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viande congelée importée de l’Inde : «Aucun problème d’écoulement»,

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  • viande congelée importée de l’Inde : «Aucun problème d’écoulement»,

    Commercialisation de la viande congelée importée de l’Inde : «Aucun problème d’écoulement», selon Sotracov

    La viande congelée importée de l’Inde par la Société de transformation et de conditionnement des viandes (Sotracov) est d’une bonne qualité et est commercialisée à travers tout le pays.

    Contacté par nos soins, Djahid Zfizef, directeur général de Sotracov affirme que pas moins de 1000 tonnes de viande congelée ont été écoulées rien que durant la première semaine du mois de sacré.
    A la question de savoir si la société qu’il préside n’a pas eu à faire face au problème de commercialisation de cet aliment, surtout que les citoyens ont quelque appréhendé la qualité du produit, notre interlocuteur a tenu à préciser qu’avant même l’arrivé de la viande, 80 grossistes « nous ont fait des commandes d’achat de cette viande ».
    Pour ce qui est de la commercialisation de cette viande, notre interlocuteur a précisé n’avoir eu aucun problème en matière d’écoulement de la marchandise. Une réponse à ceux qui ont appréhendé la qualité de cet aliment. S’agissant du contrôle de cette viande, soulignons qu’outre les déplacement en Inde des responsables des services vétérinaires et techniques et les ingénieurs de contrôle de la qualité de Sotracov, qui se sont assurés sur place de la bonne qualité de la viande, une fois arrivée dans notre pays, cet aliment est soumis à un contrôlé effectué au niveau du port par le service vétérinaire ou phytosanitaire.
    Au terme du contrôle, le produit est renvoyé directement vers le pays d’origine, si bien entendu les services en question constatent que la viande n’était pas conforme aux normes requises. En outre, la viande est contrôlée au niveau de l’institut Pasteur d’Alger avant d’être contrôlée tout le long du circuit de stockage et de distribution par les services vétérinaires de wilaya et les services de la répression des fraudes. Sur un autre plan, le directeur général de Sotracov a fait savoir que « nous avons prévu l’importation de quelque 4000 tonnes de viande congelée », avant de préciser que jusqu’à présent « nous en avons acquis 2800 tonnes ».
    Par ailleurs, le même responsable dit ne pas connaître les raisons à l’origine de la revue à la baisse de la quantité de viande importée, qui est passée de 10 000 tonnée à 500 tonnes. Sur ce point précis, il estime être un opérateur économique et dit ne pas être au courant du pourquoi de cette décision, rappelant que les prix pratiqués varient entre 410 et 560 dinars le kilo.
    Horizons
    Mieux vaut un cauchemar qui finit qu’un rêve inaccessible qui ne finit pas…

  • #2
    alors finalement vous l avez bien mangé

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    • #3
      Ce commerce trés juteux a échappé à la Mafia de l'import import, c'est eux qui sont derrière cette campagne de dénigrement, on a fait beaucoup de bruit sur cette viande , mais on a pas murmurer un mot concernant la pomme de terre transgénique destinée aux ports, importée du Canada par un un importateur vereux il y a deux ans .:22:
      Faute de grives , nous mangeons des Merles

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      • #4
        Je ne comprends pas pourquoi votre gouvernement importe de la viande indoue!!! Il n'y a pas qlq jours vos journalistes disent que l'Oriental marocain est inondé par le lait des vaches algériennes.
        Vos vaches ne donnent pas de veaux qui peuvent être engraissés!!
        Sont-elles stériles?

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        • #5
          Je ne comprends pas pourquoi votre gouvernement importe de la viande indoue!!! Il n'y a pas qlq jours vos journalistes disent que l'Oriental marocain est inondé par le lait des vaches algériennes.
          Vos vaches ne donnent pas de veaux qui peuvent être engraissés!!
          Sont-elles stériles?
          C'est souvent ce genre d'incohérence qui me fait douter des chiffres algériens.

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          • #6
            Il n'y a pas qlq jours vos journalistes disent que l'Oriental marocain est inondé par le lait des vaches algériennes.
            Vos vaches ne donnent pas de veaux qui peuvent être engraissés!!
            Les vaches, selon leur race, sont élevées pour le lait ou pour la viande (quelques fois pour les deux). Celles qui longent les frontières d'avec l'oriental appartiennent à la première race

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            • #7
              est ce que cette viande est HALAL..........?????????

