Le Maroc est le premier pays du continent africain choisi pour le débarquement des nouveaux supercalculateurs signés Bull.
Début d'une nouvelle ère où, pour traiter des milliards d'opérations, une seconde est largement suffisante.
Bull vient de procéder au lancement de son nouveau supercalculateur. Baptisé « bullx », il s'agit du premier supercalculateur européen entièrement dédié à « l'Extreme Computing ». L'annonce en a été faite mercredi dernier, à Casablanca, par Luc Saint-Jeannet, vice-président du groupe Bull, en déplacement au Maroc spécialement pour la circonstance. A souligner, à ce propos, que le Maroc est le premier pays sur le continent où ce lancement a été effectué.
« Le lancement de bullx au Maroc reflète l'importance pour nous croissante des supercalculateurs dans le Royaume. Les grandes institutions : administrations, offices, universités ou hôpitaux sont autant d'acteurs potentiels du "calcul haute performance". L'explosion des bases de données, engendrant simulations numériques, modélisations ou prévisions va contribuer à l'explosion de ce marché », explique Luc Saint-Jeannet. Ce supercalculateur s'inscrit ainsi dans la stratégie de Bull visant à devenir le leader de l'Extreme Computing en Europe.
Dans le concret, bullx permet d'effectuer des milliards d'opérations en une seule seconde. Sa rapidité, en plus de la fiabilité des calculs, permet à bullx d'être convoité par différents marchés : simulation de crash-test en automobile, nucléaire, aéronautique, secteur pétrolier pour la prospection ou encore secteur maritime pour la pêche, entre autres. Parallèlement, l'autre point fort de bullx est de permettre une optimisation significative de l'espace. En ce sens, comme l'a indiqué Mehdi Kettani, PDG de Bull Maroc, pour disposer de la même capacité en termes de puissance de supercalculateurs bullx stockés dans un container, cela nécessiterait une superficie supérieure à celle d'un stade de football avec des supercalculateurs classiques ! « Avec sa gamme bullx, Bull repousse encore les limites en relevant trois défis, ceux de l'énergie, de la puissance et de l'exploitation. Il s'agit de faire baisser la consommation énergétique des supercalculateurs, coordonner les tâches de ces milliers de cœurs qui coopèrent en simultané et, enfin, orchestrer et administrer la complexité des systèmes.
Le choix des composants tout comme l'architecture de bullx ont été guidés par sa vocation : être le meilleur instrument pour l'innovation », a souligné Mehdi Kettani.
En effet, conçu par la plus grande équipe de spécialistes européens, bullx est le fruit d'une somme de compétences sans équivalence, à savoir des experts qui assurent proximité, rapidité d'intervention et capacité de déploiement d'une solution globale et sur-mesure. « Les caractéristiques techniques de bullx comme son évolutivité, sa densité, sa faible consommation et la disponibilité de puissants accélérateurs de calcul en font une plate-forme sans précédent pouvant répondre aux besoins des bureaux d'études comme des centres de dimension mondiale, dans des domaines aussi divers que les science de la vie et de la terre, l'énergie, le pétrole, la chimie, la climatologie, l'aéronautique, l'automobile et la finance… », conclut Luc Saint-Jeannet.
lematin
Début d'une nouvelle ère où, pour traiter des milliards d'opérations, une seconde est largement suffisante.
Bull vient de procéder au lancement de son nouveau supercalculateur. Baptisé « bullx », il s'agit du premier supercalculateur européen entièrement dédié à « l'Extreme Computing ». L'annonce en a été faite mercredi dernier, à Casablanca, par Luc Saint-Jeannet, vice-président du groupe Bull, en déplacement au Maroc spécialement pour la circonstance. A souligner, à ce propos, que le Maroc est le premier pays sur le continent où ce lancement a été effectué.
« Le lancement de bullx au Maroc reflète l'importance pour nous croissante des supercalculateurs dans le Royaume. Les grandes institutions : administrations, offices, universités ou hôpitaux sont autant d'acteurs potentiels du "calcul haute performance". L'explosion des bases de données, engendrant simulations numériques, modélisations ou prévisions va contribuer à l'explosion de ce marché », explique Luc Saint-Jeannet. Ce supercalculateur s'inscrit ainsi dans la stratégie de Bull visant à devenir le leader de l'Extreme Computing en Europe.
Dans le concret, bullx permet d'effectuer des milliards d'opérations en une seule seconde. Sa rapidité, en plus de la fiabilité des calculs, permet à bullx d'être convoité par différents marchés : simulation de crash-test en automobile, nucléaire, aéronautique, secteur pétrolier pour la prospection ou encore secteur maritime pour la pêche, entre autres. Parallèlement, l'autre point fort de bullx est de permettre une optimisation significative de l'espace. En ce sens, comme l'a indiqué Mehdi Kettani, PDG de Bull Maroc, pour disposer de la même capacité en termes de puissance de supercalculateurs bullx stockés dans un container, cela nécessiterait une superficie supérieure à celle d'un stade de football avec des supercalculateurs classiques ! « Avec sa gamme bullx, Bull repousse encore les limites en relevant trois défis, ceux de l'énergie, de la puissance et de l'exploitation. Il s'agit de faire baisser la consommation énergétique des supercalculateurs, coordonner les tâches de ces milliers de cœurs qui coopèrent en simultané et, enfin, orchestrer et administrer la complexité des systèmes.
Le choix des composants tout comme l'architecture de bullx ont été guidés par sa vocation : être le meilleur instrument pour l'innovation », a souligné Mehdi Kettani.
En effet, conçu par la plus grande équipe de spécialistes européens, bullx est le fruit d'une somme de compétences sans équivalence, à savoir des experts qui assurent proximité, rapidité d'intervention et capacité de déploiement d'une solution globale et sur-mesure. « Les caractéristiques techniques de bullx comme son évolutivité, sa densité, sa faible consommation et la disponibilité de puissants accélérateurs de calcul en font une plate-forme sans précédent pouvant répondre aux besoins des bureaux d'études comme des centres de dimension mondiale, dans des domaines aussi divers que les science de la vie et de la terre, l'énergie, le pétrole, la chimie, la climatologie, l'aéronautique, l'automobile et la finance… », conclut Luc Saint-Jeannet.
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