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Renault confirme un projet d'usine en Algérie

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  • #16
    De toutes façons, si ce projet est mené à son terme, c'est une bonne chose pour l'Algérie. Ca ne peut que renforcer l'attractivité du pays et donner des idées aux autres.

    Je pense malgré tout qu'il faut qu'il y ait un environnement juridique et économique bien balisé et ouvert pour permettre aux entreprises de s'installer sans risque.

    Un investisseur peut être tenté par une installation à l'étranger s'il sait qu'il peut avoir des tribunaux qui pourront l'aider en cas de litige, s'il peut compter sur des pratiques commerciales "internationalement" reconnues....

    Inchallah que ça se réalise sans problème.

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    • #17
      Je ne crois pas que dans l'état actuel des choses, les responsables algériens accepteront l'implantation de Renault en Algérie.

      Nos responsables mélangent politiques et économie. Mais sur ce coup, j'espère de tout mon coeur que ca ne se fera pas.

      Il faut faire moins de coopération possible avec la France et viser d'autres collaborateurs comme le japon et l'Allemagne.
      "If you can't say anything nice, don't say anything at all."

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      • #18
        Nomad7Je ne crois pas que dans l'état actuel des choses, les responsables algériens accepteront l'implantation de Renault en Algérie.

        Nos responsables mélangent politiques et économie. Mais sur ce coup, j'espère de tout mon coeur que ca ne se fera pas.

        Il faut faire moins de coopération possible avec la France et viser d'autres collaborateurs comme le japon et l'Allemagne.




        Au contraire, il faut espérer que ce projet se fasse. Même si les tensions sont tenaces avec la France, c'est quand même celui-ci qui est le plus proche de l'Algérie.

        Les Allemands ne viendront pas comme ça ni les Japonais. Ils raisonneront plus économiques et aucune autre considération. Pour l'instant, l'environnement économique, juridique... ne les incitera pas. En outre, pour les Allemands, quelles marques veux-tu qu'ils implantent pour le marché local. A part Volkswagen, mais là je reste sceptique.

        Si les Algériens bouclent le projet Renault, ils pourront voir d'autres constructeurs s'intéresser à une implantation. Je pense surtout aux constructeurs chinois ou indiens.

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        • #19
          Si les Algériens bouclent le projet Renault, ils pourront voir d'autres constructeurs s'intéresser à une implantation. Je pense surtout aux constructeurs chinois ou indiens.

          SLOUGI a raison, si Renault ne met pas ses pieds en Algérie, les autres ne suivront pas.
          Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

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          • #20
            Si les Algériens bouclent le projet Renault, ils pourront voir d'autres constructeurs s'intéresser à une implantation. Je pense surtout aux constructeurs chinois ou indiens.
            Je ne suis pas d'accord! La France ne cherche qu'à saboter l'Algérie, elle fera tout pour que ce projet ne se fasse pas pour désespérer les autres à venir en Algérie. N'est ce pas la France qui a imposé un embargo économique à l'Algérie?

            Les chinois et les coréens viendront sans aucun problème à mon avis.
            "If you can't say anything nice, don't say anything at all."

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            • #21
              Qui se souvient de F.A.T.I.A ( FATIA )?

              P.
              Dernière modification par Pangeen, 12 février 2010, 16h00.

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              • #22
                Les chinois et les coréens viendront sans aucun problème à mon avis.
                le probleme avec les chinois c'est que dans ce secteur eux meme en sont encore a la soustraitance, et les quelques marque chinoises, ne se vendent pas tres bien.... et puis il faut se mefier des chinois, ils vont tout ramener avec eux meme la main d'oeuvre... c'est pire que l'importation!!!
                leternel debat entre ovistes et animalculistes

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                • #23
                  ...Faut seulement espérer qu'il n'y aura pas un match de barrage entre l'Algérie et la France...
                  "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

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                  • #24
                    on parle de renault mais nissan est aussi un acteur majeur à travers ses multiples alliances avec les chinois en afrique et son implantation en afrrique du sud le plus grand marché du continent:
                    etat des lieux:
                    Tous les constructeurs s'adaptent à l'Afrique


                    Arrivée des Chinois en Angola, au Soudan et peut-être en Algérie, où ils rejoindraient l'iranien Khodro, qui vient de s'implanter au SénégalÂÂ… Les pays émergents bousculent l'ordre industriel qui prévalait jusqu'à présent.

