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Industrie Automobile en Algérie : Mercedes a Tiaret

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  • #31
    pour vous donner une idée sur l'importance du marchés

    http://translate.google.com/translate?hl=fr&langpair=en|fr&u=http://en.wikipedia.org/wiki/Mercedes-Benz_G-Class
    Dernière modification par kenzy, 16 juillet 2010, 11h48.

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    • #32
      L’émirati Aabar dévoile les détails de ses projets: Des engins Mercedes «made in Alge

      on ne sen lasse pas !

      ===============================

      L’émirati Aabar dévoile les détails de ses projets: Des engins Mercedes «made in Algeria»
      Tiaret a été choisie par le groupe émirati Aabar à qui appartiennent des actions du constructeur allemand Daimler pour la fabrication de véhicules Mercedes destinés au ministère de la Défense nationale. Les détails de ce projet ont été divulgués la fin de la semaine dernière par le président du conseil d’administration d’Aabar, Khadem Koubeissi.

      L’usine devra atteindre une capacité de production annuelle de 10.000 véhicules de type 4×4 à l’horizon 2012 pour un investissement estimé à 172 millions de dollars. Le ministère de la Défense nationale va s’offrir ainsi des voitures allemandes de hautes qualités pour équiper ses troupes. Pour réussir le projet rien n’est laissé au hasard. Les Emiraties vont assurer le financement de ce projet, les constructeurs allemands de renommés (Man Ferrostaal, Deutz MTU, Daimler et Rheinmetall) sont chargés du coté technique et le ministère de la Défense nationale en conjointe collaboration avec la SNVI aura la mission de superviser le déroulement du projet. La fabrication de véhicules militaires ne sera pas réalisée uniquement avec les moyens locaux. En d’autres termes, l’usine de Tiaret sera une unité de montage des véhicules Mercedes, les pièces en particulier les moteurs et les systèmes de suspension seront importées directement de l’Allemagne. L’usine de Tiaret va aussi fabriquer des engins blindés destinés au transport des troupes pour un coût de 200 millions d’euros.
      Sauver la SNVI
      Concernant les deux autres projets de partenariat, il s’agit de la fabrication de tracteurs et d’engins de travaux publics. L’Entreprise nationale des matériels de travaux publics d’Aïn Smara et le complexe moteurs-tracteurs d’Oued Hamimine sont les deux projets concernés par ce partenariat. Ces projets seront un coup de fouet pour l’industrie mécanique nationale qui agonise ces dernières années. La Société nationale des véhicules industriels (SNVI) qui n’arrive pas à faire face à la concurrence acharnée des constructeurs étrangers est maintenue depuis plusieurs années sous perfusion par les pouvoirs publics. Il a fallu d’ailleurs un grand plan de redressement interne et une commande de 22 milliards de dinars pour sauver cette entreprise de la faillite. Fin juin dernier, le ministère de l’Intérieur et des Collectivités locales a passé une commande auprès de la Société nationale des véhicules industriels (SNVI) de 22 milliards de dinars pour l’acquisition de 1.300 minicars de transport scolaire et 2.870 camions industriels. Une petite bouffée d’oxygène pour une société publique qui croule sous des dettes estimées à 60 milliards de dinars. La société nationale enregistre un découvert de 42 milliards de dinars. Les dettes pharamineuses ne sont pas le seul souci de la SNVI, mais d’autres menaces guettent ce fleuron de l’économie nationale et notamment la concurrence acharnée imposée par les concessionnaires qui ont réussit à grignoter, ces dix dernières années, des parts importants du marché local. La part du marché de la SNVI estimée il y a quelques années à 40% a chuté à 15%. La principale cause de cette dégringolade est les délais de livraison trop longs. Pour revenir au protocole d’accord signé entre le gouvernement algérien et le groupe émirati, les trois projets devront couter un investissement de 720 millions de dollars.
      source: lefinancier-dz
      =======================================





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      • #33
        la gamme Sprinter :







        la gamme Unimog :







        le Fuchs 2 :





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        • #34
          Industrie Automobile en Algérie : Mercedes a Tiaret
          et Ferrari à Tougourt.
          le DRS contrôle toute la Galaxie

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          • #35
            A mister H2o, il, y a chez nous un proverbe qui dit << la fortassa dzoukhe bichaîr marte khouha>> la chauve frime avec les cheveux de sa belle soeur.
            pareille pour vous , à chaque fois vous nous sortez Renault Tanger et ses 200000 vehiucles produits chaque, mais qui c'est qui vous construis cette usine ? à qui appartien cette usine? à lA fRANCE bien sûr , :22:
            Faute de grives , nous mangeons des Merles

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            • #36
              ok maintenant que tout ce beau monde est arrivé a la 3eme page, je pense qu'il est temps de vous mettre au parfum : hugochavez nous poste des articles sans date. vous savez pourquoi? Parce que tous les "scoops" qu'il rapporte datent... en fait quand ils ne sont pas annulés, personne n'entend plus parler de ces projets depuis les effets d'annonce.., il faut remercier a l'expertise du gouvernement algerien.

              voila pour l'article original: http://www.tradearabia.com/news/news...D&artid=165599

              Voila pour les articles de "suivi" que notre ami poste, toujours sans date...

              http://www.city-dz.com/l%E2%80%99emi...algeria%C2%BB/

              Hugo, t'as un commentaire mon ami? Tu ne sais pas qu'on est a l'ere Google? Ou tu pensais que pouvais mener en bateau tout le monde? Y compris tes concitoyens?
              Dernière modification par ayoub7, 17 juillet 2010, 00h34.

