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Triomphalement et durant trois mandats successifs, depuis 1999, le Président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, a conduit une action gouvernementale hautement féconde en matière de résultats au plan économique et social. Si le second mandat, 2005-2009, a été déterminant dans le redressement global de l´économie, celui qui vient de commencer a de plus grandes ambitions encore.
Des promesses d´avenir après un bilan plus que positif avec ce qu´il comportait comme tendance nette à la consolidation de la stabilité politique, économique et sécuritaire du pays, durant les cinq dernières années, au nom duquel les Algériens, par dizaines de milliers et dans toutes les régions du pays, ont su manifester leur confiance dans l´action de leur Président. Les Algériens savaient que la tâche n´était pas aisée et qu´il fallait un homme de la trempe et de la compétence du Président Bouteflika pour parachever cette gigantesque œuvre de développement national durable, après la réconciliation réussie entre les Algériens. A partir de 2009, le cap est mis sur la relance irréversible de la croissance économique et la création d´emplois en nombre suffisant pour éradiquer définitivement le chômage dans notre pays.
La tâche est plus que difficile, en raison du passif de deux décennies de panne sur tous les plans, sur fond de tragédie nationale dont les séquelles sociales sont encore là, malgré les remarquables et encourageants résultats obtenus dans la lutte contre la pauvreté et pour la satisfaction de la demande sociale, en eau, en logements et en emplois. C´est la lourde tâche à laquelle s´attaque le Président du consensus national pour rétablir l’équilibre de la société et mener à terme les ambitions nationales d´une Algérie prospère et compétitive au plan économique. Plus que jamais, l´Algérie a besoin de maintenir l´effort engagé depuis une décennie.
Nombreux sont les Algériens qui s´énorgueillissent, légitimement, de voir leur pays en si bonne voie alors que tous les indicateurs sont au vert. La sécurité est une réalité de tous les jours et dans tout le pays, la paix aussi, la relance économique, la diplomatie, tout fonctionne harmonieusement. Les citoyens satisfaits du bilan du second mandat ont décidé, il y a un peu, moins d´une année, de renouveler, totalement, leur confiance au cours d´élections présidentielles pluralistes, transparentes et libres, saluées par les observateurs internationaux, l´Occident dans son ensemble, le Monde arabe, l´Asie et l´Afrique. Tout le monde, depuis l´étranger, s´accorde à conclure, qu´en plus de l´effort de développement, l’Algérie a engagé un processus démocratique réel.
Le temps a donné raison à l´Algérie d’avoir choisi la voie la plus difficile mais la plus sûre pour revenir parmi les nations émergentes, stables et ambitieuses. Le meilleur acquis est, sans doute, la bonne gouvernance. C´est d’avoir su choisir les meilleures options, de miser sur la compétence, l´expérience, l´honnêteté et la rigueur dans la conduite des affaires de l´Etat. Qui ose se poser aujourd´hui la question sur l´usage des deniers de l´Etat ? Qui peut en toute sincérité douter de la capacité retrouvée de l´Etat à faire face à toutes les situations même les plus délicates, comme la crise financière et économique actuelles ? Qui peut nier que les citoyens sont progressivement rétablis dans leur droit à la dignité et au respect ? Les phénomènes de hogra et de corruption sont combattus avec méthode et détermination. On ne peut évoquer tous les points qui plaident en faveur de la réalité de la nouvelle Algérie. Celle qui s´impose clairement aux yeux de tout observateur.
EL MOUDJAHID
Des promesses d´avenir après un bilan plus que positif avec ce qu´il comportait comme tendance nette à la consolidation de la stabilité politique, économique et sécuritaire du pays, durant les cinq dernières années, au nom duquel les Algériens, par dizaines de milliers et dans toutes les régions du pays, ont su manifester leur confiance dans l´action de leur Président. Les Algériens savaient que la tâche n´était pas aisée et qu´il fallait un homme de la trempe et de la compétence du Président Bouteflika pour parachever cette gigantesque œuvre de développement national durable, après la réconciliation réussie entre les Algériens. A partir de 2009, le cap est mis sur la relance irréversible de la croissance économique et la création d´emplois en nombre suffisant pour éradiquer définitivement le chômage dans notre pays.
La tâche est plus que difficile, en raison du passif de deux décennies de panne sur tous les plans, sur fond de tragédie nationale dont les séquelles sociales sont encore là, malgré les remarquables et encourageants résultats obtenus dans la lutte contre la pauvreté et pour la satisfaction de la demande sociale, en eau, en logements et en emplois. C´est la lourde tâche à laquelle s´attaque le Président du consensus national pour rétablir l’équilibre de la société et mener à terme les ambitions nationales d´une Algérie prospère et compétitive au plan économique. Plus que jamais, l´Algérie a besoin de maintenir l´effort engagé depuis une décennie.
Nombreux sont les Algériens qui s´énorgueillissent, légitimement, de voir leur pays en si bonne voie alors que tous les indicateurs sont au vert. La sécurité est une réalité de tous les jours et dans tout le pays, la paix aussi, la relance économique, la diplomatie, tout fonctionne harmonieusement. Les citoyens satisfaits du bilan du second mandat ont décidé, il y a un peu, moins d´une année, de renouveler, totalement, leur confiance au cours d´élections présidentielles pluralistes, transparentes et libres, saluées par les observateurs internationaux, l´Occident dans son ensemble, le Monde arabe, l´Asie et l´Afrique. Tout le monde, depuis l´étranger, s´accorde à conclure, qu´en plus de l´effort de développement, l’Algérie a engagé un processus démocratique réel.
Le temps a donné raison à l´Algérie d’avoir choisi la voie la plus difficile mais la plus sûre pour revenir parmi les nations émergentes, stables et ambitieuses. Le meilleur acquis est, sans doute, la bonne gouvernance. C´est d’avoir su choisir les meilleures options, de miser sur la compétence, l´expérience, l´honnêteté et la rigueur dans la conduite des affaires de l´Etat. Qui ose se poser aujourd´hui la question sur l´usage des deniers de l´Etat ? Qui peut en toute sincérité douter de la capacité retrouvée de l´Etat à faire face à toutes les situations même les plus délicates, comme la crise financière et économique actuelles ? Qui peut nier que les citoyens sont progressivement rétablis dans leur droit à la dignité et au respect ? Les phénomènes de hogra et de corruption sont combattus avec méthode et détermination. On ne peut évoquer tous les points qui plaident en faveur de la réalité de la nouvelle Algérie. Celle qui s´impose clairement aux yeux de tout observateur.
EL MOUDJAHID
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