                    Le continent africain regroupe 14 % de la population de la planète. Mais il représente un marché automobile de 1,3 million de voitures par an, soit 2 % de la production mondiale. Inutile d'épiloguer sur les raisons de ce déséquilibre. Elles sont connues de tous. Mieux vaut se tourner vers l'avenir immédiat, ainsi que l'exprime Carlos Ghosn, patron du groupe Renault-Nissan : « L'Europe, les États-Unis et le Japon absorbent aujourd'hui 48 millions de véhicules par an, soit 80 % de la production mondiale. En 2050, selon une étude du FMI, cette production aura quintuplé, à 300 millions de voitures par an. Les volumes pour l'Europe, les États-Unis ou le Japon ne bougeront pas, ou peu. La progression viendra des autres pays. » Bien sûr, Carlos Ghosn pense avant tout aux futurs eldorados de la consommation automobile : la Chine, l'Inde, la Russie et le Brésil. Mais il n'ignore pas que l'Afrique prendra également sa part.
                    Voilà pourquoi même si le marché africain est faible en nombre, éparpillé, d'accès difficile, aucun constructeur ne peut s'offrir le luxe de le délaisser. Dans ce domaine - pour simplifier -, il est trois Afrique. L'Afrique du Sud et ses pays satellites, avec environ 600 000 voitures par an. Au Nord, l'Afrique méditerranéenne pèse presque le même poids : 600 000 voitures, de l'Égypte au Maroc en passant par la Libye, la Tunisie et l'Algérie. Et, entre le Nord et le Sud, 70 000 voitures - en comptant large -, dont 40 000 au Nigeria, 5 000 au Sénégal et autant en Côte d'Ivoire. Ce qui laisse encore moins aux quarante autres pays.

                    Afrique du Sud : 60 % du marché
                    Pour les constructeurs, l'Afrique du Sud semble détachée du continent, tant elle est proche de l'Europe par ses pratiques automobiles. Ce pays, de longue tradition industrielle, produit presque autant de voitures qu'il en consomme et en exporte vers l'Europe, l'Asie ou l'Océanie. Les grandes marques y possèdent chacune une usine, à l'exception des constructeurs français. Par le taux d'équipement des ménages, au rythme de 600 000 voitures par an pour 42 millions d'habitants, l'Afrique du Sud équivaut à un pays d'Europe comme le Portugal. Les voitures particulières sont majoritaires : 60 % des véhicules vendus chaque année. Mais à ne vouloir traiter qu'avec l'Afrique du Sud, les grands constructeurs en oublient que ce marché est naturellement perméable aux véhicules venus de pays voisins.
                    La Chine, qui part de zéro, en est consciente. Elle dispense généreusement son aide à des pays africains, de préférence riches en pétrole et en matières premières dont elle a besoin pour entretenir sa croissance. Vues d'Europe, les premières incursions des marques chinoises peuvent sembler désordonnées : des offensives commerciales çà et là, menées sans plan d'ensemble par de petits constructeurs, puisqu'il n'existe pas encore de géant de l'automobile en Chine. C'est la première étape, effectivement. Dong­feng est passé au stade supérieur avec deux usines, au Soudan et en Angola. Elles ont poussé comme des champignons et produiront à l'automne un pick-up nommé Palladin. En vérité, le pick-up Nissan MP 300, que Dongfeng assemble déjà en Chine sous licence au sein d'un joint-venture à parts égales avec le constructeur japonais. L'accord a été signé directement de gouvernement à gouvernement. Avant de bâtir en Angola l'usine d'où sortira bientôt ce pick-up portant blason chinois, Dongfeng n'a pas demandé l'autorisation à Nissan, son partenaire. La production annuelle de cette usine, 15 000 véhicules, excédera pourtant, et de beaucoup, les besoins du marché angolais. Le surplus sera donc exporté, notamment en direction de l'Afrique du Sud, où il entrera en concurrence directe avec les pick-up Nissan MP 300 venus de Thaïlande. Que croyez-vous que Nissan ait fait ? « La Chine va produire en Afrique, mais ne possède pas de réseau de distribution. Nous avons donc choisi d'incorporer le pick-up construit en Angola à notre offre commerciale sur le continent. Ainsi, la réussite du Palladin sera aussi la nôtre », témoigne Gilles Normand, responsable des marchés émergents chez Nissan.