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              • #37
                personne n'entend plus parler de ces projets depuis les effets d'annonce

                eh ben tu te trompe



                Aabar to Make €4m Investment in Algerian Automotive Joint Venture
                5 March 2010 ABU DHABI — Aabar Investments, one of the investment arms of Abu Dhabi government, has decided to contribute €4 million as initial investment in a joint venture company it will set up with Algerian government to manufacture automotive products in Algeria. Aabar’s stake in the joint venture (JV) company will be 24.5 per cent of its total capital.
                The JV is the first of the three companies that will be set up between the parties, who will also include other groups apart from the Algerian government and Aabar, according to a statement posted by Aabar on the Website of the Abu Dhabi Securities Exchange (ADX).
                Aabar has signed a shareholders’ agreement and articles of association with the Algerian government, and among other parties to create the joint venture company in Algeria, the statement said.
                khaleedj times

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                • #38
                  je prefere, on rentre dans des articles de 2010, on avance

                  Merci d'informer hugo qu'un article de 2010 est dispo avec plus d'infos...

                  T'as un article pareil pour corriger la petite betise qu'il a faite pour le projet d'helico ou il nous poste un article de 2009 sans mentionner de date?
                  Dernière modification par ayoub7, 17 juillet 2010, 00h54.

                  Commentaire


                  • #39
                    LE CONTRAT :

                    aabar



                    AABAR INVESTMENTS PJSC
                    (listed on the Abu Dhabi Securities Exchange)
                    Aabar Investments PJSC
                    P.O. Box: 107888 ‐ Abu Dhabi – UAE Tel (+971 2) 626 4466 Fax (+971 2) 626 8228
                    E‐mail [email protected]www.aabar.com
                    AABAR INVESTMENTS PJSC SIGNS JOINT VENTURE DEAL WITH ALGERIAN
                    GOVERNMENT
                    Abu Dhabi 3 March 2010 - Abu Dhabi’s Aabar Investments PJSC ("Aabar") has signed a
                    shareholders’ agreement and articles of association with the Algerian government (amongst other
                    parties) in relation to the creation of a joint venture company in Algeria that will manufacture
                    automotive products in Algeria. The joint venture company is the first of three companies that
                    will be set up between the parties. Aabar’s stake in the joint venture company is 24.5% of the
                    company’s capital for which Aabar’s initial capital contribution is approximately Euro 4million.
                    His Excellency Khadem Al Qubaisi, Chairman of Aabar, said "we are very excited to be
                    embarking on this project with the Algerian government. We believe that this joint venture, and
                    the two joint ventures to follow, will facilitate the development of other opportunities between the
                    parties as the trust and the relationship between the two governments grows stronger.’’
                    About Aabar
                    Aabar is an investment company headquartered in Abu Dhabi and is listed on the Abu Dhabi
                    Securities Exchange. It directly invests in various sectors including energy, infrastructure, real
                    estate, automotive and financial services companies. Its largest stakeholder is the International
                    Petroleum Investment Company, which in turn is wholly owned by the Government of the
                    Emirate of Abu Dhabi.

                    Mohamed Badawy Al-Husseiny

                    Aabar Investments PJSC
                    Dernière modification par azouz75, 17 juillet 2010, 00h45.
                    .


                    Nul n’est plus désespérément esclave, que ceux faussement convaincus d’être libres"-JWVG

                    Commentaire


                    • #40
                      felictations pour l'armee algerienne

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                      • #41
                        Felicitations surtout pour l'Algerie.

                        Commentaire


                        • #42
                          de tres bonnes nouvelles pour les jeunes de tiaret

                          des emplois industriels surs et durables

                          Commentaire


                          • #43
                            le nouveau nom de Fatia :

