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Les crédits à la consommation supprimés en Algérie sauf pour l'immobilier

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  • #16
    Le naturel revient au galop...
    Le dirigisme rétrograde contrôlant tout
    ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément

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    • #17
      "les banques publiques ne sont autorisées à accorder des crédits aux particuliers que dans le cadre des crédits immobiliers" le quotidien liberté du jeudi!
      reste alors pour ceux qui veullent une voiture neuve de s'adresser aux banqu etrangére qui operent en algérie.
      ps: il fallait rapporter l'information au complet!!
      Dernière modification par miracle, 31 juillet 2009, 01h15.
      "D'une joie même, le souvenir a son amertume, et le rappel d'un plaisir n'est jamai sans douleur"

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      • #18
        L’objectif est d’orienter les banques vers le crédit immobilier pour qu’elles pèsent de tout leur poids sur le marché du logement
        tout ca pour orienter les gens vers les credits logement ?? c'est bete
        ..... quand le demande egalera l'offre on en reparlera ... c'est pire y a pas d'offre même les propriétaires ne font pas de promesse de vente facilement ... il veulent du cash et en plus ne veulent jamais declarer toute la somme

        Il y aura beaucoup plus de promoteurs immobiliers qui seront encouragés par le développement du crédit immobilier
        encouragé oui mais es ce que leur prix serons a la porté de tout les citoyen .... un citoyen moyen pourra t'il s'offrir un logement de plus de 800 U (là je parles des prix sur Alger et environs) avec un salaire moyen de 30000 ou 50000 ... faisant juste un petit calcul il lui faudra un apport de 30% donc environ 250 U le reste (550) echalonné sur 30ans presque 40.000da par mois :22: ... de quoi vivra t'il si la banque lui accepte le credit en sachant que son salaire n'est pas a la hauteur de sa demande exigé par toutes les banques (30%)

        La rumeur d’une éventuelle augmentation de la taxe sur les véhicules avait déjà suscité moult inquiétudes, mais le coup de grâce est finalement venu d’ailleurs
        toutes les solutions n'on pas marché pour reduire le nombre de vehicule sur les routes et aulieu de revoir le reseaux routier ils oteent la possibilité au gens d'acheter encore des voitures .... n'importe quoi

        Pour orienter le citoyen vers l'immobilier il faudrais peut etre lui donner un aussi grand choix que ce qu'il avais en automobile autant de concessionnaire et autant de marque de la toute option a la base ... en immobilier on n'as rien .. le LSP n'est pas autorisé a la classe moyennne qui se situe aujourd'hui (salaire jumelé) a 30.000 à 60.000 le social au smigiste de moins de 12000 (es ce que ca existe encore un salaire aussi Bas ) la location vente qui a été arreté car y avais trop de demande et l'objectif du logement a 200U qui avec l'augmentation des prix du ciment et de l'acier ne peut etre le promotionnel comme dirais mon ami Patrick Makach (en réalité kayen mais Ybi3ouh ghir binathoum) ça c'est un autre débat
        Qui veut noyer son chien l'accuse de la rage

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        • #19
          “Ce sont des mesures légitimes et opportunes”

