Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Le bénéfice de Sonatrach en baisse de 8%

Réduire
Cette discussion est fermée.
X
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • #16
    Et pourtant je n'invente rien Zouzou, je ne fais que répondre à ceux qui snobent sans se rendre compte de la gravité d'être dépendant d'une seule "béquille".


    Bledard!!!! donne moi un lien qui dit que le Maroc fait 5% de croissance grâce aux dons et à la drogue où alors garde pour toi tes ridicules clichés FLN


    ...............................



    Les exportations algériennes hors hydrocarbures peinent à décoller




    Les exportations hors hydrocarbures en Algérie n'arrivent pas à se positionner sur les marchés mondiaux, malgré tous les efforts consentis par l'Etat en matière de programmes de mise à niveau des entreprises. Pis encore, le pays confirme de plus en plus sa dépendance aux hydrocarbures.Il faut savoir que les exportations algériennes constituent presque 98 % de ces derniers. A en croire les dernières statistiques du CNIS, le pays a, en effet, exporté pour 24,695 milliards de dollars durant les sept premiers mois de l'année 2009, contre 47,369 milliards durant la même période de 2008, soit une baisse de 50 %, alors que les importations ont augmenté de 3,24% durant la même période, pour atteindre les 23,246 milliards de dollars contre 22,516 milliards de dollars en 2008.

    Selon le CNIS, durant cette période, la balance commerciale de l'Algérie a enregistré un excèdent de 1,449 milliard de dollars contre 24,853 milliards de dollars de janvier à juillet 2008. Le taux de couverture des importations par les exportations durant les sept premiers mois de l'année en cours a atteint 106% contre 210% pour la même période 2008.
    Il est, cependant, constaté que pour les importations, la facture alimentaire a baissé d'un milliard de dollars durant les 7 premiers mois de l'année 2009 en s'établissant à 3,714 milliards de dollars contre 4,715 milliards de dollars sur la même période de l'année 2008. Quant aux exportations hors-hydrocarbures, elles demeurent marginales avec un montant de 725 millions de dollars, soit 2,94% des exportations globales. Les principaux produits hors hydrocarbures exportés sont constitués essentiellement du groupe demi- produits qui représente une part de 1,87% du volume global, soit 461 millions de dollars.
    Le groupe produits bruts vient en seconde position avec une part de 0,55% (137 millions de dollars), suivi des biens alimentaires avec 0,30% (75 millions de dollars), des biens d'équipements industriels avec 0,11% (27 millions de dollars) et des biens de consommation non alimentaires avec 0,1% (25 millions de dollars). S'agissant des importations, le groupe des biens d'équipements industriels occupe le premier rang avec une part de 37,96 % du volume global (8,825 MDS de dollars), suivi du groupe demi-produits avec 25,67% (5,967 MDS de dollars), des biens alimentaires avec 15,98% (3,714 MDS de dollars), des biens de consommation avec 15,74% (3,658 MDS de dollars), des produits bruts avec 3% (697 millions de dollars), des produits énergétiques et lubrifiants avec 1,17% (272 millions de dollars) et des biens d'équipements agricoles avec 0,49% (113 millions de dollars).
    Durant le mois de juillet, les Etats-Unis étaient classés principal client de l'Algérie puisqu'ils ont absorbé une part de 16,83% des ventes algériennes à l'étranger, suivis par l'Italie avec un taux de 16,33% et la Corée du Sud avec 10,55%. Sur le même mois, la France est demeurée le principal fournisseur avec 15,43% des importations algériennes, suivie de l'Italie avec 9,10% et la Chine avec 9,07%.
    Par ailleurs, pour ce qui concerne le commerce extérieur durant le mois de juillet 2009, l'Algérie a enregistré un volume global des importations de 3,03 MDS de dollars contre 3,577 MDS de dollars en juillet 2008, soit une diminution de 15,21%. Quant aux exportations, elles ont se sont chiffrées à 3,98 MDS de dollars contre 8,673 MDS de dollars en juillet 2008, soit une baisse de 54,11%. Ce qui s'est traduit par un excédent de la balance commerciale de 947 millions de dollars en juillet 2009 (contre 5,096 MDS de dollars en juillet 2008). Lotfi C.


