Dans le cadre de reconvertir une partie de la dette algérienne en investissements.
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La décision de reconvertir une partie de la dette algérienne en investissements a été entérinée. 30 millions d’euros seront reconvertis. L’annonce a été faite par l’attachée commerciale de l’ambassade d’Espagne en Algérie. Mme Maria Jésus Vidal intervenait hier lors d’une rencontre entre hommes d’affaires algériens et catalans.
Une quinzaine d’industriels intervenant dans des domaines aussi bien de l’agroalimentaire, la construction, le transport aérien et maritime ont fait le déplacement à Alger pour se convaincre que le climat d’affaires en Algérie est favorable. C’est le représentant de la Chambre algérienne de commerce et d’industrie (CACI) qui s’est chargé de leur expliquer que le cadre législatif favorisait l’installation d’investisseurs. Même son de cloche de M. Benhamdi, directeur de l’investissement auprès du ministère des Participations. Aux investisseurs potentiels, il dira que l’orientation économique de l’Algérie est de plus en plus claire. L’administration a été instruite afin que «toutes les entraves bureaucratiques soient levées», dira-t-il, assurant que la banqueroute de Khalifa Bank ne devrait pas alimenter les craintes. «L’ensemble des opérations financières sont sous contrôle. Les banques qui ne remplissent pas l’ensemble des conditions ne peuvent pas exercer. Les dépassements ne seront plus permis.» Autant d’assurances qui visent à lever les craintes des hommes d’affaires. Ces mêmes arguments ont été développés par Mme Maria Jésus Vidal qui a tenu à rappeler que l’Algérie était un pays prioritaire dans la politique économique espagnole. L’Espagne est d’ailleurs dépendante de l’Algérie à hauteur de 96% en matière d’approvisionnement en gaz. La région catalane représente à elle seule 35% de l’ensemble des échanges commerciaux entre les deux pays. L’Espagne ambitionne de renforcer sa position en Algérie en diversifiant son champ d’intervention en dehors des hydrocarbures. Pour ce faire, pas moins de 1,2 million d’euros ont été consacrés l’année dernière à l’organisation de rencontres avec un seul objectif : inciter les industriels à venir en masse en Algérie. Une cause qu’épouse la Chambre algérienne de commerce et d’industrie qui est à l’origine de la rencontre d’hier.
- Le soir d'Alerie
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La décision de reconvertir une partie de la dette algérienne en investissements a été entérinée. 30 millions d’euros seront reconvertis. L’annonce a été faite par l’attachée commerciale de l’ambassade d’Espagne en Algérie. Mme Maria Jésus Vidal intervenait hier lors d’une rencontre entre hommes d’affaires algériens et catalans.
Une quinzaine d’industriels intervenant dans des domaines aussi bien de l’agroalimentaire, la construction, le transport aérien et maritime ont fait le déplacement à Alger pour se convaincre que le climat d’affaires en Algérie est favorable. C’est le représentant de la Chambre algérienne de commerce et d’industrie (CACI) qui s’est chargé de leur expliquer que le cadre législatif favorisait l’installation d’investisseurs. Même son de cloche de M. Benhamdi, directeur de l’investissement auprès du ministère des Participations. Aux investisseurs potentiels, il dira que l’orientation économique de l’Algérie est de plus en plus claire. L’administration a été instruite afin que «toutes les entraves bureaucratiques soient levées», dira-t-il, assurant que la banqueroute de Khalifa Bank ne devrait pas alimenter les craintes. «L’ensemble des opérations financières sont sous contrôle. Les banques qui ne remplissent pas l’ensemble des conditions ne peuvent pas exercer. Les dépassements ne seront plus permis.» Autant d’assurances qui visent à lever les craintes des hommes d’affaires. Ces mêmes arguments ont été développés par Mme Maria Jésus Vidal qui a tenu à rappeler que l’Algérie était un pays prioritaire dans la politique économique espagnole. L’Espagne est d’ailleurs dépendante de l’Algérie à hauteur de 96% en matière d’approvisionnement en gaz. La région catalane représente à elle seule 35% de l’ensemble des échanges commerciaux entre les deux pays. L’Espagne ambitionne de renforcer sa position en Algérie en diversifiant son champ d’intervention en dehors des hydrocarbures. Pour ce faire, pas moins de 1,2 million d’euros ont été consacrés l’année dernière à l’organisation de rencontres avec un seul objectif : inciter les industriels à venir en masse en Algérie. Une cause qu’épouse la Chambre algérienne de commerce et d’industrie qui est à l’origine de la rencontre d’hier.
- Le soir d'Alerie
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