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              • #8
                aprés une greve d'un jour les vendeurs de viande on était obligé de la vendre malgré eux halal ou pas tout le monde a mangé par nécessité et une obligation en plus

                vive l'injustice du colonialisme que la liberté de notre indépendance

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                • #9
                  Je ne comprends pas pourquoi votre gouvernement importe de la viande indoue!!! Il n'y a pas qlq jours vos journalistes disent que l'Oriental marocain est inondé par le lait des vaches algériennes.
                  Vos vaches ne donnent pas de veaux qui peuvent être engraissés!!
                  Sont-elles stériles?
                  pour t'informer les vaches les anes les mulets les moutons tout ça et exporté par les contrebandiers vers le maroc a l'ouest et vers la tunisie a l'est et les dirigeants de ce trafic sont nos responssables qui le font en couvrant tout trafiquant dans n'importe quel domaine

                  et j'ai oublié les chameaux et les dromadaires aussi

                  voila la vérité mon frère et sans partis pris

                  Commentaire


                  • #10
                    donc ce que les marocains prennent pour de la bonne viande bovine n'est autre que de la vache laitière algérienne l'ham charef quoi

                    a combien est vendu le 3ajel algérien au maroc?

                    pour l'agneau algérien je sais, il n y a que ca à oujda
                    « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

                    Commentaire


                    • #11
                      a combien est vendu le 3ajel algérien au maroc? (bldard)

                      ______________

                      et celui de "amitabacher", combien ils vous vendent cette viandes indienne. ne sentez-vous pas un changement dans les cordes vocales et un sentiment de plus fort que toi de vouloir chanté hindou!!!!

                      Commentaire


                      • #12
                        mieux acheter hindou que sa :



                        Jeudi 9 Septembre 2010

                        Webmaster



                        Par Majdoulein El Atouabi

                        Consommation. “Du hallouf made in Morocco”


                        La plupart des souches de porcs
                        élevées au Maroc sont héritées
                        de l’époque du protectorat.
                        (DR)

                        Depuis dix ans, le nombre d’élevages porcins au Maroc s’est réduit comme une peau de chagrin. La baisse continue des droits de douane sur l’importation de viande porcine pourrait bientôt sonner le glas du porc “made in Morocco”.

                        L’information peut étonner, mais il y a bel et bien des fermes spécialisées dans l’élevage du porc au Maroc. Et pour cause : aucune loi ne l’interdit et, hormis les exigences d’hygiène et de salubrité publiques, l’activité n’est soumise à aucune condition particulière !

                        Dans les environs des anciens abattoirs de Casablanca, cette
                        information n’en est même pas une. “Des élevages de cochon ? Et alors !”, fulmine Saïd, un vendeur de fourrage, qui compte parmi sa clientèle quelques éleveurs de “hallouf”. “Il y en a toujours eu et, heureusement pour moi, il en existe encore. Mais ces dernières années, leur nombre a beaucoup baissé”, affirme-t-il entre deux gorgées de thé à la menthe. Nous sommes sur la terrasse du café de l’haj Abdellah, faisant face aux anciens abattoirs, point de rencontre d’une faune composée essentiellement de bouchers et de chevillards. À côté de Saïd, un vieil homme opine du chef, avant de lancer sur un ton presque nostalgique: “Il fut un temps où l’on tuait plus de cochons que de moutons ou de veaux dans ces abattoirs”.

                        Médiouna, ex-capitale du porc
                        Le temps dont parle ce boucher à la retraite est celui du protectorat. À cette époque, le Maroc comptait plus d’un millier d’élevages porcins. La capitale du porc marocain était alors la région de Médiouna, dans la proche banlieue de Casablanca. “Et il n’était pas rare de trouver quelques fermes à l’intérieur du périmètre urbain, notamment dans l’actuel quartier du CIL et même au Mâarif”, ajoute-t-il. Aujourd’hui, d’après les chiffres de la direction de l’élevage à Rabat, il n’en resterait que six, éparpillés entre Casablanca et Agadir. La plupart sont des fermes héritées justement de l’ère du protectorat. “Depuis cette période, il n’y a eu aucune importation de bêtes vivantes. Du coup, la quasi-totalité des porcs élevés au Maroc sont de purs produits locaux”, précise ce cadre du ministère de l’Agriculture, avant de poursuivre : “Récemment, nous avons reçu des demandes de plusieurs investisseurs étrangers intéressés par l’élevage porcin, et donc par l’importation de porcs vivants au Maroc. Ils sont toujours étonnés de savoir qu’il n’existe aucune restriction légale concernant ce genre de produits”. L’intérêt des investisseurs étrangers s’explique, selon notre source, par la hausse constante des importations marocaines de viandes porcines. C’est ainsi qu’en 2006, plus de 212 tonnes en ont été introduites au Maroc, soit une hausse de l’ordre de… 3000 % par rapport à l’année 2005 (où les importations ne dépassaient guère les 7 tonnes) ! Ceci sans compter les produits de charcuterie, plus difficiles à définir à cause de leurs ingrédients d’origines diverses. Mais au lieu de pousser au développement de l’élevage local, l’explosion du marché a plutôt aggravé sa déconfiture, accélérant, depuis une dizaine d’années, ce qui ressemble à une disparition programmée. “Jusqu’en 2000, le Maroc comptait encore une vingtaine de fermes porcines. Aujourd’hui, il n’en subsiste que deux à Casablanca et quatre à Agadir. Et elles n’abritent à elles toutes qu’un total de 4000 bêtes”, affirme Xavier Bartoli, propriétaire de deux élevages porcins à Casablanca et à Agadir. La production locale plie sous les coups de boutoir de la concurrence des produits importés, de celle de la charcuterie halal, “mais surtout d’une vertigineuse baisse des prix initiée par certains éleveurs”, précise-t-il.

