Bonsoir, ce n'est plus l'argent qui manque en Algerie, c'est les entreprises locales, une solution pamis d'autres les 3X8.
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Le plan de soutien à la croissance économique risque de marquer le pas, faute d’entreprises. Dans la wilaya de M’sila, l’inquiétude sourde. Les grandes réalisations, programmées dans le cadre des projets de développement de la wilaya, ainsi que les travaux projetés dans les communes déshéritées, ne trouvent pas preneurs auprès des entreprises qui préfèrent s’occuper de chantiers, plus faciles à mener à leur terme et moins contraignants. Selon la direction de l’habitat de la wilaya, plusieurs projets importants n’ont pu être lancés, notamment le nouveau pôle universitaire dont une partie, seulement, est en chantier, atteignant un taux de réalisation de 25%, sur les 26 autres marchés de cet ensemble, qui attendent de démarrer.
Par ailleurs, l’APS a appris que les services de planification de la wilaya ont indiqué que les secteurs de la formation professionnelle, de la jeunesse et des sports, de la construction et l’habitat, n’ont pas trouvé de soumissionnaires. Des entrepreneurs révèlent que certains projets, plus faciles à réaliser, sont nettement plus rentables que les gros ouvrages exigeant davantage de temps et posant plus de problèmes techniques. Le nombre important de projets inscrits dans le cadre du fonds de développement des Hauts Plateaux, devrait, en outre, accroître la demande en entreprises.
Ce qui est vrai pour cette wilaya est vraisemblablement une réalité pour les 47 autres. Si, pour les grands ouvrages, il sera fait appel aux grands groupes de BTP mondiaux, pour ceux de moindre importance, la pénurie d’entreprises risque de remettre en cause bien des projets, pourtant nécessaires à l’amélioration du cadre de vie des citoyens.
Pour les entreprises qui souhaitent augmenter leurs capacités de production, le financement bancaire se fait désirer. Les couacs qui existent entre les différents acteurs, risquent, une fois de plus, de retarder de manière durable le projet ambitieux de transformer l’économie algérienne de rentière à productive.
L’entreprise n’est pas encore au cœur des préoccupations. Elle est pourtant le moteur de toute économie.
http://www.latribune-online.com/1603/economie.htm
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Le plan de soutien à la croissance économique risque de marquer le pas, faute d’entreprises. Dans la wilaya de M’sila, l’inquiétude sourde. Les grandes réalisations, programmées dans le cadre des projets de développement de la wilaya, ainsi que les travaux projetés dans les communes déshéritées, ne trouvent pas preneurs auprès des entreprises qui préfèrent s’occuper de chantiers, plus faciles à mener à leur terme et moins contraignants. Selon la direction de l’habitat de la wilaya, plusieurs projets importants n’ont pu être lancés, notamment le nouveau pôle universitaire dont une partie, seulement, est en chantier, atteignant un taux de réalisation de 25%, sur les 26 autres marchés de cet ensemble, qui attendent de démarrer.
Par ailleurs, l’APS a appris que les services de planification de la wilaya ont indiqué que les secteurs de la formation professionnelle, de la jeunesse et des sports, de la construction et l’habitat, n’ont pas trouvé de soumissionnaires. Des entrepreneurs révèlent que certains projets, plus faciles à réaliser, sont nettement plus rentables que les gros ouvrages exigeant davantage de temps et posant plus de problèmes techniques. Le nombre important de projets inscrits dans le cadre du fonds de développement des Hauts Plateaux, devrait, en outre, accroître la demande en entreprises.
Ce qui est vrai pour cette wilaya est vraisemblablement une réalité pour les 47 autres. Si, pour les grands ouvrages, il sera fait appel aux grands groupes de BTP mondiaux, pour ceux de moindre importance, la pénurie d’entreprises risque de remettre en cause bien des projets, pourtant nécessaires à l’amélioration du cadre de vie des citoyens.
Pour les entreprises qui souhaitent augmenter leurs capacités de production, le financement bancaire se fait désirer. Les couacs qui existent entre les différents acteurs, risquent, une fois de plus, de retarder de manière durable le projet ambitieux de transformer l’économie algérienne de rentière à productive.
L’entreprise n’est pas encore au cœur des préoccupations. Elle est pourtant le moteur de toute économie.
http://www.latribune-online.com/1603/economie.htm
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