    25-08-2009
    Lemaghreb

    Commentaire


    • #17
      Et pourtant je n'invente rien Zouzou, je ne fais que répondre à ceux qui snobent sans se rendre compte de la gravité d'être dépendant d'une seule "béquille".
      Une seule bequille qui rappertera a l'Algerie la baguatelle de quelques 100 millions de dollars aujourd'hui le 6 septembre 2009 ... pas mal. Ca doit etre une baguette magique plutot qu'une bequille
      En tout cas, Dieu Merci !!!
      Alhamdoulillah !!!

      Commentaire


      • #18
        Une seule bequille qui rappertera a l'Algerie la baguatelle de quelques 100 millions de dollars aujourd'hui le 6 septembre 2009 ... pas mal. Ca doit etre une baguette magique plutot qu'une bequille
        En tout cas, Dieu Merci !!!
        Alhamdoulillah !!!

        Atakor
        ....................................

        Apparemment tu n'as pas compris l'article que j'ai mis plus haut .Pourtant il est explicite et il est algérien.

        Tu préfères regarder le doigt et ignorer la lune

        Avec une seule béquille on marche déjà pas droit et comme elle n'est pas magique et qu'elle s'use surtout si on la met à rude contribution alors bonjour les dégâts quant elle cassera.

        Si tu n'as toujours pas compris voici un autre témoignage (toujours algérien) qui anéantit ton optimisme béat et celui de certains "snobinards"

        ...............................................

        Avons-nous la volonté de sortir de la dépendance du pétrole ?


        Depuis deux décennies, les différentes autorités politiques du pays débattent de la manière de sortir de la « dépendance économique » que constituent les hydrocarbures.

