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Une nouvelle capitale mais passee inapercue dans la presse francophone
l'espagne a arrêté ses forages de pétrole dans les eaux territoriales marocaines,sous pressions marocaines,c'est bien la première fois que le royaume ibérique réagit a des pressions du maroc,repsol ne semble pas contre le principe dune exploitation du pétrole dans le territoire marocain,contre compensations du maroc,voici un article dans la presse espagnole,traduit avec Babel Fish don excusez du style un peu mécanique.
Le maroc nouvel pays pétrolier alors ?
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Le conseiller Économie et Finances du Gouvernement des Iles Canaries, José Carlos Maurice, a affirmé hier que l'État espagnol maintenait les arrêts les autorisations des prospections pétrolifères face aux côtes Lanzarote et de Fuerteventura suite aux "pressions" du Maroc et a proposé que les Iles Canaries et l'Espagne renoncent aux extractions dans les côtes de l'Archipel en échange d'une compensation. Selon les nouvelles dont dispose José Carlos Maurice, est "une histoire comme une maison" que Madrid n'a pas débloquée les autorisations, pour reprendre les prospections de Repsol face aux côtes canariennes, parce que la Communauté Autonome des Iles Canaries ne s'est pas prononcée encore. Le gouvernement espagnol, a ajouté dans une rencontre avec des journalistes, "elles il a par des arrêts parce qu'il y a des pressions du Maroc". Le conseiller d'Économie a déclaré que le Ministère des Extérieurs est "celui qui a demandé que ce sujet ne soit pas traité" en Conseil du Gouvernement. Le département de Miguel Angel Moratinos, a rappelé, négocie actuellement avec le royaume alauite des sujets liés l'immigration, la coopération et l'énergie. La stagnation du dossier des prospections canariennes est "un débat de plus avec le Maroc qu'autre chose", a dit le Maurice. Essayer de porter cette question au Gouvernement des Iles Canaries, a souligné, est "de jeter des ballons dehors" par Madrid. "Il n'a rien voir avec les espoirs" d'un prononcé de l'Exécutif et des institutions publiques et sociales canariennes impliquées mais "avec les politiques d'État et des négociations" avec le pays du roi Mohamed VI. La pression marocaine pour maintenir paralysées les prospections se fonde le fait que le royaume alauite veut que les extractions pétrolifères soient uniquement faites dans leur territoire et, comme il a clarifié, il a "des accords avec Repsol pour qu'ils soient faits ensuite dans leur territoire et le vendre". Plus de 67.000 millions de EURO jusqu'à 2027 José Carlos Maurice a indiqué que le volume d'affaire calculée par Repsol jusqu'à 2027 est de de 67.000 millions de EURO et a affirmé qu'il lui paraissait bien que le Maroc fasse les extractions dans son territoire parce qu'il est "plus bon marché", bien que, "si nous avons des droits parce que nous avons une bourse en territoire canarien il y devons, non extraire en territoire canarien, mais bien percevoir les droits au Maroc". Un "bon accord", a dit, est qu'il soit extrait en territoire marocain, avec des garanties environnementales, mais avec le droit qui a les Iles Canaries par la bourse qu'il y a et que "nous ne lui extrairons pas pour ainsi éviter les effets environnementaux".
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http://www.la-opinion.com/secciones/...2&pIdSeccion=4
l'espagne a arrêté ses forages de pétrole dans les eaux territoriales marocaines,sous pressions marocaines,c'est bien la première fois que le royaume ibérique réagit a des pressions du maroc,repsol ne semble pas contre le principe dune exploitation du pétrole dans le territoire marocain,contre compensations du maroc,voici un article dans la presse espagnole,traduit avec Babel Fish don excusez du style un peu mécanique.
Le maroc nouvel pays pétrolier alors ?
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Le conseiller Économie et Finances du Gouvernement des Iles Canaries, José Carlos Maurice, a affirmé hier que l'État espagnol maintenait les arrêts les autorisations des prospections pétrolifères face aux côtes Lanzarote et de Fuerteventura suite aux "pressions" du Maroc et a proposé que les Iles Canaries et l'Espagne renoncent aux extractions dans les côtes de l'Archipel en échange d'une compensation. Selon les nouvelles dont dispose José Carlos Maurice, est "une histoire comme une maison" que Madrid n'a pas débloquée les autorisations, pour reprendre les prospections de Repsol face aux côtes canariennes, parce que la Communauté Autonome des Iles Canaries ne s'est pas prononcée encore. Le gouvernement espagnol, a ajouté dans une rencontre avec des journalistes, "elles il a par des arrêts parce qu'il y a des pressions du Maroc". Le conseiller d'Économie a déclaré que le Ministère des Extérieurs est "celui qui a demandé que ce sujet ne soit pas traité" en Conseil du Gouvernement. Le département de Miguel Angel Moratinos, a rappelé, négocie actuellement avec le royaume alauite des sujets liés l'immigration, la coopération et l'énergie. La stagnation du dossier des prospections canariennes est "un débat de plus avec le Maroc qu'autre chose", a dit le Maurice. Essayer de porter cette question au Gouvernement des Iles Canaries, a souligné, est "de jeter des ballons dehors" par Madrid. "Il n'a rien voir avec les espoirs" d'un prononcé de l'Exécutif et des institutions publiques et sociales canariennes impliquées mais "avec les politiques d'État et des négociations" avec le pays du roi Mohamed VI. La pression marocaine pour maintenir paralysées les prospections se fonde le fait que le royaume alauite veut que les extractions pétrolifères soient uniquement faites dans leur territoire et, comme il a clarifié, il a "des accords avec Repsol pour qu'ils soient faits ensuite dans leur territoire et le vendre". Plus de 67.000 millions de EURO jusqu'à 2027 José Carlos Maurice a indiqué que le volume d'affaire calculée par Repsol jusqu'à 2027 est de de 67.000 millions de EURO et a affirmé qu'il lui paraissait bien que le Maroc fasse les extractions dans son territoire parce qu'il est "plus bon marché", bien que, "si nous avons des droits parce que nous avons une bourse en territoire canarien il y devons, non extraire en territoire canarien, mais bien percevoir les droits au Maroc". Un "bon accord", a dit, est qu'il soit extrait en territoire marocain, avec des garanties environnementales, mais avec le droit qui a les Iles Canaries par la bourse qu'il y a et que "nous ne lui extrairons pas pour ainsi éviter les effets environnementaux".
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http://www.la-opinion.com/secciones/...2&pIdSeccion=4
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