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Le Maroc attire de plus en plus les investisseurs Les investisseurs émiratis
Fès - L'annonce mardi d'un important projet d'un montant de 10 milliards dhs pour la réalisation de deux unités électriques supplémentaires à Jorf Lasfar par le groupe Taqa d'Abou Dhabi confirme la pérennité de l'engagement des investisseurs émiratis au Maroc et leur confiance dans la solidité de l'économie nationale
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Ce nouveau projet consacre la position du Maroc en tant que pôle économique prometteur pour la communauté d'affaires des Emirats arabes unis et sa crédibilité auprès des investisseurs étrangers.
Avec des investissements en cours de près de 5 milliards de dollars, le Maroc consolide sa position de premier destinataire, dans le monde arabe, des capitaux émiratis.
Après la signature du nouvel accord énergétique et l'inauguration du projet touristique et immobilier "Bab Al Bahr" de Rabat-Salé, d'un coût de 750 millions de dollars, les deux pays affichent leur ferme volonté d'aller de l'avant dans leur partenariat multisectoriel alliant l'énergie au tourisme en passant par l'immobilier et l'industrie.
En dépit d'une conjoncture économique et financière difficile sur le plan mondial, les investisseurs émiratis ont décidé d'injecter 10 milliards dhs supplémentaires dans le tissu industriel marocain. Un geste fort qui conforte les atouts reconnus de l'économie marocaine et de la situation saine de ses agrégats et de son système financier.
Le choix s'est porté, cette fois-ci, sur le secteur de l'énergie à fort potentiel de croissance.
L'accord sur ce nouveau projet a été signé, rappelle-t-on, entre l'Office national d'électricité (ONE), le conseil exécutif de l'Emirat d'Abou Dhabi et la société Jorf Lasfar Energy company (JLEC/TAQA) sous la présidence de SM le Roi Mohammed VI et du Prince héritier d'Abou Dhabi, SA Cheikh Mohamed Bin Zayed Al Nahyan.
Selon les concepteurs du projet, dont la mise en service est prévue en 2013, le recours au développement des deux unités électriques supplémentaires, dans le cadre d'un partenariat public-privé, constitue une solution appropriée en termes de sécurisation de l'approvisionnement du pays en électricité.
En vertu de cet accord, JLEQ/TAQA sera chargée de la conception, du financement, de la construction et de la mise en service des deux nouvelles unités, ainsi que de l'extension du quai charbonnier existant et de la maintenance de l'ensemble du projet.
Dans la dynamique que connaît le partenariat entre Rabat et Abou Dhabi, et durant la même journée, a été lancé le projet "Bab Al Bahr", un pôle touristique et urbanistique, qui va insuffler une nouvelle dynamique à la vallée du Bouregreg.
Ce projet d'envergure, lancé par SAR le Prince Moulay Rachid et SA Cheikh Mohamed Bin Zayed Al Nahyan pour un investissement global de 750 millions de dollars, prévoit des infrastructures hôtelières, immobilières et de loisirs de nature à placer Rabat et Salé en position de destinations touristiques et culturelles privilégiées.
Ce chantier pionnier traduit, à son tour, le partenariat privilégié entre l'Agence du Bouregreg et le holding Al Maabar.
En outre, une grande entreprise pétrolière émiratie s'apprête à construire la plus grande raffinerie du Maroc. En plus de ces investissements privés, le Fonds d'Abou Dhabi pour le développement finance des projets d'envergure, notamment dans les domaines de la pêche hauturière, de l'hôtellerie, de l'immobilier et des ports ainsi que dans la construction des barrages et autoroutes.
Avec ces divers investissements, pilotés par des holdings de renom tels Sama Dubai, Dubaï Holding ou encore Al Emaar, les Emirats arabes unis signent leur engagement aux côtés du Royaume pour le développement des grands chantiers structurants.
