Heureux les simples d'esprit....
Débattre sereinement en respectant l’avis d’autrui même si on ne le partage pas : voilà la marque des gens civilisés.
A l’évidence, certains intervenants sur FA ….n’ont pas cette marque.
Il est tout à fait normal qu’on ne soit pas d’accord avec un intervenant mais rien n’oblige ce "on" à tomber systématiquement dans le dénigrement ou, pire, dans l’insulte de bas étage.
Cela dit, il n’est pas dans mes habitudes de polémiquer avec ceux qui, au lieu de contre argumenter sereinement, se croient obligés de vouer aux gémonies l’intervenant avec lequel ils ne sont pas d’accord.
Il me suffit de dire que, lorsque j’interviens sur un débat, concernant particulièrement mon pays, je le fais en me basant sur mon vécu et non à partir de théories ou de déductions "pifométriques"….
N’importe quel "abruti" sait qu’il y a une grande différence entre la théorie et la pratique !
Dans mon intervention ci-dessus j’ai émis une appréciation sur l’apport (en devises) de l’investisseur étranger au Maroc dans l’immobilier et seulement dans l’immobilier.
Par ailleurs je me réfère au Maroc et uniquement au Maroc : ce que font les autres pays en matière d’investissement de ou à l’étranger ne m’intéresse pas !
Il se trouve que, dans ma vie professionnelle, j’ai eu à étudier et à financer de nombreux projets immobiliers initiés par des investisseurs étrangers.
Quand j’énonce donc que, dans l’immobilier, l’apport direct (en devises) au Maroc du promoteur étranger est peanut ….j’en parle en connaissance de cause.
Ce n’est pas une "logique" mais un constat !
Par contre l’apport de ces investisseurs est décisif en matière de commercialisation.
En effet, grâce à leur réseau de commercialisation généralement transnational, ces investisseurs vendent "sur plan" et à l’étranger les résidences en cours de construction au Maroc ….
Et ces investisseurs financent en grande partie leur projet par ces acomptes des acquéreurs (en plus des crédits locaux) et non par des apports directs.
Bien sûr l’un dans l’autre, le Maroc se retrouve (gros apports en devises des acquéreurs) ….sans oublier bien entendu le promoteur étranger, celui qui a débarqué avec un peu de devises dans ses poches et qui repart avec 10 fois plus de devises une fois son projet terminé !
Pour revenir à la CDG, je ne doute pas un seul instant de sa compétence en matière d’immobilier et de construction de villes et de sa capacité à se développer à l’international !
Et de toute façon elle ne sera pas pionnière puisque quelques promoteurs marocains l’ont déjà précédé à l’international (Chaabi, etc..).
Mais il s’agit de promoteurs privés alors que la CDG est un organisme étatique et j’estime que l’Etat a d’autres urgences qu’un investissement dans l’immobilier à l’étranger !
Mais surtout, je dis que le moment n’est peut être pas opportun de transférer à l’étranger quelques 60 MUSD dans un projet fructueux certes mais dont la rentabilité est quand même diffuse et ce au moment où le pays doit gérer au mieux ses réserves de change
Oua Allahou Aalam !.
Débattre sereinement en respectant l’avis d’autrui même si on ne le partage pas : voilà la marque des gens civilisés.
A l’évidence, certains intervenants sur FA ….n’ont pas cette marque.
Il est tout à fait normal qu’on ne soit pas d’accord avec un intervenant mais rien n’oblige ce "on" à tomber systématiquement dans le dénigrement ou, pire, dans l’insulte de bas étage.
Cela dit, il n’est pas dans mes habitudes de polémiquer avec ceux qui, au lieu de contre argumenter sereinement, se croient obligés de vouer aux gémonies l’intervenant avec lequel ils ne sont pas d’accord.
Il me suffit de dire que, lorsque j’interviens sur un débat, concernant particulièrement mon pays, je le fais en me basant sur mon vécu et non à partir de théories ou de déductions "pifométriques"….
N’importe quel "abruti" sait qu’il y a une grande différence entre la théorie et la pratique !
Dans mon intervention ci-dessus j’ai émis une appréciation sur l’apport (en devises) de l’investisseur étranger au Maroc dans l’immobilier et seulement dans l’immobilier.
Par ailleurs je me réfère au Maroc et uniquement au Maroc : ce que font les autres pays en matière d’investissement de ou à l’étranger ne m’intéresse pas !
Il se trouve que, dans ma vie professionnelle, j’ai eu à étudier et à financer de nombreux projets immobiliers initiés par des investisseurs étrangers.
Quand j’énonce donc que, dans l’immobilier, l’apport direct (en devises) au Maroc du promoteur étranger est peanut ….j’en parle en connaissance de cause.
Ce n’est pas une "logique" mais un constat !
Par contre l’apport de ces investisseurs est décisif en matière de commercialisation.
En effet, grâce à leur réseau de commercialisation généralement transnational, ces investisseurs vendent "sur plan" et à l’étranger les résidences en cours de construction au Maroc ….
Et ces investisseurs financent en grande partie leur projet par ces acomptes des acquéreurs (en plus des crédits locaux) et non par des apports directs.
Bien sûr l’un dans l’autre, le Maroc se retrouve (gros apports en devises des acquéreurs) ….sans oublier bien entendu le promoteur étranger, celui qui a débarqué avec un peu de devises dans ses poches et qui repart avec 10 fois plus de devises une fois son projet terminé !
Pour revenir à la CDG, je ne doute pas un seul instant de sa compétence en matière d’immobilier et de construction de villes et de sa capacité à se développer à l’international !
Et de toute façon elle ne sera pas pionnière puisque quelques promoteurs marocains l’ont déjà précédé à l’international (Chaabi, etc..).
Mais il s’agit de promoteurs privés alors que la CDG est un organisme étatique et j’estime que l’Etat a d’autres urgences qu’un investissement dans l’immobilier à l’étranger !
Mais surtout, je dis que le moment n’est peut être pas opportun de transférer à l’étranger quelques 60 MUSD dans un projet fructueux certes mais dont la rentabilité est quand même diffuse et ce au moment où le pays doit gérer au mieux ses réserves de change
Oua Allahou Aalam !.
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