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La loi de finances complémentaire 2009

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  • La loi de finances complémentaire 2009

    Raison

    L’ambassadeur de France a fait un voyage chez lui, à Marseille, pour expliquer aux autorités locales le bien-fondé de la décision algérienne.

    La loi de finances complémentaire 2009, qui a pris de court aussi bien les importateurs nationaux, les concessionnaires entre autres, que les étrangers qui commercent avec l’Algérie, semble, par miracle, convenir à tout le monde. En fait, pour le capital étranger, la raison a prévalu sur les gros sabots et les menaces à peine étouffées de leurs représentations diplomatiques accréditées chez nous.
    Les intérêts sont si importants que les quelques articles restrictifs endossés par la LFC 2009 ne sont qu’une goutte d’eau dans le business général qui se chiffre en millions de dollars.
    C’est dire que le bras de fer qui finalement n’en est pas un, a profité aux initiateurs de cette loi, à savoir le Premier ministre pour qui le patriotisme économique doit se situer comme la superstructure du développement national. Si sa décision a été diversement accueillie, il n’en demeure pas moins que les investisseurs réels et potentiels sont revenus à de meilleures appréciations. L’Italie et hier avec la délégation d’hommes d’affaires catalans acceptent la décision souveraine des autorités algériennes puisque eux-mêmes sont passés par ce gué.
    Les Britanniques annoncent l’arrivée de leur ministre de la Défense pour un contrat d’achat d’équipement militaire, les Italiens aussi. L’ambassadeur de France a fait un voyage chez lui, à Marseille, pour expliquer aux autorités locales le bien-fondé de la décision algérienne.
    C’est dire que les affaires de pays à pays doivent avoir une autre surface que celle des conteneurs et du marché à la limite de l’informel.
    Les partenaires étrangers ont compris le message que si notre pays reste ouvert à l’autre, il faut que la récolte soit à la mesure de l’attente.
    Il reste néanmoins à réguler le marché de l’essentiel, celui du médicament et des produits de base dont nous sommes otages, à défaut de les produire localement par le capital national.
    Liberté
    Mieux vaut un cauchemar qui finit qu’un rêve inaccessible qui ne finit pas…

  • #2
    En gros vous faites accepter cette lois en achetant des armes? C'est pas si rentable au final.
    La guerre, c'est la guerre des hommes ; la paix, c'est la guerre des idées. V. Hugo

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    • #3
      En gros vous faites accepter cette lois en achetant des armes? C'est pas si rentable au final.
      Tu nous a habitue a mieux Geass, wach kayen ????
      L'Algerie a manifeste son intention d'acheter des armes bien avant la promulgation de la LFC 2009.

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      • #4
        Ce n'est pas moi qui le dit. C'est l'article qui le sous entend. En gros si vous nous emmerdez avec la LFC nous n'achetons plus vos armes et nous irons ailleurs.
        Fair enough.
        La guerre, c'est la guerre des hommes ; la paix, c'est la guerre des idées. V. Hugo

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        • #5
          Raté Geass , il fallait plutôt retenir ceci:

          C’est dire que les affaires de pays à pays doivent avoir une autre surface que celle des conteneurs et du marché à la limite de l’informel.


          Les partenaires étrangers ont compris le message que si notre pays reste ouvert à l’autre, il faut que la récolte soit à la mesure de l’attente
          .
          .


          Nul n’est plus désespérément esclave, que ceux faussement convaincus d’être libres"-JWVG

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          • #6
            Genre tous les pays du monde sont dans l'informel car ils ne suivent pas vos règles LOL
            La guerre, c'est la guerre des hommes ; la paix, c'est la guerre des idées. V. Hugo

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