L’Oriental vit au rythme des échanges illégaux avec l’Algérie

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il parait que les produits algerien que le maroc bloque ont trouve un autre chemin pour penetrer le marcher marocains

Le Maroc ne bloque rien l'ami, si vous avez quelque chose à exporter faite le, si vous trouvez des clients mer7ba, le hic ce sont les subventions algériennes à presque tout,

tu enlèves les subventions à l'export plus la douane et vos produit ne sont plus compétitifs....c'est pour ca que le seul moyen reste la contre bande et c'est tant mieux pour les frontaliers....

[Medgasen]

overlook, je parle plus precis des tapis. j ai lu dans une article comment le maroc bloque ce produit algerien et la sa se vend au maroc .
pour le droit de douane et blabla ce n est pas une raison pour le bloquer, laisse le entrer apres si revient cher c est le probleme des autres pas du maroc.

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overlook, je parle plus precis des tapis. j ai lu dans une article comment le maroc bloque ce produit algerien et la sa se vend au maroc .
pour le droit de douane et blabla ce n est pas une raison pour le bloquer, laisse le entrer apres si revient cher c est le probleme des autres pas du maroc.

quel tapis encore, tapis de quelle région? quel genre de tapis?


quel blocage ? ou ? depuis quand?

y a personne qui bloque ? y a que ta tête qui bloque sur ça.

[kenzy]

Grande zone arabe de libre-échange : L’Algérie devient le réceptacle des produits arabes
La même mésaventure est arrivée à un fabricant de tapis qui avait conclu un marché avec un partenaire pour exporter, cette fois-ci, vers le royaume chérifien. Son partenaire marocain devait, cependant, avoir une demande d’autorisation d’importation pour bénéficier d’exonérations de droits de douane. Ce sésame, qui devait lui ouvrir les portes du marché marocain, ne lui sera jamais accordé. Des industriels locaux, craignant la concurrence, ont exercé des pressions sur le gouvernement marocain afin que les tapis algériens ne soient pas exonérés des tarifs douaniers. L’entreprise algérienne a perdu ce marché à cause de ce document. Un autre opérateur voulait exporter des dattes vers ce même pays. Il s’est vu refuser l’accès au marché marocain.

Source : EL WATAN

Article original publié le 6/12/2009

quand on ne sais rien il est inutile de faire le malin

pourquoi toujours mélanger business et politique

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quand on ne sais rien il est inutile de faire le malin

pourquoi toujours mélanger business et politique

tiens et ne fait pas le singe la prochaine fois...

Zale: l’Algérie réduit l’importation des produits arabes

La “liste négative” des produits exclus des avantages accordés dans le cadre de la Zone arabe de libre-échange a été revue à la hausse, le 15 janvier dernier, pour atteindre 1 511 produits, selon les services des douanes

Trois cent soixante-dix nouveaux produits ont été ajoutés à la première liste de 1 141 produits, appliquée par l’Algérie depuis le début de l’année en cours sur un total de près de 6 000 produits enregistrés dans la nomenclature du tarif douanier algérien. Les services des douanes ont précisé que la révision de la liste négative, fait suite aux réclamations des opérateurs économiques, auprès du ministère du Commerce, de l’administration des douanes et de la Chambre algérienne du commerce et de l’industrie (Caci).

“Cette liste négative, établie par la Caci en collaboration avec les opérateurs économiques et avalisée par le Premier ministre, comprend plusieurs catégories de produits que l’Algérie veut interdire à l’importation de cette zone pour une durée de trois à quatre années”, rapporte l’APS, pour protéger des filières de production menacées par les importations de ces produits. Il s’agit entre autres des produits de l’industrie agroalimentaire, des produits agricoles, le textile, papier et carton et l’électroménager.

L’Algérie n’est pas le premier pays à prendre ce type de mesures. Des mesures similaires ont été prises par d’autres pays membres de la Zale, et de nombreux pays arabes avaient bénéficié d’une liste de produits interdits à l’importation dans le but de protéger leur production nationale. Il s’agit notamment du Maroc (804 produits), de l’Égypte (709), de la Syrie (255), de la Tunisie (161), du Liban (41) et la Jordanie (35).

Les importations de l’Algérie réalisées dans le cadre de la Zone arabe de libre-échange (Zale) ont connu une hausse de 46,6% en 2009, par contre ses exportations ont chuté de près de 50%, avaient indiqué récemment les Douanes algériennes. Les avantages douaniers qu’offre cet engagement international de l’Algérie sont à l’origine de l’augmentation du montant des importations. En effet, la valeur des produits bénéficiant des avantages douaniers de la Zale, a augmenté de 49,9%, passant de 1,05 milliard de dollars à 1,58 milliard de dollars en 2009.