        Elles n’y parviennent pas, et ce, malgré plusieurs tentatives depuis 1980 ! C’est comme un toxicomane qui n’arrive pas à se débarrasser de sa drogue ! Le pays s’est accoutumé, « addicted », comme disent les Américains, au pétrole et au gaz ! En effet, les deux piliers fondamentaux de toute politique économique, à savoir le budget et la balance de paiements, demeurent toujours financés essentiellement par des revenus tirés des hydrocarbures, l’un à 60% et l’autre à 90% environ, depuis les années 1970. L’espoir d’en voir le changement de sitôt n’est pas proche étant donné les tendances actuelles qui caractérisent notre économie, et ce, pour longtemps ! Ceci est dangereux étant donné la caractéristique de nos ressources non renouvelables ! Des mesures incitatives avaient été prises durant les années 1980, fort coûteuses, mais toutes inefficaces, car sans résultats tangibles puisque les exportations hors hydrocarbures n’ont pas pris l’envol comme souhaité ! La cause, c’est que les réformes structurelles essentielles n’ont pas été réalisées dans les activités essentielles, telles que le secteur financier, le secteur des transports, la formation - de gestionnaires notamment en finances et banques - l’administration, la régulation économique, l’encadrement des entreprises pour études et conseils en matière d’orientation, le développement, la gestion, le contrôle et l’audit. Pis, les interventions de l’administration dans la gestion courante de l’économie sont toujours de mise bien que l’on ait déclaré la fin de l’économie administrée depuis 1996... ! L’on peut se sortir de la « dépendance économique » d’un seul produit, mais avec des réformes et des politiques économiques adaptées au contexte comme le montrent des exemples à travers le monde. A une époque, d’anciens pays « unijambistes » ne comptant que sur un produit. Comme le Mexique, l’Indonésie, les pays du Golfe, l’Inde, la Malaisie, le Chili, le Maroc, etc. se sont sortis de la « dépendance économique » respectivement des hydrocarbures, du coton et textile, du caoutchouc, du cuivre et des phosphates. Ces pays ont pu et su renverser la vapeur et ne plus dépendre d’un mono-produit en encourageant de façon adéquate les investissements dans la production de biens durables et en y introduisant une gestion rigoureuse et efficace des ressources naturelles, matérielles, humaines et financières. Des réformes profondes ont été entreprises pour : I) former des gestionnaires et technocrates ; Il) rénover l’administration et la législation en simplifiant au maximum la création d’entreprises et en y facilitant l’accès au crédit, au foncier, aux services (eau, électricité, téléphone, routes et transport) ; III) moderniser les services financiers, notamment bancaires ; IV) accorder des incitations financières et fiscales ; V) mettre en place un système de contrôle prudentiel et managerial ; VI) introduire une régulation économique afin d’établir une compétition loyale, aider les investisseurs à produire bien et vite, protéger les producteurs dans leurs relations avec les tiers et le consommateur au regard des prix et de la qualité de service. Ces pays ont surtout su créer un environnement propice avec une stabilité juridique à toute épreuve et des procédures administratives simplifiées afin d’encourager les investisseurs nationaux et les investisseurs internationaux. Ces derniers sont essentiels pour l’apport du savoir-faire et du capital. Les services fondamentaux pour le développement d’une économie, tels que le transport, le tourisme, la technologie, le commerce extérieur, les finances (banques-assurances-marchés financiers) ont constitué un gisement d’emploi et de développement durable pour de nombreux pays afin de sortir de la dépendance économique et diversifier efficacement leur économie. La formation, notamment de gestionnaires, a été un élément vital pour ces pays pour gérer de façon rigoureuse, efficace et efficiente toutes leurs ressources de toute nature et de toutes sortes. Justement, notre pays manque cruellement de gestionnaires qualifiés tant dans le secteur public que privé. Prenons un exemple, celui des deniers publics. Sait-on qu’il n’existe pas d’école ou d’institut pour former spécialement des cadres de conception et de gestion pour le budget, instrument essentiel dans toute politique socioéconomique d’un pays. Le besoin de former des gestionnaires en ce domaine est pressant à un moment où l’on s’apprête à dépenser 55 milliards de dollars pour les 5 années à venir dans le cadre de la relance économique ! Il faudrait à l’Etat et ses démembrements énormément de cadres dans les domaines suivants tels que : 1) préparation du budget (ministère des Finances, autres ministères, institutions et collectivités publiques à tous les niveaux ; Il) exécution du budget (ordonnateurs des ministères, institutions publiques, wilayas, communes et établissements publics III) contrôle et payement des dépenses publiques (contrôle financier, Trésor public, agences comptables) ; IV) audit de la gestion de deniers publics (Cour des comptes, inspection et contrôle à tous les niveaux). Bien plus, si réellement on avait un système de formation performant, on aurait produit des gestionnaires qualifiés pour la conception, le développement, l’évaluation de projets, l’exploitation, l’audit et le contrôle. On aurait pu éviter : 1) l’effondrement du secteur productif public ; 2) la création d’une bureaucratie paralysante ; 3) un accès tortueux et pervers au financement ; 4) les difficultés à financer des projets d’investissement fiables et rentables ; 5) l’échec de la création de banques privées algériennes,etc. La conséquence d’une telle situation c’est le nombre important de déchets d’entreprises publiques et privées, de dilapidation de ressources de toutes sortes, surtout financières, et de détournements dans nos entreprises, banques et autres institutions financières, publiques et privées. En conclusion Le pays possède assez de cadres compétents en retraite, avec une grande expérience, nationale et internationale, qui ne demanderaient pas mieux d’aider à élaborer une stratégie de sortie de la dépendance, d’amélioration de gestion et de formation. Il serait bien sûr utile de leur adjoindre des experts étrangers de stature internationale pour diversifier les vues et opinions, et enrichir le débat afin d’améliorer le contenu de cette stratégie. L’objectif est de sortir de la dépendance économique et de l’assistance « pour de bon ». Cela nous permettrait d’instaurer dans la réalité un développement socioéconomique durable et entrer de plain-pied dans l’ère de la création industrielle, des technologies de l’information et de la communication, et ce, dans tous les domaines. Mais existe-t-il une volonté de sortir de la dépendance des hydrocarbures afin de construire une économie diversifiée à l’exemple des pays du Golfe, surtout que l’on parle de l’« après-pétrole » depuis.... 1980 !

        Par Ali Mohamed Hammoudi (El Watan)
        Dernière modification par chicha51, 06 septembre 2009, 10h25.

        Commentaire


        • #19
          Les Koweïtiens financent par des PRÊTS
          Des prêts, des dons ... là n'est pas la question. On parle des koweitiens qui construisent des autoroutes au Maroc. Peut être que tu n'es pas au courant !!!

          Bledard!!!! donne moi un lien qui dit que le Maroc fait 5% de croissance grâce aux dons et à la drogue
          Aux dons et à la trajectoire (heureuse ou malheureuse) des nuages ... nous avons en magasin !

          Commentaire


          • #20
            Des prêts, des dons ... là n'est pas la question. On parle des koweitiens qui construisent des autoroutes au Maroc. Peut être que tu n'es pas au courant !!!
            Jawzia
            ................................

