Meskine

            Wa chaida chahidon min 3indihom ! le complexe marocain w ma dayr f had l9awm
            Tu ne penses pas que tu te contredis dans cette phrase?

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            • #66
              Maalich... on sait que comprendre vite n'est pas une qualité courante à l'est

              j'explique:
              le chahide n'a rien à cacher (comme relevé dans l'article), par contre les autres (=9awm) nous savons bien qu'il est leur problème, lis un peu les interventions précédentes (ceux qui font les vierges effarouchées, ceux qui dénient la vérité ...etc etc) tu te marreras.

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              • #67
                L’Algérie, plus gros potentiel énergétique renouvelable au monde !

                Avec ses 3 500 heures d’ensoleillement par an, l’Algérie est un des pays les plus riches en potentiel énergétique renouvelable au monde. Les pouvoirs publics algériens misent sur la production d’énergies alternatives aux deux sources énergétiques actuellement exportés, le pétrole et le gaz.

                Alors que le taux d’intégration des énergies renouvelables ne dépasse les 5 %, un plan national de développement des énergies renouvelables a été adopté pour la période 2008-2017. Il prévoit la production de 17 000 mégawatts pour le marché local et 6 000 MW pour les besoins d’exportations. Soit 30 % du bilan énergétique national d’ici 2050.

                Turbine à gaz et énergie solaire dans une même centrale

                Pour atteindre ces objectifs les pouvoirs publics ont préparé le terrain. Un cadre réglementaire et institutionnel favorable a été en effet mis en place. La loi relative à l’électricité, à la distribution public du gaz, de février 2002, la loi sur les énergies renouvelables de 2004 et le décret sur les coûts de diversification ont déjà permis d’encourager le développement des énergies renouvelables.

                La centrale hybride de Hassi R’mel en est un exemple. Utilisant le soleil et le gaz naturel pour produire 180 MW dans la zones gazière de Hassi R’mel, c’est le seul projet d’envergure qui existe aujourd’hui en Algérie. Il est aussi le premier à l’échelle mondiale combinant turbines à gaz et énergie solaire.

                Trois autres centrales doivent suivre à ce projet pilote qui s’étendra sur une superficie de 152 hectares. Des miroirs paraboliques géants seront installés sur une superficie de 18 hectares ainsi que des panneaux solaires de 100 m² chacun pour générer de l’électricité. 300 millions d’euros ont déjà été investis dans le projet.

                L’Allemagne et l’Espagne veulent investir

                L’agence spatiale allemande (DLR) et le centre espagnol de recherche sur le solaire (CIEMAT) apportent également leur contribution à ce projet.

                De plus, les entreprises allemandes qui possèdent une technologie très avancée dans le domaine souhaitent apporter leur contribution dans le cadre d’un partenariat visant à promouvoir les énergies renouvelables, notamment le solaire, l’éolien et le nucléaire. Le directeur général de la Chambre algero-allemande, monsieur Hergenrother a posé ses conditions. Le cadre réglementaire doit être plus strict. « L’Etat doit garantir l’achat et fixer les tarifs pour l’énergie qui sera produite », a-t-il expliqué.

                source: developpementdurable
                Auteur : pashû dewailly christensen
                date: 10-05-2009
                Dernière modification par Arès, 12 mai 2009, 15h59.
                Anakin

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                • #68
                  Meskine

                  (ceux qui font les vierges effarouchées, ceux qui dénient la vérité ...etc etc) tu te marreras.
                  J'ai deja lu le poste en long et en large, et la seule verite que j'ai trouve etait que l'Algerie produise ses cellules et panneaux photovoltaique, par ENIE en l'occurence.
                  Alors, quel autre verite denie al quawm (en utilisant tes termes)?

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                  • #69
                    Si la vive compréhension n'est pas une qualité, on ne vas pas faire le cours de la lecture aussi
                    Bonne chance.

                    Commentaire


                    • #70
                      Si la vive compréhension n'est pas une qualité, on ne vas pas faire le cours de la lecture aussi
                      Bonne chance.
                      Plenty of hot air,

                      Commentaire


                      • #71
                        Plenty of hot air,

                        and cold feet...

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