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    L’Algérie des NTIC est hors-champ
    Par : RABAH LARBI

    Liberte

    Les NTIC sont désormais un outil de travail indissociable du monde de l’entreprise. Les entreprises qui réussissent sont celles qui savent travailler en réseau, produire et utiliser collectivement la connaissance sans cesse renouvelée dont elles ont besoin pour générer de la valeur. Le knowledge management, (la gestion de la connaissance) est aujourd’hui un facteur essentiel de la performance. Les NTIC touchent à toutes les activités de l'entreprise. Elles peuvent incorporer de l'intelligence tout au long de la chaîne de valeur, dans les métiers, dans les processus, dans les projets et ainsi établir la relation avec toutes les catégories de personnes qui gravitent autour de l'entreprise. Clients, collaborateurs, fournisseurs et autres partenaires.

    Cependant, l'utilisation performante des NTIC nécessite l'acquisition de nouvelles compétences. Mais pas seulement au niveau des effectifs des différentes entreprises utilisatrices de ces nouvelles technologies. D’ailleurs les entreprises, pour bon nombre d’entre elles, ont compris toute l’importance de se mettre à niveau en organisant des formations en direction de leur personnel. Cependant, là où le bât blesse, c’est tout ce beau monde, affecté directement à la mise en place de la politique nationale en matière de Nouvelles technologies de l’information et de la communication.

    Dernier de la classe !
    Rien, sinon pas grand-chose n’a été entrepris, ne serait-ce que pour se hisser au niveau de nos voisins du Maghreb. À l’image du Maroc où Internet mobile (3G) dépasse Internet haut débit (ADSL) en termes de parts de marché.

    La Tunisie n’est pas en reste. Elle a été classée 1re en Afrique et 39e à l'échelle mondiale par le 9e rapport global sur la technologie de l'information pour 2009-2010 (GITR). Le secteur des technologies de l'information et de la communication contribue à hauteur de 11% au PIB en Tunisie.
    Quant à l’Algérie, c’est bien loin derrière qu’elle arrive, essoufflée qu’elle est, par un abus de discours stériles qui ne bluffent plus personne. 113e rang à l'échelle mondiale, sur 133 pays. Ce rapport, produit conjointement par le Forum économique mondial (FEM) et l'Institut européen d'administration des affaires (Insead), évalue l'aptitude des pays à maîtriser les technologies de la communication selon trois principaux critères. Le climat politique et économique approprié pour le développement des nouvelles technologies, le degré d'utilisation des nouvelles technologies de l'information et de la communication et le niveau de l'évolution technologique. La Suède est en tête suivie par Singapour et le Danemark, qui a figuré en tête du classement au cours des trois dernières années.

    Parolé... Parolé... Parolé...

    Les critères de ce rapport sont d’ordre technique. Ils sont objectifs et échappent à toutes appréciations approximatives, subjectives, avancées ici et là, lors d’abondantes déclarations creuses et improductives qui ne trompent plus personne. L’Algérien veut du concret ! Régler sa facture sans avoir à se déplacer, se connecter facilement et à tout moment, en somme, obtenir une qualité de service sans reproche. Pourtant, à Algérie Télécom, l’on prétend que depuis plus d’une année, le Groupe redouble d’efforts pour mettre à la disposition de sa clientèle de nouveaux services et produits. Mais les résultats sont loin de refléter la réalité du terrain. Parce que l’homme qui intervient sur le terrain n’est pas celui qui décide.
    Vouloir démocratiser les NTIC, c’est bien beau, mais il faut le faire à la mesure des capacités tangibles de l’entreprise et des moyens humains et matériels dont elle dispose. Encore une fois, l’on remarque le fossé qui existe entre le pouvoir et l’exécution, d’une part et entre l’administration et le technique, d’autre part.

    Quand les ponts sont coupés entre deux pôles et que la passerelle a été sabotée, il ne reste plus aucun moyen de communication possible. Et l’Algérie des NTIC, comme pour tout le reste, elle est plutôt déconnectée !

    Les NTIC, pas du tout Intic !

    “Par suite d'encombrement, votre appel ne peut aboutir...” Le jour où ce message ne viendra plus titiller nos oreilles, après plusieurs tentatives d’appel, l’Algérie aura enfin compris le véritable sens des Nouvelles technologies de l’information et de la communication. Pour l’instant, on est encore hors-champ !

    Non pas qu’Algérie Télécom ne tente rien. On est quand même passé de
    400 000 connexions, il y a deux ans à 1 200 000. On parle de 6 000 000 de lignes et de connexions à horizon 2013. Sur le terrain, des aménagements de réseaux et d’installation sont engagés. Au sein de l’entreprise, le ton est à l’esprit de sacrifice et à l’augmentation du volume de travail, mais pour passer à la vitesse supérieure, il faut passer par la multiplication des vitesses de connexion, devant nécessairement passer par un réseau de fibre optique, du moins d’un nouveau câble reliant notre pays à l’Europe.
    Pour l’instant, l’on se contentera d’apprécier toutes les magnifiques innovations à découvrir au Med-it. Une situation à la fois instructive et frustrante !