            Ils ne construisent pas ils prêtent de l'argent au Maroc qui en manque ( tout le monde n'a pas un don divin) et ce sont les marocains qui font les études de faisabilités , engagent des entreprises étrangères et locales lesquelles confient les travaux à des marocains ( ingénieurs , techniciens, main d'œuvre etc)

            Il n'y a pas de yeux bridés chez nous où trés peu et seulement pour un apport sur les technologies de pointe .

            Wah assahbi !! Faire venir un chinois de l'autre coté du monde pour creuser un tunnel où pousser une brouette


            Aux dons et à la trajectoire (heureuse ou malheureuse) des nuages ... nous avons en magasin !

            Et ça se prétend connaisseur en économie.

            Pour un assidu de Nadia Salah c'est tout ce que tu as appris sur l'economie diu Maroc ; les nimbostratus,les cumulus et les cumulonimbus.

            Pour ta gouverne , tu as beau recevoir des trompes d'eau si tu te bouges pas le derrière pour la retenir ( barrages), la canaliser jusqu'à la terre , laquelle doit être travaillée ,semée,ensemencée pour enfin récolter les fruits de ton labeur tu n'auras qu'à faire comme la spécialité chez toi l'import/import/

            Commentaire


            • #21
              Ils ne construisent pas ...
              Tu ne connais même pas ton pays http://www.algerie-dz.com/forums/sho...=138983&page=3

              En dehors du Maroc, elle a construit : 0 Km ! C'est dire l'expertise dont elle peut se targuer !

              Et ça se prétend connaisseur en économie.
              Je ne suis pas economiste. Ce qui ne m'empêche pas de m'informer et de constater (que la croissance vient du Ciel) :

              2005 : Pas pluie ----> 2% de croissance
              2006 : Pluie ---> 8.1% de croissance
              2007 : Pas pluie ----> 2% (1.4% pour d'autres)
              2008 : Pluie ------> 5%

              .....
              Dernière modification par jawzia, 06 septembre 2009, 13h12.

              Commentaire


              • #22
                jawzia,

                Des prêts, des dons ... là n'est pas la question. On parle des koweitiens qui construisent des autoroutes au Maroc. Peut être que tu n'es pas au courant !!!
                ------------------


                Alors ce sont les koweïtiens qui construisent les autoroutes marocaines ah ce jawzia maki7chamch le Maroc c'est pas l'algerie mon vieux

                Commentaire


                • #23
                  on peut dire meme que le maroc ce n est meme pas sonatrach
                  The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

                  Commentaire


                  • #24
                    Ce qu'on peut assurément dire et pas démesuré, c'est que algerie=sonatrach

                    Commentaire


                    • #25
                      Tu ne connais même pas ton pays http://www.algerie-dz.com/forums/sho...=138983&page=3

                      En dehors du Maroc, elle a construit : 0 Km ! C'est dire l'expertise dont elle peut se targuer !

                      Jawzia

                      .......................................

                      Désolé l'ami , j'ai beau chercher le Koweit finance les projets par le biais du fond Kowetien (FKDEA) mais ne les construit pas.

                      Il n'en a ni la vocation , ni les compétences.

                      Mais là encore tu essayes de noyer le poisson comme à ton habitude


                      Je ne suis pas economiste. Ce qui ne m'empêche pas de m'informer et de constater (que la croissance vient du Ciel) :

                      2005 : Pas pluie ----> 2% de croissance
                      2006 : Pluie ---> 8.1% de croissance
                      2007 : Pas pluie ----> 2% (1.4% pour d'autres)
                      2008 : Pluie ------> 5%

                      ................................

                      On fait le modeste alors que les rapports du HCP , les hebdos marocains L'économiste et La Vie Économique sont tes livres de chevet.Disons économiste spécialité Maroc .

                      Maintenant revenons à ce que tu feins d'ignorer car contrairement à une dépendance au mazout incurable chez certains , le Maroc s'eloigne de plus en plus de la dependance à l'agriculture et non à la pluviometrie ( je t'ai expliqué pourquoi)

                      ..........................