                        À 35 dirhams le kilo, au prix de gros, le cours de la viande porcine est en effet descendu à des niveaux plancher. De quoi pousser plusieurs éleveurs à se reconvertir dans des métiers plus conventionnels, tels l’élevage de poulet, de mouton ou de veau. Parmi eux, L’haj El Mehdi, un Soussi pur jus qui déclare, un peu embarrassé : “Ce n’est plus aussi rentable que dans le passé. Et surtout, il est pour moi temps de travailler dans le halal”.

                        Un métier comme les autres
                        Halal ou haram ? La question ne se pose pas pour Saïd. “C’est un travail comme un autre. Le vrai péché, c’est de rester chez soi, les bras croisés, à attendre l’aumône”, grommelle-t-il. La même opinion prévaut parmi la multitude d’employés qui travaillent dans cette filière, et dont la plupart exercent le métier de père en fils. “Je n’emploie que des Marocains dans mes deux fermes. Et même dans les abattoirs, les porcs sont exclusivement tués par des bouchers marocains”, confirme Xavier Bartoli. Pour autant, les porcs “made in Morocco” ont droit à “des aires spécialement aménagées au sein des abattoirs de Casablanca et d’Agadir, explique notre source au ministère de l’Agriculture. Vu la sensibilité de la question, on a préféré les séparer des autres espaces d’abattage”. Dans ces aires d’abattage, une moyenne de dix cochons sont tués chaque semaine à Casablanca. Le reste, soit la grande majorité, sont traités dans les abattoirs d’Agadir, qui totalisent une moyenne de 200 bêtes par mois. Avec une moyenne de cent kilos par bête, le compte est vite fait : la viande porcine produite et écoulée chaque année au Maroc atteint les 48 tonnes à Casablanca et 240 à Agadir, soit un total de 288 tonnes par an.

                        Une petite partie de cette production est écoulée dans le réseau de charcuteries locales. Le reste est absorbé par les deux usines de transformation de viandes porcines qui existent au Maroc, mais surtout par les établissements hôteliers du pays. “Les hôtels sont les premiers clients des éleveurs marocains. Ce n’est d’ailleurs pas un hasard si la majorité des élevages et des abattages sont actuellement concentrés à Agadir, destination touristique par excellence”, explique Xavier Bartoli. Mais au-delà du classique jambon qui hante l’imaginaire populaire, les produits des élevages porcins servent à des usages aussi variés qu’insoupçonnés. Ainsi, les boyaux de ces bêtes “impures” sont parfois utilisés pour la fabrication de fil médical ou de cordages de raquettes de tennis. Leur peau sert également dans la confection de chaussures ou d’habits en cuir. Quant à l’albumine et la gélatine extraites du porc, elles sont respectivement utilisées comme ingrédients dans la viticulture et la pâtisserie. Mais malgré ces nombreux débouchés, on ne peut pas dire que le porc marocain soit en bonne santé : la filière demeure en effet très marginale et tout indique qu’elle le sera de plus en plus dans l’avenir. “En 2010, lorsque les barrières douanières seront complètement levées, la production locale subira de plein fouet la domination des produits importés”, prédit, pessimiste, Xavier Bartoli. Déjà, les droits sur l’importation de viande porcine viennent de passer de 75% en 2006, à 40%. Les jours du porc marocain sont-ils comptés ?



                        Elevage. Halal ou Haram ?

                        S’il ne fait aucun doute sur l’interdiction par la loi musulmane de la consommation de la viande porcine, une certaine incertitude subsiste sur le statut de l’élevage de porc. Celle-ci est balayée catégoriquement par Lahcen Aït Belaïd, jurisconsulte et imam rendu célèbre par ses prêches radiophoniques sur la station Casa FM. “Il ne fait aucun doute que le porc est considéré comme un animal impur par la religion musulmane, tranche le théologien des ondes, pourtant connu pour son ouverture d’esprit. Et, sauf cas de force majeure ou de nécessité absolue, une famine par exemple, son élevage, mais également le maniement de sa viande, sont clairement proscrits”. Un avis que partagent la quasi-totalité des oulémas marocains, dont certains ont opposé leur veto religieux à l’installation d’une grande usine de transformation de viandes porcines dans la région d’Ifrane, dans les années 90. Cet investissement, projeté par un groupe danois, l’un des leaders mondiaux du secteur, allait pourtant générer quelques centaines d’emplois directs. Le religieusement correct est sauf… et tant pis pour les jeunes (et nombreux) chômeurs de la région !


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                        Dernière modification par ahmed67, 10 septembre 2010, 03h41.
                        Souviens toi le jour où tu es né tout le monde riait mais toi, tu pleurais, la vie est éphémère
                        alors œuvre de telle façon… à ce qu’au jour ou tu mourras, tout le monde pleurera… mais toi… tu riras

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                        • #13
                          a combien est vendu le 3ajel algérien au maroc?

                          pour l'agneau algérien je sais, il n y a que ca à oujda




                          qui t'as dit qu'il n'y a que l'agneau algérien à Oujda?

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