Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Algérie: adoption d'un plan d'investissements publics de 286 mds USD

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • #16
    tout cela est fait pour le peuple algerien
    cest lui qui vote aux elections
    je prends le pari que sil voulait se representer pour un 3eme mandat il gagnerait a nouveau haut la main
    le bilan depuis 1999 est impressionnant...et la suite arrive
    Chavez, t'es serieux?

    (tu veux dire un 4eme mandat...)

    Commentaire


    • #17
      @hugochavez59
      tu veux dire un 4ème mandat... :22:

      ----------------------------------
      Tous ça est bon, mais normalement avant de lancer un nouveau plan, on doit faire un bilan d'abord!!!
      Donc, je repose une question qui a déjà été posée dans un autre topic, c'est quoi le bilan de plan quiquénal précédent?
      "Le fascisme, c'est ferme ta gueule, la démocratie, cause toujours !"

      Commentaire


      • #18
        Envoyé par ayoub7
        Tant que dans la realite, les algeriens vivront en marge.
        Il faut que tu te soucie de l’IDH dans ton pays qui stagne et les disparités qui existent entre zones urbaines et rurales. Ce nouveau plan quinquennal est un plan Marchal pour le développement humain en Algérie (Education, Logement, Santé, Eau, Transports, Sport …). Il touchera l’ensemble des régions d’Algérie et des citoyens.
        "Les vérités qu'on aime le moins à apprendre sont celles que l'on a le plus d'intérêt à savoir" (Proverbe Chinois)

        Commentaire


        • #19
          Je ne voulais pas parler de mon pays, mais vu que tu me tends la perche... en parlant de l'INDH (http://www.indh.gov.ma/fr/index.asp), quel est l'equivalent algerien? Ou sont les chiffres, les etapes de bilan (http://www.rdh50.ma/fr/index.asp), les chiffres a atteindre, le calendrier pour les atteindre, les regions qui sont dans l'urgence, les etudes sectorielles, les reformes sectorielles, etc...

          En gros, Zero vision. Ce gouvernement pense qu'en jetant de l'argent sur les problemes et des secteurs qui ont besoin de reformes profondes, douloureuses, pensees sur le long terme, il va regler les choses.

          Commentaire


          • #20
            vision et de strategie qui sont independantes de le politique ideologique.
            Qu'est ce que tu y vois d'idéologique ?
            Le programme public de développement économique et social pour la période 2010-2014, examiné et adopté par la Conseil des ministres, s'articule autour de six axes fondamentaux portant sur
            • le développement humain,
            • le développement des infrastructures de base,
            • l'amélioration du service public,
            • le développement économique,
            • la lutte contre le chômage,
            • la recherche scientifique et les nouvelles technologies de la communication.

            Commentaire


            • #21
              Qu'est ce que tu y vois d'idéologique ?
              Des titres et des voeux de bonnes intentions supposés calmer le ras le bol d'un peuple qui bouillone. Aucunes consulations, etudes, bilans, identification de besoins, Des chiffres arrondis au pif a la dizaine la plus proche, etc...

              Ce qui m'epate, c'est que normalement, avant que Boutef ne sollicite de sortir la cagnotte de l'entreprise Algerie pour la miser comme s'il jouait au monopoly, la moindre des choses est d'inclure les partenaires interesses durant des mois pour faire un bilan, parler des solutions eventuelles, voir ce qui se fait ailleurs, etc... Dans chaque domaine... Avant de sortir le chequier et d'inscrire un montant dessus.

              Ce que fait Karim Tabbou par exemple est la voie a suivre : rassembler les acteurs interesses, lancer un debat sur ce qui ne va pas, comment s'en sortir, etc...

              et pour finir, ce que je trouve tres louche, c'est que Boutef decide de faire ca en fin de regne, apres des scandales financiers aux sommes astronomiques.

              La meilleure chose qui puisse arriver aux algeriens est que dans un moment d'incertitude (succession de Boutef), ils gardent leur cagnotte au frais, le temps de voir comment les choses vont evoluer.

              voila par ou il faut commencer: http://algerie-dz.com/forums/showthread.php?t=169887

              Commentaire


              • #22
                Il va peut-être neiger ce soir...
                Je suis d'accord avec Ayoub. On ne dépense pas 286 milliards comme ça...
                Dernière modification par Bachi, 24 mai 2010, 22h53.

                Commentaire


                • #23
                  Surinvestissement et gaspillage de capital

                  Il a été dit que ce mandat serait celui de la relance économique. On constate par ce nouveau plan quinquennal, la poursuite de la politique d'investissements massifs par la dépense publique. Il n y a aucune stratégie pour la réduction de la dépendance du pays vis-à-vis des hydrocarbures. Cette hausse des dépenses publiques ne profite que marginalement à l’entreprise algérienne et par voie de conséquence à la croissance économique.

                  La continuité dans l’incompétence et la gestion rentière du pays sans débat, ni bilan. La corruption sera multipliée par deux avec ce nouveau plan.
                  Dernière modification par shadok, 24 mai 2010, 22h55.
                  Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

                  Commentaire


                  • #24
                    les entrepreneurs algeriens sont bien assez choyés comme cela

                    il font des profits enormes (cevital et consorts)

                    maintenant au tour du citoyen de profiter des investissements publics

                    Commentaire


                    • #25
                      Des titres et des voeux de bonnes intentions supposés calmer le ras le bol d'un peuple qui bouillone.
                      ça c'est un discours quelque peu idéologique et énormément propagandiste. A mentionner et zapper !
                      Aucunes consulations, etudes, bilans, identification de besoins, Des chiffres arrondis au pif a la dizaine la plus proche, etc...
                      ça c'est dans le domaine de l'ignorance.