                      L’économie marocaine moins dépendante de l’agriculture

                      Le Maroc a enregistré lors de la dernière décennie une croissance soutenue moins dépendante des variations de la production agricole et davantage tirée par les services et le secteur du BTP, relève le Haut Commissariat au Plan (HCP).
                      Dans sa nouvelle publication « Croissance et développement humain au Maroc, Repères statistiques 1998-2008″, éditée à l’occasion du 10ème anniversaire de l’intronisation de SM le Roi Mohammed VI, le HCP note que la croissance du PIB hors agriculture et pêche est passé de 3 pc durant la période 1990-1998 à 4,8 pc lors de la décennie 1998-2008.
                      La part des services dans le PIB a gagné 4 points lors de la même période contre 1,7 point entre 1990 et 1998, ajoute-t-il.
                      De même, la part du BTP a gagné 1,8 pc contre une baisse de 0,7, alors que l’agriculture en a perdu 4,7 points contre une hausse de 1,1 point.
                      Globalement, le taux de croissance du PIB au Maroc s’est accru ces dix dernières années d’un tiers, passant de 3,3 pc entre 1990 et 1998 à 4,3 pc durant la période 1998-2008, selon le HCP.
                      Dans sa quantification de la contribution des agents économiques à la richesse, le HCP relève que la part des sociétés financières et non financières a augmenté de 5,4 points, en l’espace de neuf ans, celle des administrations publiques de 1,3 point, alors que celle des ménages (y compris les entreprises individuelles) a baissé de 6 points.
                      La même source souligne aussi que l’investissement est de plus en plus privilégié dans l’affectation des ressources nationales, notant une quasi-stabilité des dépenses de consommation finale durant la période 1998-2008, une augmentation de 10 points dans l’investissement et une accentuation d’environ 10 points du déficit extérieur de biens et services.
                      Le HCP fait état d’un effort d’investissement soutenu depuis 2001, une contribution de plus en plus importante des entreprises du secteur organisé à l’effort d’investissement et un poids croissant du BTP et des produits industriels dans l’investissement.

                      Concernant les équilibres macro-économiques, le HCP fait état d’une croissance bénéficiant d’une maîtrise des équilibres fondamentaux mais qui se trouve cependant fragilisée par le déficit des comptes extérieurs.
                      Il note, dans ce cadre, que la Balance des paiements jadis excédentaire de 1,5 pc en moyenne jusqu’en 2006, est de plus en plus déficitaire depuis 2007 (0,1 pc en 2007 et 5,4 pc en 2008), alors que le Budget Général, déficitaire de 2,6 pc en moyenne annuelle jusqu’en 2006, est devenu en revanche excédentaire depuis 2007.
                      Quant à l’inflation, elle a été maintenue à 1,9 pc par an entre 1998 et 2008 contre 4,9 pc entre 1989 et 1998, alors que la dette publique est en baisse tendancielle pour se situer au-dessous de 60 pc du PIB en 2008.
                      « Croissance et développement humain au Maroc, Repères statistiques 1998-2008″ est une synthèse statistique décennale qui englobe les multiples publications annuelles et infra-annuelles livrées régulièrement sur différents thèmes par le HCP.



                      Maintenant voyons du coté de la "Suisse" du Maghreb ses rapports (teintés d'hypocrisie )avec salate listiska malgré les pétrodollars

                      Le ministère algérien des Affaires religieuses a appelé mardi dans un communiqué les imams (prédicateurs religieux) de l’ensemble des mosquées du pays à accomplir, jeudi matin, « salat el-istisqa » (rogations pour la pluie).
                      Les prières rogatoires sont dites durant les périodes de sécheresse pour implorer Dieu de répandre la pluie.
                      Seulement voilà: quelques heures après le communiqué du ministère des Affaires religieuses, les services de la météorologie algériens ont annoncé des chutes de pluies à partir de… jeudi matin. De là à penser que le ministère s’est d’abord renseigner sur “le temps qu'il fera” jeudi avant de lancer son appel, il n’y a qu’un pas…


                      google_protectAndRun("render_ads.js::google_render _ad", google_handleError, google_render_ad); http://hwawi.**********/2008/02/13/s...pour-la-pluie/

                      Commentaire


                      • #26
                        On investit, on pompe, on engrange et .... on snobe.
                        Et les jeunes viennent gonfler les rangs des harragas, pratiquement des suicides collectives dans le pays le plus riche d'Afrique du Nord

                        Commentaire


                        • #27
                          marroquifier : On a jamais prétendu que l'Algérie était la Suisse. Si au moins tu lisais tous les topics, tu te rendrais compte qu'on critique assez notre pays, qui est pleins de dysfonctionnements, un pays du tiers-monde.