    En ce qui nous concerne et en attendant d’avoir les moyens technico-économiques de notre politique, faut peut-être s’atteler, avant tout, à améliorer les autres prestations de services, moins coûteuses, mais tellement plus ardues à instaurer : un accueil de qualité au niveau des agences d’AT ! C’est toujours ça de gagné, en rêvant d’une meilleure connexion...

    R. L.

  • #2
    ay alkhamssa

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    • #3
      En ce qui nous concerne et en attendant d’avoir les moyens technico-économiques de notre politique, faut peut-être s’atteler, avant tout, à améliorer les autres prestations de services, moins coûteuses, mais tellement plus ardues à instaurer : un accueil de qualité au niveau des agences d’AT ! C’est toujours ça de gagné, en rêvant d’une meilleure connexion...
      d un œil critique ! ..

      critique constructive
      A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

      Commentaire


      • #4
        le Groupe(AT) redouble d’efforts pour mettre à la disposition de sa clientèle de nouveaux services et produits.

        c'est vrai; bientôt ils vont proposer le minitel

        Non pas qu’Algérie Télécom ne tente rien. On est quand même passé de
        400 000 connexions, il y a deux ans à 1 200 000. On parle de 6 000 000 de lignes et de connexions à horizon 2013. Sur le terrain, des aménagements de réseaux et d’installation sont engagés. Au sein de l’entreprise, le ton est à l’esprit de sacrifice et à l’augmentation du volume de travail, mais pour passer à la vitesse supérieure,
        par quel miracle les employé de AT vont redoubler d'effort qu'il travaille c'est tout ce qui est demandé ni plus ni moins. cette entreprise est infectée par l'incompétence, la plupart qui travail son les repêchés de l'université algerienne (enfin jsui même pas sur qu'il soit universitaire), leur unique compétence c'est un diplôme dans l'ma3rifa.

        il faut passer par la multiplication des vitesses de connexion, devant nécessairement passer par un réseau de fibre optique, du moins d’un nouveau câble reliant notre pays à l’Europe.
        faux l'Algérie est connecté par trois câbles,:
        • ALPAL-2
        • MED Cable
        • SEA-ME-WE 4 ( ce dernier à lui seul permet d'acheminer le trafic de l'asie vers l'europe alors qu'on cesse de pretendre que c'est pas suffisant )
        ce qui manque c'est une boucle local performante.

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        • #5
          Quant à l’Algérie, c’est bien loin derrière qu’elle arrive, essoufflée qu’elle est, par un abus de discours stériles qui ne bluffent plus personne
          c'est bien ça notre malheur!! parolé.. parolé.. parolé
          toujours à la traine sauf dans les ressources naturelles, cela ne ferait-il pas de nous des bouffons aux yeux des autres ? :22:

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          • #6
            Kimoce veut se développer en Algérie

            Kimoce veut se développer en Algérie


            N° 1 français des solutions logicielles de gestion des services clients (SAV, centre d'appel, help desk) et de gestion de patrimoine (immobilier, mobilier, équipement, maintenance …), Kimoce s'est fixé comme objectif d'accélérer son développement panafricain, en le centrant prioritairement sur le Maghreb. Fort d'une centaine de références sur ce continent, en particulier en Afrique de l'Ouest, et d'une nouvelle gamme de logiciels totalement révolutionnaire, Kimoce souhaite aujourd'hui se constituer un réseau de partenaires certifiés en Algérie déployer et de maintenir ses progiciels de gestion des services clients internes, externes et du patrimoine dans des entreprises privées et publiques algériennes.

            Patrick HETT, dirigeant-fondateur de Kimoce, estime que l'Algérie est un " pays à fort potentiel économique et partenaire privilégié de l'Europe et de la France.

            L'Algérie a la vocation de devenir un des leaders dans cette zone, surtout dans le domaine des nouvelles technologiques de la communication et de l'information. Ils nous apparaît naturel d'accroître notre présence sur ce marché, où des investissements importants sont prévus, et de nous impliquer dans les nouveaux enjeux économiques des entreprises privées et publiques algériennes". Kimoce qui participé récemment au Med-IT a lancé officiellement sa gamme V5 en Algérie qui se décline en six solutions phares : Kimoce achats généraux - gestion des achats et des stocks, Kimoce Asset Management - gestion des actifs des biens et des équipements , Kimoce infrastructure management - gestion de la GMAO des infrastructures immobilières et des surfaces. Kimoce service Desk - gestion des services internes, Kimoce Customer services - gestion d'un SAV et Kimoce PGI service - progiciel de gestion intégré des activités de services. Kimoce Vf, c'est un condesné des technologies les plus avancées au service d'une fiabilité accrue. Kimoce Vf garantit aux utilisateurs une grande fluidité dans la navigation de l'application, d'un module à un autre à partir d'un point unique, via des liens hypertextes.