                      Quelques exemples :
                      La pauvreté : Une étude détaillé sur la pauvreté en algérie a été faite sans complaisance en identifiant wilaya par wilaya et même au niveau des communes de chaque wilaya les zones vulnérables, pauvres ou deshéritées.

                      http://www.dz.undp.org/pauvrete/Carte_pauvrete.pdf

                      Le développement economique economique et social :
                      Le CNES (entre autres organismes) en dehors de son rapport annuel, publie des raports et synthèse sur des thématiques divers. Le CNES est tellement une bonne idée que le Maroc pense se doter d'une structure analogue.

                      Un rapport conçu en collaboration avec le PNUD : http://www.dz.undp.org/publications/.../RNDH_2006.pdf


                      La recherche scientifique :
                      Chantier pharaonique qui se met en place. Tous les détails ici : http://www.dgrsdt-dz.org/index1.php

                      Commentaire


                      • #26
                        Extrait du débat à la radio algérienne chaîne III ; thème – les perspectives économiques e l’Algérie 2010/2013- 05 janvier 2010 de 18h15 à 19h -Entre HAMIANI Président du Forum des Chefs des entreprises – BOURAS représentant du Conseil Economique et Social et le Docteur MEBTOUL Expert International – Économiste

                        Question 3- Quelle orientation économique future ?

                        Il s’agit d’aller vers la nouvelle économie et il semble que la présidence de la république a conscience de cette situation afin de favoriser la création d’un nouveau tissu industriel rentant dans le cadre de la substitution d’importation adaptée aux nouvelles réalités mondiales Car pour répéter le président du CNES miser uniquement sur les infrastructures, l’Algérie va droit au mur. C’est que les infrastructures qui ont absorbé plus de 70% des ressources financières entre 2004/2009 ne sont qu’un moyen, la véritable création de richesses devant relever de l’entreprise y compris les services qui ont un caractère de plus en plus marchand. Il s’agit d’éviter le retour au tout État des années 1970 (confondant étatisme que même les pays fondateurs du communisme ont abandonné et Etat régulateur) suicidaires pour le pays par l’injection massive d’argent.

                        Les réserves de change ne sont pas le résultat du travail mais de la rente des hydrocarbures grâce à un cours élevé ces dernières années, rente qui devrait aller vers l’épuisement, 16/18 ans pour le pétrole, 25 ans pour le gaz tenant compte de la consommation intérieure presque équivalente horizon 2016 aux exportations,les 15% des gisements marginaux étant non rentables financièrement. Alors que l’Algérie est indépendante depuis 47 ans sans avoir préparé pour les générations futures l’ère de l’après pétrole c’est à dire une production et exportation hors hydrocarbures. Le résultat début 2010 est là, les exportations en 2009 représentant moins de 1 milliards de dollars sans inclure les déchets ferreux et semi ferreux dont les exportations, ont été interdites pour 2009, somme dérisoire l’Algérie important presque tout et exportant que des hydrocarbures à l’état brut ou semi brut, démontrant une économie totalement rentière.

                        Car les deux fondamentaux du développement du XXIème siècle sont la bonne gouvernance et la valorisation du savoir. Comment peut-on parler d’une économie de la connaissance alors qu’un professeur d’université en fin de carrière perçoit une rémunération en termes de parité de pouvoir d’achat 1/3 de ses collègues marocains et tunisiens qui ont moins de moyen que l’Algérie ? IL faut donc appliquer les directives du président de la république lors de la rentrée universitaire à Sétif qui a l’accent sur la revalorisation du savoir, et la lutte contre la corruption, discours qui a suscité beaucoup d’espoir. De ce fait, toute politique fiable doit insérer la politique salariale presque inexistante en Algérie se limitant à des transferts de rente, dans le cadre d’une vision globale revalorisant le travail et l’intelligence comme montré dans le dernier rapport du conseil économique et social.
                        Dernière modification par shadok, 24 mai 2010, 23h19.
                        Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

                        Commentaire


                        • #27
                          sonatrach est une entreprise nationale, exlpoitant les ressources nationales, avec des competences nationales

                          la rente cest encore autre chose...

                          ces experts...qui veulent que lon suive les desastres islandais, argentins, grecs...

                          Commentaire


                          • #28
                            Allo Jawzia
                            Aucunes consulations, etudes, bilans, identification de besoins, Des chiffres arrondis au pif a la dizaine la plus proche, etc...

                            ça c'est dans le domaine de l'ignorance.
                            Le parlement a-t-il été consulté ?
                            Les patrons ? Les syndicats ? Les élus municipaux ? Les associations civiles ?
                            Qui a été consulté ?

                            Commentaire


                            • #29
                              consultation du CNES, du parlement, du senat, de lUGTA...

                              je trouve cela deja tres suffisant

                              a singapour, en malaisie ca discute moins, ca se develloppe plus

                              Mahatir et Lee Kuan Yew netaient pas du genre a discuter...le resultat est la

                              treve de parlotte, place aux actes

                              Commentaire


                              • #30
                                Salut Bachi

                                Juste un exemple : Lorsqu'il s'agit de construire 3000 écoles, quelques 1000 collèges et 850 lycées (essentiellement en milieu rural), c'est que les besoins ont été exprimés bien plus que par les wilaya, c'est les communes qui font remonter leur besoins. Il en va de même pour les bibliothèques communales, les centres de santé ....


                                Penser qu'une trentaine de ministres se sont réunis pour se répartir (à huis clos) les 285 milliards de dollars ... n'est pas sérieux !

                                Commentaire

                                Chargement...
                                X