Critiquer les plans sectorielles, c'est critiquer le mobilisme.
A quoi bon sert de discuter et rediscuter de l'élargissement de la filière oléoculture? ou à saisir l'opportunité des centres d'appel? ou alors à saisir les opportunités liés à la conjoncture du monde de la mécanique?
La ruineuse politique des barrages? je me demande ce que propose Mr. Akesbi pour un pays ou la pluviométrie est très aléatoire.
Dois-je rappeler à Mr. Akesbi que grace à ces barrages, on a pu limiter l'impact des innondations, notamment dans le Gharb, le Sous et la Chaouia ..
C'est bien de penser efficacité et de dire que le choix de la tomate ou des oranges n'étaient pas pertinents .. mais je propose à Mr. Akesbi de remonter si peu l'histoire est remarquer la galère des Gharbaouis avant qu'on construise ce grand barrage qu'est Al wahda.
Voilà les deux points ou je ne partage absolument pas la vision de Mr. Akesbi. Pour le reste, je le rejoins totalement sur le conflit de pouvoir économique qui fait que le roi se retrouve privilégié sur tous les secteur.
A quoi bon sert de discuter et rediscuter de l'élargissement de la filière oléoculture? ou à saisir l'opportunité des centres d'appel? ou alors à saisir les opportunités liés à la conjoncture du monde de la mécanique?
La ruineuse politique des barrages? je me demande ce que propose Mr. Akesbi pour un pays ou la pluviométrie est très aléatoire.
Dois-je rappeler à Mr. Akesbi que grace à ces barrages, on a pu limiter l'impact des innondations, notamment dans le Gharb, le Sous et la Chaouia ..
C'est bien de penser efficacité et de dire que le choix de la tomate ou des oranges n'étaient pas pertinents .. mais je propose à Mr. Akesbi de remonter si peu l'histoire est remarquer la galère des Gharbaouis avant qu'on construise ce grand barrage qu'est Al wahda.
Voilà les deux points ou je ne partage absolument pas la vision de Mr. Akesbi. Pour le reste, je le rejoins totalement sur le conflit de pouvoir économique qui fait que le roi se retrouve privilégié sur tous les secteur.
Commentaire