            C'est la première gamme logicielle à intégrer des widgets dédiés au " métier " des services généraux, des gestionnaires de parc, du SAV … de plus, Kimoce V5 comprend une panoplie d'innovations majeures comme l'indexation des recherches K-desktop pour trouver rapidement un produit, fournisseur, demande de servcie, grâce à une recherche type Google, un nouveau workflow de validation de signatures, des fonctionnalités de réservation budgétaires et d'achats, une fonction drag & drop d'images et de documents associés, un planificateur de tâches avec alertes et notifications aux utilisateurs … tous ces plus technologiques assurent aux entreprises privées ou publiques de réduire les coûts liés à l'exploitation, d'accroître la productivité des collaborateurs, de parfaire le suivi, la gestion et la réservation des budgets. Conçu pour se fondre dans l'environnement de travail et répondre aux besoins " métier " des utilisateurs, Kimoce V5 intègre des icônes intuitives, des barres de raccourcis, des couleurs personnalisables selon la charte graphique de l'entreprise privée ou publique.

            Il en va de même pour les écrans d'affichage qui peuvent être personnalistés ; les champs s'affichent selon le profil et les droits des utilisateurs. De plus, KIMOCE V5 peut intégrer des widgets propres à l'application ou exportés vers un compte iGoogle, dès l'écran d'accueil, en fonction de l'activité de l'entreprise. En vue de répondre aux besoins des entreprises privées ou publiques qui doivent en permanence arbitrer et prendre la bonne décision, Kimoce V5 permet aussi de réaliser facilement des tableaux de bords dans tous les domaines.

            A la pointe d'une nouvelle façon de voir et d'utiliser une solution logicielle, Kimoce V5 évolue constamment en moyenne tous les six mois, par l'ajout régulier de plugins, ce qui lui assure une stabilité " sans faille ". Plus de 100 entreprises du continent africain plébiscitent déjà les solutions Kimoce parmi lesquelles Orange côte d'Ivoire, commercial Bank of Cameroun PC Market, Munisys, total Angola, Total Congo, sociétés d'eau et d'électrcité du Gabon, Cocitam…
            Créée en 1991, Kimoce se positionne comme un spécialiste incontesté des solutions logicielles de gestion des services, de la gestion des infrastructures au service client interne et externe. Au coeur des enjeux des directeurs et responsables des moyens et achats généraux, du SAV, de la maintenance et des gestionnaires de parcs, les solutions Kimoce, condensés des meilleurs technologies et pratiques, oeuvrent à accroître la productivité des collaborateurs, accroître la qualité des services et réduire les coûts d'exploitation.

            Afin de relever tous les défis des entreprises publiques ou privées, les logiciels de la gamme Kimoce conjuguent expertise métier, fiabilité technologique, ergonomie et retour sur investissement rapide. Plus de 1000 clients et 50 000 utilisateurs dans le monde plébiscitent quotidiennement les solutions Kimoce.

            Klilya B.

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            • #7
              L'algerien a un probleme avec les NTIC.

              Quand il envoit un FAX ou meme un SMS, il appele juste apres pour avoir la confirmation que le destinataire a bien recu.
              D'ailleurs il ne croit meme pas a la calculette et encore moins a la compteuse de billets.
              Je pense que c'est trop lui demander que de gerer tous les aspects de sa vie par un ordinateur.

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              • #8
                C’est une réalité, les NTIC en Algérie sont à la traine. Depuis 2000, l’ouverture du secteur de la téléphonie mobile a boosté un peu le secteur mais il y a eu stagnation après. Pas de 3G, pas de nouveaux services télécoms. Nous sommes aussi en retard dans l’Internet haut débit (ADSL) avec le monopole d’Algérie Télécoms. Le débit offert aux particuliers est très faible par rapport à nos voisins. Le secteur des banques est lui aussi très en retard dans l’e-banking. Le programme de mise à niveau e-Algérie 2013 n’a pas encore encore démarré.
                Dernière modification par shadok, 25 mai 2010, 02h34.
                Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

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                • #9
                  pour une fois quun ministre du sud est nommé...tout le monde lui tombe dessus !!!

                  comme si avant lui tout etait deja realisé...



                  vivement quil fasse rendre gorge a sawiris, sa tete de turc !!

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                  • #10
                    Je pense que c'est trop lui demander que de gerer tous les aspects de sa vie par un ordinateur.
                    Oui!!!
                    Tu me rappelles, une fois, le directeur de notre établissement m'a demandé de lui réaliser sur Excel un modèle de bon de commande (il avait vu ça quelque part et ça l'a épaté... Des calculs qui se font tout seuls)
                    Le lendemain, il utilise le modèle et il vérifie les résultats avec une .... calculette!...
                    "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

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                    • #11
                      un depart en retraite anticipée lui ferait le plus grand bien, a lui et a ses eleves...

                      place aux jeunes !!!

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