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Les agrumes marocains rencontrent un grand succès en Europe

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  • #16
    snake 78
    Citation:
    Il ne faut pas oublier la datte marocaine appelée Majhoul, réputée pour être la reine des dattes
    Sur quoi te base tu pour affirmer ça ?
    Bien que tout soit une question de goût, la majhoul qui est une variété d'origine locale, est reconnue pour son goût unique. C'est une variété de dattes très grosse.

    Mais bon, comme tu le sais chacun dira que les autres sont meilleures.


    Medjool
    Iranien: Kabkab

    Surnommée le fruit des rois, la Medjool est originaire du Maroc. Elle est moelleuse, épaisse, charnue, sans fibre et un goût extraordinaire naturellement sucré. Mûre, elle prend des couleurs d'un brun fonçé. À cause de sa haute teneur en sucre, on retrouve souvent une fine poudre blanche sur la datte. C'est le sucre qui monte à la surface et c'est normal

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    • #17
      Il est évident que l'Algérie a le potentiel pour occuper une place de choix dans ce secteur. Les conditions climatiques sont les mêmes que pour les autres pays exportateurs d'agrumes.

      Maintenant, il y a la production et la conquête des marchés internationaux, là la situation peut se compliquer car les pays consommateurs (Europe essentiellement) sont déjà bien pourvus avec les acteurs traditionnels (Espagne, Italie, Maroc, Tunisie...).

      Pour les non-européens, ils doivent disposer de relais importants pour faire face aux producteurs européens qui voient d'un mauvais oeil l'arrivée de nouveaux concurrents.

      Le Maroc, avec son nouveau statut vis-à-vis de l'UE, peut espérer bénéficier de conditions encore plus avantageuses.

      C'est là que le combat doit avoir lieu pour faire sa place, négocier des accords avec l'UE (sans négliger de nouveaux marchés).

      Sinon, bonne chance aux agrumes d'Algérie, il y a de la place pour plusieurs.

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      • #18
        Le drame algerien provient en grande partie des politiques qui de par leur incompetence ont ruiné els talents algeriens, des filieres entieres ont ete sacrifiées. Aujourd'hui, apres le desastre, il y a eu prise de conscience, en tentant de rattrapper le retard. Mais si la production connaitra un developpement fulgurant, il faudra ecouler cette marchandise à l'export et pour rattrapper le retar, il faudra du temps et meme beaucoup de temps. Il a fallu plus de 20 ans au Maroc pour pouvoir s'imposer en Europe, grace notamment aux efforts des gouvernements successifs, pour negocier des conventions pour arriver à la place actuelle. Aujourd'hui, il concurrence non plus les productions francaises, mais espagnoles qui jusqu'alors etait des adversaires redoutable en europe, grace au statut avancé de l'UE. Le marché americain est lui aussi visé par les producteurs marocains dans le cadre du libre echange, bien que c'est encore nouveau. L'agriculture marocain à pu se diversifier pour concurrencer des produits parfois propre à un pays comme le melon charentais produit a Agadir en competition avec le celebre melon de cavaillon. Sur Agadir toujours, des entreprises se sont lancé dans la production de fruits et legumes exotique emboitant le pas, aux antilles et israel. Bref, tout ca pour dire, que produire, c'est bien, mais il y a tout un travail derriere que doit faire le gouvernement pour abbattre les obstacle que rencontrent les producteurs.
        "Le patriotisme c'est l'amour des siens. Le nationalisme c'est la haine des autres". Romain Gary

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        • #19

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          • #20
            je ne savais pas que système des code-barres pour la traçabilité des produits existe au Maroc, cela prouve que cette entreprise a poussé la logistique à un niveau très avancé....

            Ayoub7 est ce que je pourrais avoir le lien de la vidéo...?

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            • #21
              merci pour la video ayoub. trés intéressant!

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              • #22
                Les agrumes marocains jusqu'en Russie

                Les agrumes marocains jusqu'en Russie
                09/03/2010
                Par Jeune Afrique

                L’orange et la clémentine marocaines sont depuis les années 1980 les stars des étalages européens. Ce succès est le fruit d’une politique d’exportation ancienne, jadis menée par l’Office public pour la commercialisation des exportations (OCE). Depuis la libéralisation, en 1987, le secteur privé s’organise. Jusqu’en 1998, les grands du secteur, Geda, Delassus ou GPA, avaient tissé des liens privilégiés avec leurs marchés traditionnels français et espagnol, mais peinaient à exporter en Europe de l’Est, en Scandinavie et en Amérique, des zones où les volumes sont faibles, les importateurs moins nombreux et les réglementations exigeantes.

                Les producteurs marocains de fruits et légumes ont donc combiné leurs forces au sein de deux groupements, Fresh Fruit et Maroc Fruit Board, créés en 1998 et 2000. Soutenus par le Centre marocain de promotion des exportations, les efforts commerciaux ont permis d’améliorer la notoriété des agrumes marocains en Russie, au Canada et en Pologne. La Russie compte aujourd’hui pour 44 % des exportations d’agrumes marocains (premier client devant l’Union européenne) et le Canada 11 %, avec des volumes en hausse de plus de 30 % depuis deux ans. En 2009, Maroc Fruit Board a exporté 200 000 tonnes d’agrumes et Fresh Fruit 95 000 tonnes.

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                • #23
                  Envoyé par rachid75
                  Bientot ça sera l'orange d'Algerie qui envahira le marché européen, certains arboriculteurs importent des arbustes d'oranger de Californie, alors attachez vos ceintures
                  Pour le moment l’Algérie va importer du citron.
                  Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

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                  • #24
                    Présenté en grande pompe en avril 2008, le plan Maroc Vert veut faire de l’agriculture marocaine un moteur de croissance, créer des emplois et lutter contre la pauvreté en milieu rural. Grâce à un investissement de 150 milliards de DH (13,4 millions d’euros), les autorités entendent poser les jalons, d’ici à 2020, d’une agriculture moderne et à forte valeur ajoutée. Mais le plan est loin de faire l’unanimité. On lui reproche notamment de contourner la question foncière, qui est pourtant au cœur du problème. Au Maroc, 70 % des exploitations font moins de 5 hectares, et le morcellement rend difficile, voire impossible, le passage à une agriculture intensive plus productive.

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                    • #25
                      Un plan vert pour réorganiser l’agriculture
                      Les fortes pluies hivernales ont aussi permis de réaliser une récolte exceptionnelle, rappelant à quel point l’agriculture marocaine est dépendante des aléas climatiques. Malgré les nombreuses politiques menées depuis l’indépendance, le secteur cumule les déficits. En 2004, le produit agricole par tête était de 674 dirhams (DH, 60,16 euros), soit tout juste 2 DH de plus que le niveau de 1960. Plus grave : la dépendance alimentaire du royaume n’a jamais été aussi forte. On importe 95 % de l’huile d’arachide et près de 50 % des besoins en blé. L’activité agricole permet de moins en moins aux paysans de gagner leur vie, et certains villages ne survivent que grâce aux transferts d’argent des émigrés.

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