          Mouloud Mouhoubi, Docteur en sciences économiques et politiques

          Par : Badreddine KHRIS
          LIBERTE 03/08
          Les décisions prises par le gouvernement, estime cet expert, visent à réduire les importations et à encourager la production nationale.
          Certains experts estiment que les récentes mesures prises par le gouvernement, et consacrées dans la loi des finances complémentaire pour 2009, sont dictées par la conjoncture que traversent actuellement le monde et l’Algérie en particulier. De par la baisse des revenus en devises du pays, évalués à environ 40 milliards de dollars, il ne serait pas logique, économiquement parlant, de laisser croître davantage les importations. À travers toute cette batterie de mesures, notamment celle ayant trait à l’interdiction d’octroi de crédits à la consommation par les banques, les pouvoirs publics visent en fait une balance commerciale équilibrée. En termes plus clairs, l’objectif recherché, c’est d’atteindre un solde de la balance commerciale équilibré ou légèrement plus haut ou plus bas. “L’Algérie, à l’instar des autres pays du monde, a pris des décisions pour stabiliser sa balance des paiements”, explique tout simplement M. Mouhoubi, docteur en sciences économiques et en sciences politiques. Cela se traduit dans la LFC 2009 par la possibilité pour l’administration algérienne de mettre en place, à l’égard d’exportateurs de certains pays, les mêmes procédures et formalités auxquelles sont soumis leurs homologues (exportateurs) algériens dans ces mêmes pays, selon le principe de la réciprocité. Il faut dire que les importations ont été multipliées par quatre durant ces dernières années. Normalement, l’Algérie ne devrait importer que trois catégories de produits, à savoir les produits alimentaires, les biens d’équipement et les médicaments. La valeur des importations ne devrait pas excéder ainsi les 20 milliards de dollars. Or, les statistiques officielles affichent près de 40 milliards de dollars d’importations élargies à plusieurs catégories de produits. M. Mouhoubi qualifie cette évolution d’“un peu dangereuse” pour la balance des paiements, voire au développement du pays. D’où l’urgence de “mettre de l’ordre dans le commerce extérieur”, avoue-t-il. Pour lui, le marché algérien étant libre, les importations sont diversifiées certes, mais la plupart ne sont pas indispensables à la satisfaction des besoins et au fonctionnement de l’économie nationale. L’expert souhaite, par conséquent, que l’État aille plus loin dans la mise en œuvre de sa politique pour cibler les produits agroalimentaires et pharmaceutiques déversés sur le marché national sans le moindre contrôle. “Il est grand temps de faire le toilettage dans la facture des importations qui ne correspondent en réalité ni aux possibilités du pays ni à ses besoins”, relève-t-il. Les pouvoirs publics devraient, suggère Mouhoubi, définir un cadre réglementaire qui régira toutes ces importations liées à la fois à l’alimentation et aux médicaments. Il citera comme exemple de ces dispositions réglementaires l’exigence de la traçabilité des produits et la lutte contre la contrefaçon… L’administration algérienne doit impérativement connaître l’origine des marchandises et dans quelles conditions elles ont été introduites. L’exemple de la friperie est, on ne peut mieux, frappant. Ce sont tous ces lots de vêtements mis sur le marché qui présentent un danger pour le consommateur car jugés cancérigènes. Certains observateurs n’y sont pas allés avec le dos de la cuillère pour dénoncer le manque de contrôle de ces stocks aux origines inconnues qui risquent de porter atteinte à la santé publique. À ce propos, le gouvernement a arrêté une mesure qui offre la possibilité pour l’administration des douanes de recourir à des contrôles de conformité des marchandises avec la déclaration en douanes avant leur expédition à destination du territoire douanier. L’interdiction de ce type d’importation va en outre encourager l’émergence de la production nationale et d’une économie plus diversifiée. Par ailleurs, il est opportun, affirme Mouhoubi, de déterminer les missions de l’importateur. “N’est pas importateur qui veut”, tient-il à souligner. “On doit exiger de cet opérateur économique du professionnalisme, une surface financière acceptable et une transparence”, ajoute-t-il. Le Dr Mouhoubi indique que toute cette batterie de mesures n’a pas pour finalité le protectionnisme de l’économie ou la mise en place de barrières au marché national. Au contraire, précise-t-il, “l’Algérie ne fait qu’instaurer en toute légitimité ses propres normes pour l’importation de certains produits”. Certes, l’interdiction des prêts à la consommation aura certainement un impact direct sur les importations en les réduisant, mais elle ne sera pas sans conséquence, en revanche, sur le citoyen qui commence à y prendre goût. Toutefois, les crédits accordés ne touchent qu’une catégorie de citoyens, et pas toute la population : ce sont les salariés qui ont un emploi stable, c'est-à-dire des clients solvables. Par ailleurs, il n’est pas à écarter que ces décisions — provisoires jusque-là — subissent un allégement à l’avenir en cas de retournement de situation et de reprise de l’économie mondiale.
          Badreddine KHRIS

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          • #20
            Les décisions prises par le gouvernement, estime cet expert, visent à réduire les importations et à encourager la production nationale.
            mais bien sur, la production nationale va etre tres encouragee quand le pouvoir d'achat deviendra nul. Je conseille aux hauts economistes de l'algerie : "Keynes pour les nuls", ils pourront apprendre le b-a.ba de l'economie et comment jouer surles differents leviers s'ils veulent relancer la machine economique.