En revanche, les importations de produits non concernés par les avantages préférentiels accordés aux marchandises en provenance de cette région, ont dégringolé de 41,7%, pour passer de 39,3 millions de dollars en 2008 à seulement 22,9 millions en 2009. Parallèlement, les exportations algériennes vers les pays de la Zale ont connu une chute importante passant de 246,7 millions de dollars à 124,7 millions de dollars, soit une baisse de 49,44%. Incontestablement l’Algérie a perdu au change. Et le temps a fini par donner raison aux opérateurs économiques, notamment le Forum des chefs d’entreprise (FCE) qui avait critiqué, à l’époque, l’empressement du gouvernement algérien à vouloir adhérer à la grande zone de libre-échange arabe.

Il faut dire que les craintes qu’expriment les chefs d’entreprise quant à un surcroît d’ouverture de l’économie algérienne sont fondamentalement liées au contexte de notre économie, à tous les dysfonctionnements, aux distorsions, aux dérèglements qui caractérisent le marché. Les opérateurs économiques avaient exprimé leur crainte de voir des produits des pays arabes importés de Chine ou d’Inde réexportés sur le marché algérien avec de faux certificats d’origine.

Sur ce point, aussi le temps leur a donné raison. Le directeur du contentieux à la direction générale des douanes, M. Mokhtar Bourmad avait indiqué récemment que près de 60% des marchandises qui transitent par la Zale ne comportent pas de mention du pays d’origine lors du dédouanement. L’Algérie avait proposé que la délivrance du certificat d’origine du produit exporté vers les pays de la Zale soit effectuée au niveau de la même instance dans tous les pays arabes contrairement à ce qui se fait actuellement où le document est délivré dans certains pays par le ministère du Commerce, dans d’autres par les Chambres de commerce et d’industrie.

source: Liberte

[kenzy]

l’Algérie réduit l’importation des produits arabes:15 janvier

en réaction a ça :

Grande zone arabe de libre-échange : L’Algérie devient le réceptacle des produits arabes : 6/12

la chronologie !! tu n'en n'a jamais entendu parler

et je termine par: tiens et ne fait pas le singe la prochaine fois...non un singe est plus intelligent je dirais plutot :ne fait pas l'âne

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La “liste négative” des produits exclus des avantages accordés dans le cadre de la Zone arabe de libre-échange a été revue à la hausse, le 15 janvier dernier, pour atteindre 1 511 produits, selon les services des douanes

je t'ai dit de pas faire le singe mais tu continue....alors essayes tout comprendre et reviens discuter comme un bnadem....

[kenzy]

c'est pas la peine de faire du hors sujet

mon message était une réponse a:

quel tapis encore, tapis de quelle région? quel genre de tapis?


quel blocage ? ou ? depuis quand?

y a personne qui bloque ? y a que ta tête qui bloque sur ça.

et ma réponse était:

Citation:
Grande zone arabe de libre-échange : L’Algérie devient le réceptacle des produits arabes
La même mésaventure est arrivée à un fabricant de tapis qui avait conclu un marché avec un partenaire pour exporter, cette fois-ci, vers le royaume chérifien. Son partenaire marocain devait, cependant, avoir une demande d’autorisation d’importation pour bénéficier d’exonérations de droits de douane. Ce sésame, qui devait lui ouvrir les portes du marché marocain, ne lui sera jamais accordé. Des industriels locaux, craignant la concurrence, ont exercé des pressions sur le gouvernement marocain afin que les tapis algériens ne soient pas exonérés des tarifs douaniers. L’entreprise algérienne a perdu ce marché à cause de ce document. Un autre opérateur voulait exporter des dattes vers ce même pays. Il s’est vu refuser l’accès au marché marocain.

Source : EL WATAN

Article original publié le 6/12/2009

suis un peut le raisonnement

suite et fin de la discution , tu t'es assez ridiculisé pour aujourd'hui laisse en un peut pour demain . . .

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avoir une demande d’autorisation d’importation pour bénéficier d’exonérations de droits de douane

je vais te ridiculiser parce que tu ne sais pas lire et tu fais tjr ton singe exité....

le blocage dont tu parles est du au fait que ton producteur veut bénéficier d'une exonération de droits de douane, alors, s'il pense être compétitif en payant ses droits de douane mer7ba sinon pas la peine de pleurnicher, ton pays bloque plus de 1000 produits.

tu te sens mieux mtn?