                          Maintenant, tu aimes parler des harragas, comme si c'était une spécialité algérienne. T'en entends beaucoup parler car ce n'est pas tabou. Mais je te dis tout de suite, arrête de t'en réjouir car les marocains sont aussi si ce n'est plus nombreux. Laisse ces gens tranquilles au lieu de te moquer.
                          La mauvaise langue n'est jamais à court d'inventions !

                          Commentaire


                          • #28
                            chicha tu essaie de prouver que l'economie algerienne tremble quand il ne pleut pas ? t'as tt faux .. premierement le secteur agricole est tellement marginalisé que les responsables algeriens s'en foutent eperdument qu'il pleut ou pas .. qd aux algeriens .. a part les agriculteurs ça ne change en rien le quotidien des autres si ça pleut ou pas , sauf si ça fait des innondations ..
                            au maroc c'est autre chose , votre pays est un pays agricole , l'"agriculture et l'agroalimentaire sont l'activité qui fait travailler le plus au maroc , et son chiffre d'affaire est peut etre le deuxieme apres les phosphates .. un pays agricole n'est pas un mal en soit , mais le maroc est un pays agricole semi aride de 33 millions d'habitans c'est là le probleme . d'où l'alea climatique devient une donne essentielle pas seulement de votre economie ,mais de votre societé . au lieu de nous demontrer que vous etes le futur hong kong de l'afrique il faut se poser la question pkoi le pays qui depuis 40 ans mise sur l'agriculture n'arrive pas a la rendre moins dependante du ciel ,en admetant que le maroc ne depend pas du ciel .
                            en verité ...en verité... je vous le dis .. si un grain de blé tombe en terre et ne meurt pas ,il restera seul , mais s'il meurt ,il donnera beaucoup de fruits . evangile

                            Commentaire


                            • #29
                              On a jamais prétendu que l'Algérie était la Suisse. Si au moins tu lisais tous les topics, tu te rendrais compte qu'on critique assez notre pays, qui est pleins de dysfonctionnements, un pays du tiers-monde.
                              SI vous vous contentez de commenter et critiquer que l'algérie, ça aurait été mieux , sauf que vous nous empêchez de commenter l'actualité algérienne sous prétexte que ça ne nous regarde pas. et vous faites un fixation maladive sur le Maroc, et vous vous délectez à poster et commenter l'actualité marocaine sous prétexte qu'il s'agissait de l'international.

                              je ne parle pas de vous, dont je ne soupçonne un instant votre sincérité, mais ceux dont je parle se reconnaissent bien évidement sans que je les nomme

                              dans cette rubrique on ne fait que se défendre et riposter
                              Dernière modification par marroquifier, 06 septembre 2009, 22h11.

                              Commentaire


                              • #30
                                chicha tu essaie de prouver que l'economie algerienne tremble quand il ne pleut pas ? t'as tt faux .. premierement le secteur agricole est tellement marginalisé que les responsables algeriens s'en foutent eperdument qu'il pleut ou pas .. qd aux algeriens .. a part les agriculteurs ça ne change en rien le quotidien des autres si ça pleut ou pas , sauf si ça fait des innondations ..
                                au maroc c'est autre chose , votre pays est un pays agricole , l'"agriculture et l'agroalimentaire sont l'activité qui fait travailler le plus au maroc , et son chiffre d'affaire est peut etre le deuxieme apres les phosphates .. un pays agricole n'est pas un mal en soit , mais le maroc est un pays agricole semi aride de 33 millions d'habitans c'est là le probleme . d'où l'alea climatique devient une donne essentielle pas seulement de votre economie ,mais de votre societé . au lieu de nous demontrer que vous etes le futur hong kong de l'afrique il faut se poser la question pkoi le pays qui depuis 40 ans mise sur l'agriculture n'arrive pas a la rendre moins dependante du ciel ,en admetant que le maroc ne depend pas du ciel .
                                pour une fois jamaloup des choses sensées.
                                là ou je ne suis pas d'accord ,aucun pays agricole ou non, mais surtout agricole ne peut dire qu'il ne dépend pas du ciel, sinon il dépendra de l'import
                                la France par exemple, il suffit qu'il ne pleuve peu sur deux mois consécutives pourq'elle déclenche le plan sècheresse et décrete des mesures d'économie d'eau telle que l'interdiction de l'arosage

                                Commentaire

                                Chargement...
                                X