Bonjour, Dubai Holding abrite une vingtaine de filialles, entreprise de statut publique, elles est géré comme une multinationale à l'Américaine, capitalisme d'état ne veut pas dire médiocratie dans cette partie du monde.
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Achat de 35 % de Tunisie Télécom, investissements massifs au Maroc… Le groupe émirati poursuit son irrésistible expansion.
Le 29 mars 2006 aura été un jour faste pour la Tunisie et le Maroc. Un peu plus de 3 milliards de dollars (3,052) en cash pour l’achat, par Dubai Technology, Electronic Commerce & Media Free Zone/Dubai Investment Group (Tecom/Dig), de 35 % de l’opérateur national Tunisie Télécom (voir J.A. n° 2360). Le même jour, 12 milliards de dollars sont engagés au Maroc par Dig et sa branche immobilière, Dubai International Properties (Dip), en présence du roi Mohammed VI, en vue de la réalisation d’un programme immobilier dans les cinq prochaines années, en partenariat avec deux sociétés marocaines : la Caisse de dépôt et de gestion (CDG) et SABR Management. Parmi les projets, celui des « Dubai Towers », à Casablanca. Coût estimé : 600 millions de dollars. Le complexe comprendra un hôtel, deux tours, dont une à usage de bureaux, des immeubles résidentiels, des commerces et des loisirs. Toujours à Casablanca, la Marina coûtera quelque 500 millions de dollars. À Rabat, le projet Amweej nécessitera un investissement de 2 milliards de dollars pour la construction sur les rives du Bouregreg d’un complexe touristique, résidentiel et d’affaires.
Tecom, Dig, ou Dip ne sont que des filiales. Derrière eux, deux noms : Dubai Holding et Cheikh Mohamed Ibn Rachid al-Maktoum, émir de Dubaï, vice-président et Premier ministre des Émirats arabes unis (EAU). C’est une entreprise de statut public, que l’on dit chargée aussi de faire fructifier la fortune de la famille régnante des Maktoum.
La suite...
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Achat de 35 % de Tunisie Télécom, investissements massifs au Maroc… Le groupe émirati poursuit son irrésistible expansion.
Le 29 mars 2006 aura été un jour faste pour la Tunisie et le Maroc. Un peu plus de 3 milliards de dollars (3,052) en cash pour l’achat, par Dubai Technology, Electronic Commerce & Media Free Zone/Dubai Investment Group (Tecom/Dig), de 35 % de l’opérateur national Tunisie Télécom (voir J.A. n° 2360). Le même jour, 12 milliards de dollars sont engagés au Maroc par Dig et sa branche immobilière, Dubai International Properties (Dip), en présence du roi Mohammed VI, en vue de la réalisation d’un programme immobilier dans les cinq prochaines années, en partenariat avec deux sociétés marocaines : la Caisse de dépôt et de gestion (CDG) et SABR Management. Parmi les projets, celui des « Dubai Towers », à Casablanca. Coût estimé : 600 millions de dollars. Le complexe comprendra un hôtel, deux tours, dont une à usage de bureaux, des immeubles résidentiels, des commerces et des loisirs. Toujours à Casablanca, la Marina coûtera quelque 500 millions de dollars. À Rabat, le projet Amweej nécessitera un investissement de 2 milliards de dollars pour la construction sur les rives du Bouregreg d’un complexe touristique, résidentiel et d’affaires.
Tecom, Dig, ou Dip ne sont que des filiales. Derrière eux, deux noms : Dubai Holding et Cheikh Mohamed Ibn Rachid al-Maktoum, émir de Dubaï, vice-président et Premier ministre des Émirats arabes unis (EAU). C’est une entreprise de statut public, que l’on dit chargée aussi de faire fructifier la fortune de la famille régnante des Maktoum.
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