                            ==============================

                            Le projet «FATIA» de Tiaret récupéré par le ministère de la Défense

                            Après des années de blocage, le projet de fabrication de véhicules en Algérie est relancé sous une autre formule. En fait, le président de la République, sur le rapport du ministère de la Défense nationale, a signé le 29 juin le décret portant «création de l'établissement de développement de l'industrie de véhicules de Tiaret».
                            En référence aussi aux dispositions du décret présidentiel n° 08-102 du 26 mars 2008, fixant le statut-type des établissements publics à caractère industriel et commercial (EPIC) relevant du secteur économique de l'ANP, il a été ainsi décidé de créer par abréviation l'«EPIC/E.D.I.V».
                            Placé sous la tutelle du ministère de la Défense nationale, le siège social de l'établissement est fixé à Aïn Bouchekif, wilaya de Tiaret. «L'établissement est chargé d'assurer la conception, les études, le développement, la production et la commercialisation de véhicules tout terrain.
                            Il peut entreprendre toute opération pouvant se rattacher à son objet et à son développement et fournir toute prestation de nature à rentabiliser ses potentialités techniques, industrielles et/ou commerciales, sans compromettre les programmes d'activités qui lui sont assignés», stipule le décret.
                            S'agissant du patrimoine d'affectation spécial de l'établissement, le décret précise qu'il est constitué des biens meubles et immeubles constituant l'ex-projet «FATIA», sis à Aïn Bouchekif, transférés au ministère de la Défense nationale ; des biens meubles et immeubles constitués dans le cadre de la direction de projet véhicules légers tout terrain à Aïn Bouchekif ; de la cité des 100 Logements relevant de l'ex-projet «FATIA» et d'une subvention de démarrage.

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                            • #44
                              L’émirati Aabar dévoile les détails de ses projets Des engins Mercedes «made in Algeria»



                              L’usine de Bouchekif de Tiaret a été choisit par le groupe émirati Aabar à qui appartiennent des actions du constructeur allemand Daimler pour la fabrication de véhicules Mercedes destinés au ministère de la Défense nationale.

                              Les détails de ce projet ont été divulgués la fin de la semaine dernière par le président du conseil d’administration d’Aabar, Khadem Koubeissi.
                              L’usine devra atteindre une capacité de production annuelle de 10.000 véhicules de type 4×4 à l’horizon 2012 pour un investissement estimé à 172 millions de dollars.
                              Le ministère de la Défense nationale va s’offrir ainsi des voitures allemandes de hautes qualités pour équiper ses troupes. Pour réussir le projet rien n’est laissé au hasard.
                              Les Emiraties vont assurer le financement de ce projet, les constructeurs allemands de renommés (Man Ferrostaal, Deutz MTU, Daimler et Rheinmetall) sont chargés du coté technique et le ministère de la Défense nationale en conjointe collaboration avec la SNVI aura la mission de superviser le déroulement du projet.
                              La fabrication de véhicules militaires ne sera pas réalisée uniquement avec les moyens locaux. En d’autres termes, l’usine de Tiaret sera une unité de montage des véhicules Mercedes, les pièces en particulier les moteurs et les systèmes de suspension seront importées directement de l’Allemagne. L’usine de Tiaret va aussi fabriquer des engins blindés destinés au transport des troupes pour un coût de 200 millions d’euros.
                              Sauver la SNVI

                              Concernant les deux autres projets de partenariat, il s’agit de la fabrication de tracteurs et d’engins de travaux publics. L’Entreprise nationale des matériels de travaux publics d’Aïn Smara et le complexe moteurs-tracteurs d’Oued Hamimine sont les deux projets concernés par ce partenariat. Ces projets seront un coup de fouet pour l’industrie mécanique nationale qui agonise ces dernières années.
                              La Société nationale des véhicules industriels (SNVI) qui n’arrive pas à faire face à la concurrence acharnée des constructeurs étrangers est maintenue depuis plusieurs années sous perfusion par les pouvoirs publics. Il a fallu d’ailleurs un grand plan de redressement interne et une commande de 22 milliards de dinars pour sauver cette entreprise de la faillite.
                              Fin juin dernier, le ministère de l’Intérieur et des Collectivités locales a passé une commande auprès de la Société nationale des véhicules industriels (SNVI) de 22 milliards de dinars pour l’acquisition de 1.300 minicars de transport scolaire et 2.870 camions industriels.
                              Une petite bouffée d’oxygène pour une société publique qui croule sous des dettes estimées à 60 milliards de dinars. La société nationale enregistre un découvert de 42 milliards de dinars.
                              Les dettes pharamineuses ne sont pas le seul souci de la SNVI, mais d’autres menaces guettent ce fleuron de l’économie nationale et notamment la concurrence acharnée imposée par les concessionnaires qui ont réussit à grignoter, ces dix dernières années, des parts importants du marché local.
                              La part du marché de la SNVI estimée il y a quelques années à 40% a chuté à 15%. La principale cause de cette dégringolade est les délais de livraison trop longs.
                              Pour revenir au protocole d’accord signé entre le gouvernement algérien et le groupe émirati, les trois projets devront couter un investissement de 720 millions de dollars.
                              source: dz-presse

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                              • #45
                                salam,

                                pourquoi vous attendez les emiratis pour vous ramenez un projet de chez mercedes ou autre, votre gouvernement ne peut rien négocier ou quoi?

                                ps: les allemands n'ont pas travaillé pendant plus de 100 ans comme des malades pour venir sois disant vous transferer leurs technologie, faut pas rever,

                                assemblage ni plus ni moins

                                d'ailleurs c'est la meme chose pour le maroc...

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