Bien après avoir quitté l’Algérie,
Emaar est bel et bien loin des 20 milliards de dollars qu’elle voulait investir en Algérie et ce n’est pas le manque d’attraction du marché algérien, ni ce qui est dit et supposé ça et là, sur la corruption en Algérie, mais des difficultés financières constituent une des raisons principales de son départ.
Le géant de l'immobilier de Dubaï, Emaar, a annoncé, jeudi, des pertes de 350 millions de dollars, au deuxième trimestre 2009, après avoir comptabilisé le résultat de son unité JL Homes aux Etats-Unis.
Emaar, qui construit notamment la plus haute tour du monde, Burdj Dubaï, avait fait des bénéfices de 572 millions de dollars, au cours de la même période de 2008.
Dans un communiqué, la compagnie, détenue principalement par le gouvernement de Dubaï, a expliqué son mauvais résultat par sa décision de comptabiliser le résultat négatif de 470 millions de dollars de son unité américaine JL Homes qui a été mise en liquidation.
Emaar a été l'un des acteurs de premier plan du boom immobilier de Dubaï et a développé des activités à l'étranger, mais la compagnie a commencé à ressentir les effets de la crise financière mondiale dès la fin 2008.
En février, elle avait annoncé des pertes au quatrième trimestre 2008, entraînant une réduction de moitié de ses bénéfices annuels par rapport à 2007.
Au début de l'année, le géant de l'immobilier avait également indiqué qu'il avait bloqué plusieurs projets en raison de la faiblesse du marché à Dubaï, victime de "l'état actuel du climat financier mondial".
Ce n’est donc pas, seulement, à cause de la bureaucratie, en Algérie, que Emaar a du plier bagage. L’Algérie a toujours bon dos, bien que…
Source ===> El khabar en ligne du 31 juillet 2009, version Française.
Emaar est bel et bien loin des 20 milliards de dollars qu’elle voulait investir en Algérie et ce n’est pas le manque d’attraction du marché algérien, ni ce qui est dit et supposé ça et là, sur la corruption en Algérie, mais des difficultés financières constituent une des raisons principales de son départ.
Le géant de l'immobilier de Dubaï, Emaar, a annoncé, jeudi, des pertes de 350 millions de dollars, au deuxième trimestre 2009, après avoir comptabilisé le résultat de son unité JL Homes aux Etats-Unis.
Emaar, qui construit notamment la plus haute tour du monde, Burdj Dubaï, avait fait des bénéfices de 572 millions de dollars, au cours de la même période de 2008.
Dans un communiqué, la compagnie, détenue principalement par le gouvernement de Dubaï, a expliqué son mauvais résultat par sa décision de comptabiliser le résultat négatif de 470 millions de dollars de son unité américaine JL Homes qui a été mise en liquidation.
Emaar a été l'un des acteurs de premier plan du boom immobilier de Dubaï et a développé des activités à l'étranger, mais la compagnie a commencé à ressentir les effets de la crise financière mondiale dès la fin 2008.
En février, elle avait annoncé des pertes au quatrième trimestre 2008, entraînant une réduction de moitié de ses bénéfices annuels par rapport à 2007.
Au début de l'année, le géant de l'immobilier avait également indiqué qu'il avait bloqué plusieurs projets en raison de la faiblesse du marché à Dubaï, victime de "l'état actuel du climat financier mondial".
Ce n’est donc pas, seulement, à cause de la bureaucratie, en Algérie, que Emaar a du plier bagage. L’Algérie a toujours bon dos, bien que…
Source ===> El khabar en ligne du 31 juillet 2009, version Française.
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