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            • #21
              nos dirigeants sont absurdes.
              Le crédit à la conso n'est pas quelque choses de mauvais. S'il est maitrisé, et s'il est transparent il peut au contraire aider des foyers à realiser des projets, des reves. Le tout c'est de bien encadrer ce type de produit pour ne pas avoir de derives.
              Je suis père et fais de mon mieux au regard de cette citation :
              "L'exemple, c'est tout ce qu'un père peut faire pour ses enfants." Thomas Mann
              Cette citation me vient de mon cousin chaoui Adhrhar

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              • #22
                Mehdoche c'est plus qu'idiot c'est suicidaire. Tout le secteur de la vente sera impacté directement, ainsi que celui de la logisitique, le taux de chomage va monter.
                Alors qu'on essaie partout de favoriser la consommation pour augmenter la croissance, le pouvoir algérien, croit toujours que l'économie c'est une opération de soustraction...
                C'est quand même grave. Surtout qu'ils ne s'arrêtent pas là, ils entravent aussi les exportateurs avec la limitation des possibilités de paiement au Credoc.

                Je ne sais pas si les algériens se rendent compte de la catastrophe qui les attend...
                La guerre, c'est la guerre des hommes ; la paix, c'est la guerre des idées. V. Hugo

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                • #23
                  Mehdoche c'est plus qu'idiot c'est suicidaire. Tout le secteur de la vente sera impacté directement, ainsi que celui de la logisitique, le taux de chomage va monter.
                  Alors qu'on essaie partout de favoriser la consommation pour augmenter la croissance, le pouvoir algérien, croit toujours que l'économie c'est une opération de soustraction...
                  C'est quand même grave. Surtout qu'ils ne s'arrêtent pas là, ils entravent aussi les exportateurs avec la limitation des possibilités de paiement au Credoc.

                  Je ne sais pas si les algériens se rendent compte de la catastrophe qui les attend...
                  __________________
                  Veux tu stp arréter avec ces discours alarmistes, y'aura ni catastophe ni rien dutout.
                  Les crédits á la consommation sont des outils du libéralisme sauvage qui consiste á faire du citoyen un tube digestif insatiable, le manipuler pour vivre au dessus de ses moyens et ainsi faire de lui un esclave de la consommation.
                  Dans tous les pays européens des millions de surendettés souffrent actuellemnt et regrettent amèrement avoir contractés des emprunts pour des produits qui n'en valaient pas la peine.
                  La majorité d'entre eux sont poursuivis en justice, d'autres sont interdits bancaires et d'autres ne peuvent meme pas travailler car leur salaire irait entièrement aux remboursements.
                  Dites la vérité de ce qui se passent au maroc où des familles s'endettent pour un téléviseur ou un frigidaires lesquels apres les avoir remboursés sont déja démodés ou inutilisables.
                  L'algérien doit reaprendre á devenir un consommateur rationnel et intelligent et ne pas devenir ce pigeon des entreprises qui ne cherchent qu'á vendre sans se soucier de l'opportunité de l'achat.
                  Les algériens doivent reapprendre á économiser pour des investissement productifs comme posséder la maison familliale, assurer l'éducation et les études de leurs enfants, ils doivent répprendre á devenir humbles.
                  On dit chez nous : El meksi B'razk ennass 3ariane.

                  Et puis si ces entreprises veulent vendre á crédit qu'ils le fassent en prenant leur résponsabilité ce n'est pas á l'état de garantir les paiements.

                  Attention les algeriens, s'endetter c'est hypothéquer l'avenir, ne vous faites pas avoir par des marchands de reves qui se transformeront en cauchemars.

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                  • #24
                    Encore une décision stupide... comme ceux qui les prennent !
                    Il faut stimuler la consommation mais aussi stimuler la production locale !

                    37 milliards d'importation alors que je suis sûr que la moitié de ce qui est acheté pourrait être produit sur place !
                    La mauvaise langue n'est jamais à court d'inventions !

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                    • #25
                      Le plus dangereux n'est pas la limitation du crédit à la conso. Encore plus dangereux est la limitation des moyens de paiements à l'international pour l'import export algérien.
                      Il fera littéralement explosé les coûts. Il faudra vraiment être idiot ou ne pas avoir le choix pour commercer avec l'Algérie, avec toutes les entraves qu'ils mettent sur les moyens de paiement.

