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Tunisie : objectif 10 millions de touristes par an
jusqu a mnt la station saidia marche tres bien ,j ai lu un pti article que je vais partager avec vous.
Dans leur dernier compte rendu sur la fréquentation hôtelière à Oujda et à Saidia les départements du Ministère du Tourisme et de l'Artisanat ainsi que l'Observatoire du tourisme
précisent que les établissements d’hébergement touristique classés à Oujda-Saïdia ont enregistré une hausse de 64 % au cours du premier semestre 2010 du nombre de nuitées, comparée à la même période de 2009. Une hausse qui est due principalement aux touristes espagnols et italiens qui ont atteint une affluence de (+231 %) (+272 %).
A fin juin de cette année, le taux d’occupation des chambres dans les établissements classés à Oujda-Saïdia a atteint 27 %, enregistrant ainsi 4 points de plus que pendant la même période de l’année dernière, quant au nombre de nuitées durant le mois de juin il est estimé à 94 % par rapport à la même période de 2009, améliorant par la même occasion le taux d’occupation des chambres durant le premier semestre 2010, qui avait atteint 75 % des nuitées totales.
Il ressort aussi de ce compte rendu que le nombre estimé de nuitées réalisées dans les établissements d’hébergement touristique classés a enregistré une hausse de +94% en juin 2010 par rapport au même mois de l’année précédente.
Depuis le début de l’année, les nuitées estimées dans les établissements d’hébergement touristique classés à Oujda et Saidia ont affiché une augmentation de +64% comparativement avec la même période de2009.
Les catégories d’hôtels classés 4* et 5* ont cumulé 75% des nuitées totales enregistrées à Oujda et Saidia au cours du mois de juin 2010.
Le taux d’occupation des chambres en juin 2010 s’est amélioré de +11 points par rapport à la même période de l’année précédente pour atteindre 38%.
Il est à signaler notamment qu’au cours du premier semestre de l’année 2010, Le taux d’occupation des chambres dans lesétablissements d’hébergement touristique classésà Oujda et Saidia a atteint 27% soit un gain de 4points par rapport à fin juin 2009.
La progression des nuitées constatée en juin 2010 (+94%) s’explique particulièrement par les
résultats positifs enregistrés par les touristes non-résidents (+185%).
Concernant le cumul des nuitées sur la période janvier-juin 2010, la hausse enregistrée (+64%) est à mettre également à l'actif des touristes non-résidents (+129%) en particulier les espagnols (+231%) et italiens (+272%).
De son coté l'Office national des aéroports (ONDA) vient de communiquer le nombre de passagers et avions ayant transité par l’aéroport Oujda-angad toujours durant le 1er semestre de cette année. Au fait
Le nombre de passagers a atteint au cours de cette période 184.266, contre 158.830 durant la même période de 2009. Ce qui représente une hausse de 16,01 %. Même progression pour le mouvement des avions qui a réalisé une hausse de 24,16%. Le nombre des avions qui ont atterri à cet aéroport au cours de ce premier semestre s'élève à 2.801. Oujda24
Le ministre tunisien du tourisme, M. Slim Tlatli a indiqué que la part du tourisme dans le produit intérieur brut (PIB) tunisien était de 7% et le que secteur offre 400.000 emplois directs et indirects.
400.000 personnes qui ont un emploi et qui est une bénédiction pour leurs familles, ils ne sombreront pas dans la déchéance et la tentation de la prostitution pour vivre.
Dernière modification par zek, 21 août 2010, 08h05.
“Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin
La Tunisie est une destination « bon marché» qui a plus de chance d’attirer de touristes que le Maroc. Dans le climat actuel de crise, les vacanciers sont plus regardants que jamais sur les prix. Cette année, le deuxième lieu de séjours le plus populaire auprès des touristes britanniques, après les côtes de la Bulgarie sur la mer Noire, sont les plages tunisiennes.
Le tourisme de santé, un créneau à fort potentiel, est plus développé en Tunisie qu’au Maroc.
icosium
............................
Tu devrais regarder ou lire les liens précédents car tu as tout faux
C'est le Maroc qui fait plus de rentrées touristiques tout en étant élitiste dans ses choix .
Pour le tourisme de santé ,n'exageront rien c'est pas la cohue et le Maroc s'y est aussi mis.
400.000 personnes qui ont un emploi et qui est une bénédiction pour leurs familles, ils ne sombreront pas dans la déchéance et la tentation de la prostitution pour vivre.
Zek
Pourquoi ? ils portent des ceintures de chasteté contrairement aux employés marocains?
Toujours cette petitesse engendrée par une jalousie maladive.
Soubhana Allah !!!Matkhadmou ma tkhaliou li yakhdam !!
La Tunisie a raison de viser loin et je pense qu'elle arrivera à remplir son objectif. Le meilleur exemple au niveau du tourisme respectueux des locaux est la Turquie et le pire exemple du tourisme désordonné qui entraîne la débauche et la pédophilie serait pour moi le maroc. C'est mon simple avis.
La Tunisie a raison de viser loin et je pense qu'elle arrivera à remplir son objectif. Le meilleur exemple au niveau du tourisme respectueux des locaux est la Turquie et le pire exemple du tourisme désordonné qui entraîne la débauche et la pédophilie serait pour moi le maroc. C'est mon simple avis.
Quand le chat ne peut pas atteindre la viande...
Mister Moussa, sais-tu que sans le tourisme, l'Algerie est touchee par un fleau de pedophilie sans precedent? C'est pas moi qui le dit c'est ta presse...
moussa lit cet article ,ton algerie n est pas meileurs que les autres pays donc un peu de respect .