Les relations maroco-émiraties se sont ainsi érigées en modèle exemplaire de coopération et de partenariat, dans le monde arabe, non seulement sur le plan politique mais également au niveau du développement économique et social
Fès - L'annonce mardi d'un important projet d'un montant de 10 milliards dhs pour la réalisation de deux unités électriques supplémentaires à Jorf Lasfar par le groupe Taqa d'Abou Dhabi confirme la pérennité de l'engagement des investisseurs émiratis au Maroc et leur confiance dans la solidité de l'économie nationale
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Avec des investissements en cours de près de 5 milliards de dollars, le Maroc consolide sa position de premier destinataire, dans le monde arabe, des capitaux émiratis.
Après la signature du nouvel accord énergétique et l'inauguration du projet touristique et immobilier "Bab Al Bahr" de Rabat-Salé, d'un coût de 750 millions de dollars, les deux pays affichent leur ferme volonté d'aller de l'avant dans leur partenariat multisectoriel alliant l'énergie au tourisme en passant par l'immobilier et l'industrie.
En dépit d'une conjoncture économique et financière difficile sur le plan mondial, les investisseurs émiratis ont décidé d'injecter 10 milliards dhs supplémentaires dans le tissu industriel marocain. Un geste fort qui conforte les atouts reconnus de l'économie marocaine et de la situation saine de ses agrégats et de son système financier.
Le choix s'est porté, cette fois-ci, sur le secteur de l'énergie à fort potentiel de croissance.
L'accord sur ce nouveau projet a été signé, rappelle-t-on, entre l'Office national d'électricité (ONE), le conseil exécutif de l'Emirat d'Abou Dhabi et la société Jorf Lasfar Energy company (JLEC/TAQA) sous la présidence de SM le Roi Mohammed VI et du Prince héritier d'Abou Dhabi, SA Cheikh Mohamed Bin Zayed Al Nahyan.
Selon les concepteurs du projet, dont la mise en service est prévue en 2013, le recours au développement des deux unités électriques supplémentaires, dans le cadre d'un partenariat public-privé, constitue une solution appropriée en termes de sécurisation de l'approvisionnement du pays en électricité.
En vertu de cet accord, JLEQ/TAQA sera chargée de la conception, du financement, de la construction et de la mise en service des deux nouvelles unités, ainsi que de l'extension du quai charbonnier existant et de la maintenance de l'ensemble du projet.
Dans la dynamique que connaît le partenariat entre Rabat et Abou Dhabi, et durant la même journée, a été lancé le projet "Bab Al Bahr", un pôle touristique et urbanistique, qui va insuffler une nouvelle dynamique à la vallée du Bouregreg.
Ce projet d'envergure, lancé par SAR le Prince Moulay Rachid et SA Cheikh Mohamed Bin Zayed Al Nahyan pour un investissement global de 750 millions de dollars, prévoit des infrastructures hôtelières, immobilières et de loisirs de nature à placer Rabat et Salé en position de destinations touristiques et culturelles privilégiées.
Ce chantier pionnier traduit, à son tour, le partenariat privilégié entre l'Agence du Bouregreg et le holding Al Maabar.
En outre, une grande entreprise pétrolière émiratie s'apprête à construire la plus grande raffinerie du Maroc. En plus de ces investissements privés, le Fonds d'Abou Dhabi pour le développement finance des projets d'envergure, notamment dans les domaines de la pêche hauturière, de l'hôtellerie, de l'immobilier et des ports ainsi que dans la construction des barrages et autoroutes.
Avec ces divers investissements, pilotés par des holdings de renom tels Sama Dubai, Dubaï Holding ou encore Al Emaar, les Emirats arabes unis signent leur engagement aux côtés du Royaume pour le développement des grands chantiers structurants.
Les relations maroco-émiraties se sont ainsi érigées en modèle exemplaire de coopération et de partenariat, dans le monde arabe, non seulement sur le plan politique mais également au niveau du développement économique et social
et la raffinerie titanesque. 
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