Avec 1.36 milliards USD
L’Algérie 7ème importateur mondial du blé
La baisse des prix des grains, notamment ceux du blé dans les marchés internationaux permettra à l’Algérie de réduire sa facture d’importation de ce produit, qui a passé de 3.19 milliards en 2008, jusqu’à 1,83 milliards de dollars en 2009, enregistrant ainsi une baisse estimée à 136 milliards de dollars.
Selon les chiffres avancés par le centre d’Information et des Statistiques des services des Douanes algériennes, une baisse de la facture de l’importation a notamment été enregistrée, l’année passée par rapport à 2008. Les spécialistes ont expliqué cette baisse d’importation par l’augmentation de la production nationale, l’an dernier, en grains, qui a battu les records par 6.2 millions de tonnes, dont 3.56 millions de tonnes de blé.
En dépit de la baisse de la facture de l’importation nationale en blé, l’Algérie reste, toutefois, le pays qui importe le plus ce produit. Elle a été classée en quatrième position dans la liste des pays importateurs de ce produit essentiel.
La France est le premier fournisseur de ce produit à l’Algérie, que ce soit le blé dur ou tendre. Selon les statistiques des Douanes, une enveloppe estimée à 879 millions de dollars a été allouée à l’importation de 3.24 millions de tonnes de blé tendre. Pour ce qui est du blé dur, la France a été classé le deuxième fournisseur de l’Algérie, qui a dépensé l’équivalent de 255 millions de dollars pour importer plus de 477 mille tonnes de blé dur.
Les autres quantités de blé dur ou tendre ont été importées de différents pays, notamment des Etats-Unis, d’Italie, de Pologne, d’Allemagne, de Suède, l’Ukraine et de la Russie Fédérale. La baisse des prix du blé dans les marchés internationaux permettra une stabilité des prix des autres produits fabriqués à base de blé. Elle permettra, également, de réduire la pression sur les autorités qui subventionnent directement ces produits.
El Khabar
L’Algérie 7ème importateur mondial du blé
La baisse des prix des grains, notamment ceux du blé dans les marchés internationaux permettra à l’Algérie de réduire sa facture d’importation de ce produit, qui a passé de 3.19 milliards en 2008, jusqu’à 1,83 milliards de dollars en 2009, enregistrant ainsi une baisse estimée à 136 milliards de dollars.
Selon les chiffres avancés par le centre d’Information et des Statistiques des services des Douanes algériennes, une baisse de la facture de l’importation a notamment été enregistrée, l’année passée par rapport à 2008. Les spécialistes ont expliqué cette baisse d’importation par l’augmentation de la production nationale, l’an dernier, en grains, qui a battu les records par 6.2 millions de tonnes, dont 3.56 millions de tonnes de blé.
En dépit de la baisse de la facture de l’importation nationale en blé, l’Algérie reste, toutefois, le pays qui importe le plus ce produit. Elle a été classée en quatrième position dans la liste des pays importateurs de ce produit essentiel.
La France est le premier fournisseur de ce produit à l’Algérie, que ce soit le blé dur ou tendre. Selon les statistiques des Douanes, une enveloppe estimée à 879 millions de dollars a été allouée à l’importation de 3.24 millions de tonnes de blé tendre. Pour ce qui est du blé dur, la France a été classé le deuxième fournisseur de l’Algérie, qui a dépensé l’équivalent de 255 millions de dollars pour importer plus de 477 mille tonnes de blé dur.
Les autres quantités de blé dur ou tendre ont été importées de différents pays, notamment des Etats-Unis, d’Italie, de Pologne, d’Allemagne, de Suède, l’Ukraine et de la Russie Fédérale. La baisse des prix du blé dans les marchés internationaux permettra une stabilité des prix des autres produits fabriqués à base de blé. Elle permettra, également, de réduire la pression sur les autorités qui subventionnent directement ces produits.
El Khabar
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