Le phénomène de la pédophilie ne cesse de prendre de l’ampleur en Algérie. Si les victimes des violences sexuelles se comptent parmi toutes les catégories d’âge et sans distinction de sexe, il n’en demeure pas moins que les mineurs restent les cibles les plus privilégiées des agresseurs. Attentat à la pudeur, viol, acte indécent, inceste... sont autant de maux qui continuent bel et bien d’exister dans notre société qui, souvent, refuse de regarder en face ces phénomènes. Il ne se passe pas un jour sans que ce genre de violence occupe les manchettes des journaux. Si l’on se fie aux décomptes des différents services de lutte contre ce phénomène, c’est près d’un millier de cas qui a été recensé durant l’année 2008. Mais la réalité est tout autre.
Combien y a-t-il de victimes ? « En réalité beaucoup plus, certainement 3 à 4 fois plus de ce qui est rendu public », commente le président de la Fondation nationale pour la promotion de la santé et le développement de la recherche (Forem), le professeur Khiati. Contacté hier, il estime que « c’est un phénomène qui ne fait que croître parce que les gens en parlent et le signalent de plus en plus ». Sans omettre de préciser que « d’autres cas de violences sexuelles existent à des taux qui restent à préciser ». En tout état de cause, pour ce spécialiste des enquêtes sur la violence à l’égard des enfants, « les parents transgressent les tabous et déclarent ces violences qui étaient auparavant cachées ». Pour lui, « les chiffres donnés aujourd’hui traduisent les plus grandes communications des personnes touchées mais restent en deçà de la réalité ». Pourquoi ? « Difficile de connaître cette réalité, car il s’agit de distinguer la vérité que disent les enfants », selon le Pr Khiati qui nuance : « Pour parler de la violence, il faut qu’il y ait des situations et surtout des déclarations des enfants qui confortent les auteurs. »
Il cite le cas des attouchements où, selon lui, « les déclarations des enfants sont en fonction de leur âge et de leur niveau intellectuel ». Il explique : « Lorsqu’il s’agit d’attouchements, c’est encore plus compliqué. Pour ce cas d’abus, il faut mettre cela entre les mains de personnels très avisés, des juges bien formés, des psychologues, des points d’écoute, des éducateurs et des maîtres d’école », explique-t-il. C’est pourquoi le Pr Khiati pense qu’« une meilleure information dirigée avec tact envers les enfants pourrait nous donner une projection plus réaliste ». Cela étant, l’abus sexuel est souvent découvert suite à une fugue de la victime alors que l’acte se déroule souvent dans une maison cloîtrée, sur un chantier ou dans un endroit isolé. Bien sûr, chez les familles, savoir que son enfant a subi d’atroces sévices est quelque chose d’insupportable. La douleur est profonde. Chez la victime, le viol laisse une empreinte indélébile. S’il est déjà une atteinte physique, le viol est aussi une souillure psychologique qui l’accompagne toute sa vie ; la victime demeure prisonnière de cet acte abject et condamnable tant qu’elle n’aura pas exorcisé son mal. L’inceste reste un tabou
Les abus sexuels intrafamiliaux sont aussi plus fréquents au moment de la puberté, celui le plus souvent rencontré est l’inceste qui conduit à des conséquences encore plus fâcheuses sur le plan psychologique. « L’inceste reste un tabou "jalousement gardé", il n’y a que les adolescentes (ou les adolescents) qui le révèlent quand elles (ils) quittent la maison », selon Pr Khiati. C’est dire que cette forme de criminalité requiert un combat sans merci contre ses auteurs qui, en usant de violence, font aussi preuve de lâcheté et de vilenie pour ne citer que ces deux adjectifs qui sont encore loin de décrire la gravité de l’acte du viol. Pour y faire face, des ONG imaginent souvent des outils pédagogiques de sensibilisation et d’information au profit des enfants. Est-ce suffisant ? « Il est nécessaire de mettre en place des mécanismes de prise en charge immédiatement », estime M. Khiati. Plus explicite, notre interlocuteur invite les pouvoirs publics à « créer des mécanismes de coordination entre les associations qui s’occupent des enfants et les différents organes de protection, la GN, la police et la justice, mais aussi les structures d’accueil ».
Son constat : « D’une façon générale, la prise en charge des enfants victimes de maltraitance est déficitaire et les mécanismes sont très lents à mettre en place. » Il est vrai que les structures d’accueil en font défaut. Beaucoup de victimes demeurent sans prise en charge – psychologique surtout – après avoir été victimes d’abus sexuels. Il n’y a pas d’assistance sociale. Pire que cela, « il n’y a pas de structures en dehors de celles habituelles, police, Gendarmerie nationale et tribunaux pour déposer plainte ». C’est pourquoi d’ailleurs, « même le nombre de plaintes est un chiffre à reconsidérer, car les gens en parlent plus », selon M. Khiati, qui indique que « selon des chiffres des différents organes de lutte depuis début 2000 à aujourd’hui, le nombre de plaintes a été multiplié par 4 ». Peu importe, n’est-il pas temps pour les pouvoirs publics de sortir de leur hibernation et d’entamer un travail d’accompagnement et de sensibilisation pour venir à bout de cette absurdité ? Cela, sans compter que la famille doit elle aussi jouer son rôle.
moussa lit cet article ,ton algerie n est pas meileurs que les autres pays donc un peu de respect .
Le phénomène de la pédophilie ne cesse de prendre de l’ampleur en Algérie. Si les victimes des violences sexuelles se comptent parmi toutes les catégories d’âge et sans distinction de sexe, il n’en demeure pas moins que les mineurs restent les cibles les plus privilégiées des agresseurs. Attentat à la pudeur, viol, acte indécent, inceste...
Mister Moussa, sais-tu que sans le tourisme, l'Algerie est touchee par un fleau de pedophilie sans precedent? C'est pas moi qui le dit c'est ta presse...
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