Michelin, présent en Algérie depuis 2002 à travers la manufacture de Bachdjarrah, est unique producteur de pneumatiques implanté dans le pays. Courant 2010, il fêtera la sortie du millionième pneu de ses chaînes de production.
Le redémarrage de l’usine Michelin en Algérie, opéré en 2002, avait nécessité un investissement de 40 millions d’euros pour la mise à niveau de l’outil de production. Parallèlement, la manufacture a ouvert ses portes à 800 employés, formés à la très complexe manufacture du pneu.
Il aura donc fallu huit ans pour voir le millionième pneu sortir des chaînes, mais le deux-millionième arrivera dans un intervalle plus court, si l’on juge du rythme de production actuel. L’usine qui a une capacité de production de 250.000 Pneus par an fonctionne à un régime inférieur, entre 200.000 et 220.000, un volume optimisé pour répondre à l’équation de l’offre et la demande.
L’année référence aura été 2008, elle a vu les performances de production atteindre un record, tout comme la part des exportations, vers plusieurs pays : Tunisie, Arabie Saoudite, Nigéria, Lybie... Cela aurait pu continuer en 2009, mais la crise mondiale était passée par là.
En cette année 2010, les choses devraient rentrer progressivement dans l’ordre, le rythme de production s’accroît et l’on lorgne à nouveau du coté de l’export. On en saura davantage d’ici la fin de l’année.
L’usine algérienne de Michelin fabrique du pneumatique destiné aux poids-lourds, dans les mêmes conditions de qualité et de sécurité régissant les autres manufactures du groupe dans le monde.
A ce propos, le Directeur Général de Michelin Algérie, M. Igor Zyemit, déclare : « Nous sommes très fiers de contribuer au développement de la production nationale algérienne. Nos pneumatiques fabriqués en Algérie respectent tous les standards de qualité Michelin, et nous exportons d’ailleurs une partie de notre production en Afrique et au Moyen Orient. Tous ces progrès ont été possibles grâce à la mobilisation du personnel, et nous comptons bien continuer sur cette lancée. »
L’autre préoccupation de Michelin en Algérie étant le transfert du savoir-faire technologique aux cadres et techniciens algériens. A ses débuts, l’usine comptait 26 cadres étrangers venus assurer le redémarrage de l’activité. Aujourd’hui, il ne sont plus que quatre (04), le reste de l’effectif étant algérien.
Michelin réaffirme ainsi sa volonté de continuer à progresser en matière de sécurité au travail, de qualité des produits et d’adaptation des pneumatiques aux besoins des automobilistes algériens.
Auto Algérie
Le redémarrage de l’usine Michelin en Algérie, opéré en 2002, avait nécessité un investissement de 40 millions d’euros pour la mise à niveau de l’outil de production. Parallèlement, la manufacture a ouvert ses portes à 800 employés, formés à la très complexe manufacture du pneu.
Il aura donc fallu huit ans pour voir le millionième pneu sortir des chaînes, mais le deux-millionième arrivera dans un intervalle plus court, si l’on juge du rythme de production actuel. L’usine qui a une capacité de production de 250.000 Pneus par an fonctionne à un régime inférieur, entre 200.000 et 220.000, un volume optimisé pour répondre à l’équation de l’offre et la demande.
L’année référence aura été 2008, elle a vu les performances de production atteindre un record, tout comme la part des exportations, vers plusieurs pays : Tunisie, Arabie Saoudite, Nigéria, Lybie... Cela aurait pu continuer en 2009, mais la crise mondiale était passée par là.
En cette année 2010, les choses devraient rentrer progressivement dans l’ordre, le rythme de production s’accroît et l’on lorgne à nouveau du coté de l’export. On en saura davantage d’ici la fin de l’année.
L’usine algérienne de Michelin fabrique du pneumatique destiné aux poids-lourds, dans les mêmes conditions de qualité et de sécurité régissant les autres manufactures du groupe dans le monde.
A ce propos, le Directeur Général de Michelin Algérie, M. Igor Zyemit, déclare : « Nous sommes très fiers de contribuer au développement de la production nationale algérienne. Nos pneumatiques fabriqués en Algérie respectent tous les standards de qualité Michelin, et nous exportons d’ailleurs une partie de notre production en Afrique et au Moyen Orient. Tous ces progrès ont été possibles grâce à la mobilisation du personnel, et nous comptons bien continuer sur cette lancée. »
L’autre préoccupation de Michelin en Algérie étant le transfert du savoir-faire technologique aux cadres et techniciens algériens. A ses débuts, l’usine comptait 26 cadres étrangers venus assurer le redémarrage de l’activité. Aujourd’hui, il ne sont plus que quatre (04), le reste de l’effectif étant algérien.
Michelin réaffirme ainsi sa volonté de continuer à progresser en matière de sécurité au travail, de qualité des produits et d’adaptation des pneumatiques aux besoins des automobilistes algériens.
Auto Algérie
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