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  • #16
    Le raviver aussi....je crois.

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    • #17
      oui chichon,

      Celle qui a permis de lutter contre les fléaux tu nages aujourd hui. A commencer par l analphabetisme

      Bledard


      Une "lutte" qui génère encore sept à huit millions d'analphabètes algériens dont tu dois faire partie vu que tu n'as toujours pas saisi que tu vis encore dans un pays sous développé où la distribution du couffin est toujours de mise du fait qu'il existe encore 10 millions de pauvres

      Va raconter tes bobards à d'autres monsieur le "Suisse"

      ........................................

      10 Millions d'Algériens dans la misère,10Millions de pauvres

      La pauvreté s’est « confortablement » installée dans les foyers algériens. Le pays compte au moins 1,2 million de familles démunies. Une réalité longtemps dissimulée par les pouvoirs publics. Le chiffre n’est pas établi par une quelconque ONG ou organisation autonome qu’on pourrait accuser d’avoir une volonté de ternir l’image du pays. Il est communiqué par l’un des ministres le plus hostile au débat autour de la misère sociale en Algérie, celui de la Solidarité nationale, de la Famille et de la Communauté algérienne à l’étranger, Djamel Ould Abbès. Le couffin du Ramadhan a, semble-t-il, contraint ce dernier à rendre publiques ces statistiques. En effet, dans une déclaration reprise avant-hier par l’APS, M. Ould Abbès donne le chiffre de 1 200 000 familles démunies qui bénéficieront de l’aide de l’État durant le mois sacré, qui est de 3 milliards de dinars

      Ce sont donc au moins autant de familles qui sont dans le besoin. Mais le nombre sera sans nul doute très important. En tout cas, il est beaucoup plus important que les 72 302 personnes « démunies » recensées auparavant par le département de Djamel Ould Abbès. Ce dernier, qui ne cesse de gloser sur la dénomination de la pauvreté, préférant désigner cette population par le terme « démunie », devra désormais penser à ces millions d’Algériens qui peinent à subvenir à leurs besoins les plus élémentaires. Le phénomène n’est pas marginal. En l’absence d’étude nationale sur le sujet (la dernière en date a été réalisée en 2006), il est difficile de connaître avec exactitude le nombre de pauvres en Algérie.

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