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Brink's se développe au Maroc

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  • Brink's se développe au Maroc

    Présent au Maroc depuis prés de 7 ans dans le domaine du transport de fond la Brink's entreprend aujourd'hui d'étendre son savoir faire au gardiennage et d'ouvrir de nouvelles succursales pour accompagner le développement de ses activités dans tout le royaume.

    ----------------------------------------------

    L'article :

    Brink's obtient l'agrément de Bank Al-Maghrib et lance sa filiale Brink's Guarding Maroc.

    Présent au Maroc depuis 1999, l'entreprise envisage de se développer également en Afrique à partir de sa plate-forme marocaine. Brink's, aujourd'hui au niveau local, c'est 300 collaborateurs, des centres forts conformes aux normes de sécurité du groupe.

    Le groupe est présent à Casablanca, Marrakech, Agadir, Fès, Nador, Ouarzazate et prévoit de s'implanter à Rabat et Tanger en 2006. Il assure le transfert de fonds, le traitement des billets et des pièces, ainsi que le transport de documents sensibles et la gestion des distributeurs automatiques de billets.

    Il est équipé de 50 véhicules blindés dédiés au transport de fonds et réalise un chiffre d'affaires de près de 70 millions de DH. Il investit environ 30 millions de DH annuellement. En lançant, l'activité guarding, le groupe investit un nouveau créneau en pleine croissance aujourd'hui : sécurité et surveillance notamment au niveau des infrastructures aéroportuaires et portuaires.

    Il s'occupe principalement du contrôle des passagers, des bagages et du fret. «Pour anticiper ce déploiement, Brink's veut s'inscrire dans une démarche d'intégration progressive afin de préserver les particularismes nationaux, de favoriser le transfert de compétences et de promouvoir des métiers nouveaux en assurant la création d'emplois», précise Jean Michel Houry, président de Brink's inc.

    Il s'agit de se positionner sur un «gardiennage à forte valeur ajoutée». Le marché global du gardiennage est de 330 millions de dirhams pas an, avec un taux de croissance supérieur à 15%. Seulement 40% des activités de gardiennage sont actuellement sous-traitées sur un marché fragmenté qui compte près de 50 acteurs.

    La nouvelle filiale de Brink's va s'orienter vers la sûreté portuaire et aéroportuaire, ainsi que la surveillance de certains bâtiments (banques, ambassades et industries présentant des risques élevés).
    Le groupe Brink's a réalisé un chiffre d'affaires de 4,7 milliards de dollars en 2004 et emploie 50.000 personnes dans plus de 120 pays.

    Il est présent au niveau de la protection et transport des valeurs, cash management et surveillance, via Brink's Inc. Il opère également dans le transport sécurisé des valeurs à travers le monde via Brink's Global Service, dans la protection des domiciles via Brink's Home Security et au niveau du fret à travers Bax Global.





    Implantations Brink's :




    Brink's Maroc se renforce

    · 70 millions de chiffre d’affaires annuel

    · Création de «Brink’s Guarding Maroc»


    Six ans après son implantation au Maroc, le transporteur de fonds, Brink’s, affiche un chiffre d’affaires annuel de l’ordre de 70 millions de DH. La société, dont le siège social est installé à Casablanca, s’est développée au fil des ans avec l’ouverture des agences de Marrakech, Agadir, Fès, Nador et Ouarzazate. Cette année, elle vise les villes de Rabat et Tanger. En ce début 2006, Brink’s confirme aussi le succès de sa stratégie de développement au Maroc. En effet, l’entreprise a obtenu l’agrément de Bank Al-Maghrib pour l’activité de «cash management» à Casablanca (cf. www.leconomiste.com). Les autres centres de tri suivront bientôt. Selon la direction générale, «l’implantation de Brink’s au Maroc est l’exemple d’un développement économique réussi. Actuellement, la société compte 6 agences, près de 400 collaborateurs et un chiffre d’affaires en croissance continue». L’entreprise a également investi près de 30 millions de DH dans le développement humain, les infrastructures, les véhicules blindés et aussi les technologies de sécurité, les systèmes de comptage et tri.
    Outre le transfert de fonds, Brink’s s’occupe aussi du traitement des billets de banque et pièces et du transport de documents sensibles. A cela, il faut ajouter l’activité gestion de distributeurs automatiques de billets. La société se positionne ainsi en «interlocuteur global de ses clients», indique-t-on auprès du management. Elle joue donc un rôle de gestionnaire complet du traitement de la circulation, autant des espèces que des valeurs. De ce fait, ajoute-t-on, elle permet à ses partenaires de se recentrer sur leurs activités principales.
    Le transporteur de fonds veut être l’interlocuteur de référence des banques marocaines, des grandes institutions économiques et des pouvoirs publics, pour la sécurité des personnes, des biens et des valeurs. C’est du moins l’objectif de la direction générale de l’entreprise. Celle-ci ambitionne aussi de faire du Maroc «une base de départ pour une expansion de Brink’s vers le grand Maghreb et le reste de l’Afrique».