[kenzy]

renseigne toi sur les lois de ton pays avant de faire le fière

Vl.02.10.01 . Base conventionnelle
Une convention commerciale et tarifaire a été signée, à Alger le 14 Mars
1989, entre le Maroc et l'Algérie. Cette convention est valable pour un an et
renouvelable par tacite reconduction, sauf dénonciation par écrit formulée par l'une ou
l'autre des parties contractantes, avec un préavis de 90 jours avant l'expiration de la
période annuelle en cours de validité.
Vl.02.10.02 . Régime tarifaire préférentiel institué
En application des dispositions de l'article 3 de la convention, sont exonérés
des droits d'importation et des taxes d'effet équivalent, à l'exception de ceux acquittés
par les produits locaux, les produits échangés dont l'origine et la provenance sont le
territoire douanier des deux parties contractantes.
Les montants des droits d'importation et des taxes d'effet équivalent
exonérés ne sont pas pris en considération dans l’assiette servant au calcul de la taxe
sur la valeur ajoutée (TVA ).
Vl.02.10.03 . Règles de l'origine
Sont considérés comme produits originaires au sens de l'article 4 de la
convention :
- Les produits naturels entièrement obtenus dans le pays d'exportation, y
compris les produits du règne végétal et animal, les animaux vivants ainsi que les
richesses naturelles qui n'ont reçu aucune transformation industrielle ;
- Les produits industriels fabriqués dans l'un des deux pays et qui comportent
des produits non originaires du Maroc ou d'Algérie, à condition que ces produits aient
subi une ouvraison ou une transformation leur permettant d'avoir une valeur ajoutée de
40% au moins du prix de revient (F.O.B) hors taxe.
Vl.02.10.04. Justification de l'origine
Conformément aux dispositions de l'article 5 de la convention, les produits
originaires (indiqués au Vl.02.10.03 ci-dessus), échangés directement entre les parties
contractantes, sont accompagnés d'un certificat d'origine délivré par les autorités
compétentes dans chacun des deux pays.
Toutefois, par mesure de simplification, en attendant l'adoption d'un certificat
d'origine uniforme, la justification de l'origine est apportée par une ampliation de la
déclaration d'exportation, dûment visée par les services douaniers du bureau

http://www.douane.gov.ma/rdii/pdf/t6ch02s10.pdf

une convention existe !! le maroc se doit de l'honorer
les difficultés faites par les douaniers marocains ne sont qu'un prétexte

que se soit pour les tapis , électroménager , les dattes . . .etc

hé hé

[Medgasen]

Merci Kenzy pour l article.
et je ne parle pas des dattes aussi overlclocker, le maroc n'importe pas les dattes algériennes mais a oujda y'en a beaucoup, a souk elfallah meme au souk a coté de bab sidi abd elwahab tu reconnais l'endroit overlclocker?
j'étais meme a Benidrar ou les station d'essence de la contreband.

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t'aurais pu voir de ce coté la.

La “liste négative” des produits exclus des avantages accordés dans le cadre de la Zone arabe de libre-échange

une convention existe !! le maroc se doit de l'honorer
les difficultés faites par les douaniers marocains ne sont qu'un prétexte

que se soit pour les tapis , électroménager , les dattes . . .etc

hé hé

Merci Kenzy pour l article.
et je ne parle pas des dattes aussi overlclocker, le maroc n'importe pas les dattes algériennes mais a oujda y'en a beaucoup, a souk elfallah meme au souk a coté de bab sidi abd elwahab tu reconnais l'endroit overlclocker?
j'étais meme a Benidrar ou les station d'essence de la contreband.

oui je connais, ca existe depuis tjr...pour les frontaliers c'est tellement normal que les gens ne font plus la différence entre produit marocain ou algérien....

ils achètent c'est tout...et c'est pareil de l'autre coté aussi...

[Black]

Dans ces histoires de contrebande tout est possible, les produits qui proviennent des deux pays peuvent échapper à tout controle sanitaire et fiscale.

Controle sanitaire:

Les produits qui alimentent la contrebande sont souvent des articles dont la date de péremption est proche. Ils sont transportés dans des conditions épouvantables mais à moindre prix.

Quelques exemples simples:

_ Un producteur de yahourt à Oran qui va exporter sa marchandise par camion frigorifique et la stocker à Oujda dans un entrepot frigorique aura bien plus de charge que le trabandiste qui lui va transporter cette marchandise dans des conditions épouvantables mais qui lui jouera sur un prix plus bas car ses contraintes de charges sont moins importantes.

_ Un producteur peut acheter par exemple 5 tonnes de lait (qu'il intégre à ses charges) est produire par exemple 33 000 yahourtd. Seul 30 000 yahourt se retrouveront sur le marche nationale et 3 000 yahourts (10% de la production) partiront en direction de l'informel en alimentant la contrebande. Pour maquiller ses chiffres le producteur déclarera que les 3 000 yahourt figure comme une perte séche sur sa ligne de production entrainant un déduction d'impôt car cette perte permet de baisser la part des bénéfices.