Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Université-Entreprises, une relation doit naitre!

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Université-Entreprises, une relation doit naitre!

    Il doit y a voir un lien directe et solide entre l’université et les entreprises, «Projets et financemen », satisfaire : de quoi a-t-besoin ?.....
    l’université en tant qu’institution, doit s’integrer en qualité qu’element actif, reactif et influant dans la société, et son économie et y participer ....l’USTHB a tenté l’expérience...

    ====
    Université-Entreprises
    Un couple à concilier


    L’Université des sciences et de la technologie Houari Boumediène (USTHB) et ses partenaires étrangers (Insa de Lyon, Université de Barcelone et l’Institut polytechnique de Bari) ont accueilli, au rectorat de l’USTHB, plusieurs opérateurs économiques en vue de la mise en œuvre du programme Tempus retenu par l’Union européenne (UE).


    Ainsi, le recteur de l’USTHB, le professeur Benzaghou, a indiqué que l’UE n’a retenu que 30 projets sur les 500 qui lui ont été soumis. « L’UE exige que le projet soit porté par une université de la rive sud et par deux universités de la rive nord », a expliqué le recteur. Il insiste sur le travail d’interface qui attend les entreprises économiques et l’USTHB. Parmi les projets retenus en Algérie, M. Benzaghou cite le centre de biotechnologie de Constantine et un autre projet à Béjaïa. Boumerdès pilote, également, un projet de mise en place d’un réseau de bibliothèques universitaires. Le recteur a annoncé, par ailleurs, des exemples de partenariat qui ont précédé cette journée, en indiquant qu’Algérie Télécom a recruté, l’année passée, 10 ingénieurs en électronique. Pour M. Benzaghou, il est question d’organiser l’intermédiation pour les diplômés. Une convention a été signée, à ce sujet, avec l’Ansej en vue d’aider les étudiants à monter leurs propres entreprises. Un autre dispositif consiste en la mise en place d’incubateurs d’entreprises par une aide logistique aux étudiants. « On peut offrir aux diplômés l’accès à internet, le téléphone, le fax... Mais ça ne sera pas dans trois mois », dira le recteur, comme pour reconnaître les difficultés dans le lancement de ce dispositif. Le projet Tempus, d’un montant de 20 millions d’euros, vise, selon Mme Ettoumi, coordinatrice du projet, à conforter la création de quatre interfaces centrées sur la satisfaction des besoins des étudiants des filières d’ingénieurs en matière de stages et de projets de fin d’études. Il cible, aussi, l’appui au placement des diplômés ainsi que l’insertion de jeunes chercheurs. Il est question, enfin, d’appui à la création d’entreprises. De son côté, le candidat boursier, Jean-Claude Bureau (France), directeur des relations internationales, dira que l’Europe a lancé ce projet dans la perspective de « gagnant-gagnant ». L’Europe, continue-t-il, cherche des partenaires de qualité. Tempus, selon lui, vise à développer des relations avec le Maghreb et former des formateurs. L’USTHB a signé des conventions avec Microsoft Algérie, le groupe Saïdal, Sonatrach, Sonelgaz et Alsat I.

    El Watan
Chargement...
X