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    Le gardiennage aussi

    Brink’s Maroc a également développé une activité gardiennage et surveillance. Un marché évalué à 330 millions de DH par an. Sa croissance, note-t-on, se situe autour de 15% en moyenne annuelle. Cependant, seulement 40% des activités de gardiennage sont sous-traitées. Un manque à gagner pour les 50 acteurs opérant sur ce marché fragmenté. Toutefois, on affirme auprès de Brink’s qu’il a tendance à se transformer et à se segmenter. En d’autres termes, l’on s’achemine vers une professionnalisation des services. C’est ce qui justifie la création de «Brink’s Maroc Guarding» dont l’activité sera axée sur la sûreté aéroportuaire et portuaire, la surveillance humaine dans les banques, les ambassades et les industries présentant des risques.
    Le management de cette filiale vient d’être recruté. De nouveaux locaux seront dédiés à cette activité de surveillance humaine, basés dans un premier temps à Casablanca, au parc industriel Oukacha.

    Jamal Eddine HERRADI

    Leconomiste.com- Le premier quotidien économique du Maroc. Toute l'actualité en continu : Economie, Finances, Bourse, Enquête, Société, International, ...
    Dernière modification par Invité, 26 janvier 2006, 18h24.

  • #2
    Salem Manara

    Merci Manara pour ce recueil d'informations!

    Dis moi, c'est une question que je me suis toujours posée: quel est le taux de bancarisation de l'économie marocaine?
    Passi passi werrana dipassi!

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    • #3
      je crois de 30% leco.



      Et quand on sait que le taux de bancarisation représente 30%, en incluant le circuit de Barid Al Maghrib

      Commentaire


      • #4
        Salam l'économiste

        Merci Manara pour ce recueil d'informations!

        Dis moi, c'est une question que je me suis toujours posée: quel est le taux de bancarisation de l'économie marocaine?
        Salam l'économiste à premiére vue quand ont est au Maroc même les plus petites villes semblent disposé de guichet automatique (GAB et DAB) la majorité des banque sont privés, le Maroc dispose du troisiéme ensemble bancaire africain derriére l'Afrique du Sud et l'Egypte.

        La majorité des banques marocaines sont présentes à l'étrangers et font même des aquisitions en Afrique.

        Mais paradoxalement le taux de bancarisation et trés faible seulement 25 à 30 % au plus.

        Donc je ne sais pas quel base il utilise pour calculer ce taux quand on sait que pres d'environ 55% de la population à moins de 20 ans, prennent-ils toute la population seulement les plus de 20 ans, les plus de 25 ans etc... ????

        Mais une chose est sûr le taux est assez faible comparé à des pays à économie similaire (à mon sens l'informel et la contre bande y joue pour beaucoup) et d'ailleurs il existe même des entreprises qui traitre pratiquement toute leurs transactions en liquide :22:

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        • #5
          Salam Ismail2005

          je crois de 30% leco.



          Et quand on sait que le taux de bancarisation représente 30%, en incluant le circuit de Barid Al Maghrib
          Donc je pense qu'en enlevant Barid Al Maghrib il ne doit pas rester grand chose, tout au plus je dis 15 %.

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          • #6
            @menara

            Le secteur bancaire au maroc est hyper rentable;car le nombre de banques est limité par rapport a des pays de taille comprable,donc la concurrence n'est pas vraiment rude;ce qui explique aue les banques étrangeres n'hesitent pas a investir dans ce domaine comme recémment la caisse d'epargne francaise.

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            • #7
              salam

              Salam voici un article intéressant sur le transport de fond au Maroc ou il est question de la Brink's et de G4S. D'aprés l'article le marché du transport de fond est en forte augmentation. Les transporteur acheminent environ 5 milliards de DH par jour. Cette somme s'explique par le nombre important de grandes sociétés nationales et multinationales opérant dans les secteurs de banques (développement des guichets automatiques), de la grande distributions etc...

              Dernière modification par Invité, 10 février 2006, 15h46.

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