                      Le crédit à la conso, n'est qu'une goutte d'eau devant ce problème. Là les prix vont monter sévèrement, l'emploi va prendre un coups sévères, et surtout l'Algérie aura perdue toute crédibilité à l'international dans le domaine du commerce.
                      Ca deviendra trop risqué de se lancer dans des conquêtes de marché en Algérie, que ce soit par financement direct ou par commerce. Et même après la reprise de l'économie mondiale, les hommes d'affaires garderont ces épisodes en tête.

                      Quand on veut limiter le risque de non remboursement ou de fuite de capitaux, on met des gardes fous, on n'interdit pas bêtement. Interdire tout le monde sait faire, trouver des vraies solutions est beaucoup plus difficile déjà.

                      PS: Compte tenu de la santé financière de l'Algérie. Je dirais qu'il faudrait qu'elle mette des barrières douanières à 300% pour l'industrie et 200% pour l'électroménager.
                      De toute façon l'Algérie ne rentrera pas dans l'OMC de si tôt, alors tant qu'à faire, augmenter les barrières, et donner en contre partie des incitations à l'investissement avec apport direct de l'état, ou en foncier, ou en argent frais ne serait pas si mal.
                      Le Canada l'avait fait dans les années 70 et 80 et ça a bien marché.
                      Dernière modification par Geass, 03 août 2009, 16h16.
                      La guerre, c'est la guerre des hommes ; la paix, c'est la guerre des idées. V. Hugo

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                      • #26
                        une vraie khalouta...

                        ce qui m'ennerve dans toutes ces histoires c'est que les responsables algériens se prennent pour des théoriciens en économie... ils veulent trouver un altérnatif au système libéral et entre temps le peuple creve de fim.. y en a marre de ces imbéciles incompétents.

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                        • #27
                          Chère Geass, au temps de chadli l'ignare, l'algerie a opté pour l'incitation á la conso, ils avaient mm créer un slogan pour ca "Pour une vie meilleure", les citoyens n'rrétaient pas de consomer, electo menager, voitures, biens alimentaire etc..
                          Quelques années plutard le FMI et La BM nous ont imposé des restrictions et notre dette s'ést élevé á 35 millards de dollars et personne ne voulait plus nous préter, rien que les intérets s'élevaient á plus de 5 milliards par an.
                          On a failli la banqueroute á cause de cette économie de consommation.
                          Et tu veux qu'on refasse la meme bétise.
                          Non merci, chacun sonne ses cloches á sa manière.

                          Nous devons investir dans la production nationale, consommer local et surtout vivre selon ses moyens.

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                          • #28
                            Quelques années plutard le FMI et La BM nous ont imposé des restrictions et notre dette s'ést élevé á 35 millards de dollars et personne ne voulait plus nous préter, rien que les intérets s'élevaient á plus de 5 milliards par an.
                            c'est la chute des prix du petrole qui a provoqué cette situation et non l'incitation à la consommation.....

                            Commentaire


                            • #29
                              une vraie khalouta...

                              ce qui m'ennerve dans toutes ces histoires c'est que les responsables algériens se prennent pour des théoriciens en économie... ils veulent trouver un altérnatif au système libéral et entre temps le peuple creve de fim.. y en a marre de ces imbéciles incompétents.
                              __________________
                              Qui te dit que le peuple crève de faim? celui qui a faim a besoin de la solidarité et d'une politique sociale ou d'un emploi pour vivre avec dignité, il n'a pas besoin d'un crédit de 120 U avec un taux á 13-15 %.
                              La dernière crise financiere mondiale nous a appris plein de chose, c'est pas en jouant aux riches qu'on est ál'abri de la catastrophe. Nous nn sommes pas la poubelle du monde et l'asile de ces spéculateurs qui ont ruiné le monde et qui viennent refaire santé chez nous.

                              Merci, on a pas besoin de ca.

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                              • #30
                                Nous devons investir dans la production nationale, consommer local et surtout vivre selon ses moyens.

                                Tout a fait d'accord avec toi, ces credits servent à financer des produits importés (voitures, eletromenagés etc...) , in challah bientot une loi qui interdira l'import import , et vous allez voir comment l'algerie décollera économiquement.
                                Faute de grives , nous mangeons des Merles

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