                    En forte croissance, l'Afrique du Nord rattrape son retard
                    Cette stratégie a le mérite du réalisme. Elle ajoute à l'éventail des véhicules de marque Nissan un produit qu'aucun grand constructeur ne possède aujourd'hui, et qui est pourtant l'arme pour pénétrer le marché africain : un pick-up à prix encore plus bas que le Nissan MP 300, le Toyota Hilux ou l'Isuzu D-Max. C'est actuellement la force des constructeurs chinois : des véhicules utilitaires aux tarifs ultraserrés, du camion au pick-up. L'alliance Renault-Nissan s'est penchée sur la question, depuis que Carlos Ghosn a constaté le succès de la Dacia Logan « low cost ».
                    Ghosn a pris le marché africain avec méthode, par ses deux bouts. À partir de 2010, l'usine Renault-Nissan de Tanger produira 400 000 véhicules « low cost » par an : des voitures particulières dérivées de la Logan (break, pick-up, petite berline Sandero) et des véhicules utilitaires Nissan. Dès l'automne, l'usine Nissan de Pretoria assemblera également des Dacia Logan et Sandero, vendues sous le nom de Renault, ainsi que le pick-up Logan, qui portera, lui, la marque Nissan. Ce pick-up, à roues avant motrices et de courte taille (4,30 m), n'est pas bâti pour supporter de lourdes charges, à la différence du MP 300 ou du Palladin, qui sont des 4x4. Mais l'Afrique a besoin d'une gamme pick-up à bas prix. Le groupe Renault, avec deux usines africaines, la gamme Logan et l'unité industrielle de son allié chinois en Angola, a pris un coup d'avance.
                    Renault aura bientôt une autre carte en main : la petite voiture à 2 500 dollars que le constructeur français étudie en Inde et qui sera la réponse à la Tata Nano. De ce véhicule, Renault n'a encore rien dit, hormis le prix. Mais tout laisse à penser qu'il sera proche de la Nano. Soit une quatre-portes de 3,10 m, ronde, plutôt haute (1,60 m), animée par un moteur deux temps de 600 cc développant 35 ch et l'amenant à 100 km/h. Une moto carrossée, avec deux roues supplémentaires ? Oui, sans doute. Donc, pas un véhicule taillé pour courir la brousse, mais l'accès à l'automobile pour une large frange de la population urbaine du continent africain, en particulier du Maghreb.
                    -jeune afrique-

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                    • #25
                      RENAULT : Renault confirme projet d'un site d'assemblage en Algérie

                      PARIS (Dow Jones)--Le constructeur Renault SA a confirmé jeudi qu'il travaillait à un projet de construction d'un site d'assemblage de véhicules en Algérie, qui lui permettrait d'éviter de payer des droits de douanes trop élevés.

                      "Ce n'est qu'un projet. Rien n'a été conclu", a précisé directeur général délégué du groupe, Patrick Pelata, aux journalistes en marge d'une présentation des résultats 2009 de Renault. Les discussions sont toutefois bien avancées, a-t-il ajouté.

                      La construction d'un site d'assemblage n'est pas une solution viable pour la plupart des constructeurs automobiles parce que leurs volumes de ventes en Algérie ne justifient pas un tel investissement.

                      "Mais nous détenons 25% du marché", a rappelé Patrick Pelata.

                      Les véhicules ne seront pas exportés d'Algérie, a-t-il précisé.

                      Selon un récent article de la presse française, Renault compte bâtir un site dans la banlieue d'Alger pour l'assemblage de ses modèles Sandero et Logan.

                      L'article précise que Renault aurait une participation de 49% dans le projet, aux côtés de l'entreprise publique Société nationale des véhicules industriels, et aurait le contrôle opérationnel du site.

                      Renault a vendu 56.000 véhicules en Algérie l'an dernier, dont 39.000 voitures de la marque Renault, et 17.000 Logans et Sanderos produites par sa filiale roumaine Dacia.

                      Dow Jones Newswires
                      11/02/10
                      "Les vérités qu'on aime le moins à apprendre sont celles que l'on a le plus d'intérêt à savoir" (Proverbe Chinois)

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