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Nanotechnologie : Le Maroc sera doté d'un pôle industriel de haute technologie

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  • #16
    il y a des tas de domaines ou la course technologique est engagée.a coté des nanotechnologies il y aussi le genie genetique et la lutte avec monsanto et les groupes pharmaceutiques.bravo au maroc de développer cette culture de la recherche et de l'innivation.

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    • #17
      Nanotechnologies : voyage dans le nanomonde

      Nanotube en carbonne 100 fois plus solide que l'acier et 7 fois plus léger, qui dit mieux, imaginez un char T90 de fabrication algérienne en nanotube de carbone.
      -------------------------------------------------------------------------
      vidéo de la conférence.
      http://www.cite-sciences.fr/francais...at/accueil.htm
      Dernière modification par zek, 27 avril 2006, 17h38.
      Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

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      • #18
        Cluster industriel DES Micro-Nano-Biotechnolgies : Une technopole « embarquée » au Maroc par le génie de nos MRE
        B.M
        24 Avril 2006


        La première séquence du projet s’est jouée à Rabat, le vendredi 21 avril. Des MRE talentueux, inventeurs, innovants et mondialement connus, conduisent cette mission unique dans le genre sous le pilotage du Dr Hoummady Moussa. Rendez-vous a été pris en juillet pour étudier le lancement du projet de cluster dédié aux nanotechnologies.


        Dr Hoummady Moussa, PDG de Nanobiogène et chercheur permanent au CNRS


        Roland Bernard, Directeur Advanced Systems & New Business Development d’Alcatel.

        "Mon ambition est de tout mettre en œuvre pour que ce projet réussisse afin de hisser le Maroc à l’échelle des formations technologiques émergentes au plan international à l’instar de la Chine et de l’Inde», a insisté le chercheur marocain permanent du CNRS français qui a étonné le monde de la science, de la recherche, des entreprises et des universités, notamment parmi les nations leaders en la matière, USA, Japon et Europe. Ses travaux ont été très remarqués à l’Université de Tokyo où le PDG de Nanobiogène a implanté un laboratoire de nanotechnologie et y a installé un autre pour le compte du CNRS de la France, avant d’entreprendre au Canada où il fonda une société de génomique financée par des investisseurs du pays après que ses projets industriels dans l’Hexagone, à ce moment-là, n’eurent pas abouti à cause de la réticence des Français. Ce n’était que partie remise puisqu’en 2002, à son retour en France, il put créer, à Besançon considérée comme la «Mecque de l’horlogerie» sa propre société Nanobiogène, référence exclusive en la matière dans l’Hexagone, dans le continent européen et probablement ailleurs aussi. La découverte révolutionnaire du scientifique marocain a laissé pantois tous les centres R&D du monde et les start-up qui ne s’étaient pas encore aventurés dans ce sillage des technologies de la miniaturisation à outrance, de l’infiniment petit, des mondes invisibles de la matière où, paradoxalement, on y a découvert des espaces insoupçonnés jusque-là. Pour mieux comprendre, sachez que la nanotechnologie (la mesure nanométrique fonctionne au milliardième de mètre) a chamboulé l’univers des instrumentations toutes catégories dont les coûts ont été considérablement baissés pour plus d’efficience et de valeur ajoutée. Cette branche de la technologie nanométrique, pour se faire une idée de l’impact délirant des progrès attendus, devrait générer dans le monde, au bas, un chiffre d’affaires de plus de 1000 milliards de dollars à l’horizon 2015.
        C’est que la présentation des sociétés en démonstration à la journée d’études de Rabat a laissé l’assistance bouche bée devant le très haut niveau des talents marocains et autres conduisant la mission d’implantation d’un cluster industriel dédié aux nanotechnologies dans le Royaume. Cette initiative est pleine de volonté de la part de nos promoteurs du cluster qui sont déterminés à hisser le Maroc au niveau des grandes puissances technologiques dans le secteur des nanotechnologies. Et ce n’est guère un slogan de circonstance puisque le ministre Mezzouar et la Secrétaire général du Département de la Recherche Scientifique ont été saisis d’étonnement, agréablement surpris qu’ils furent de découvrir un domaine inédit dans le Royaume où nos MRE excellent. Et ce n’est pas autant un voeu pieux puisque parmi les marchés demandeurs des sociétés du genre pilotées par nos génies du terroir figurent les plus grands de ce monde, que ce soient les Américains, les Japonais ou encore les Européens. Le mérite de nos champions de l’innovation technologique est d’autant plus grand que, dans le cas d’espèce, ce sont les PME qui attirent vers elles les grands groupes et multinationales de la planète alors qu’habituellement c’est le contraire qui se produit. Et que dire de cette réaction étrangement dissonante d’un professeur marocain universitaire exerçant dans un laboratoire de recherche qui s’est offusqué de n’avoir pas encore entendu décliner le projet de cluster au Maroc alors que tout a été dit auparavant. Une crainte cependant : ce projet de création d’un pôle industriel des nanotechnologies au Maroc aboutira-t-il ?

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        • #19
          Nanotechnologies et pays en voie de développement

          ça donne envie de reprendre ses études,et de faire un doctorat en physique
          vu que c'est un marche de 1000 milliards de dollars en 2012.

          http://www.futura-sciences.com/news-...ement_6095.php

          Une étude du Centre de Bioéthique de l'Université de Toronto se penche - pour la première fois - sur l'apport potentiel des nanotechnologies pour les pays en voie de développement.

          Une soixantaine d'experts internationaux ont ainsi classé par ordre d'importance décroissante les applications les plus prometteuses pour ces pays :

          1. Production, stockage et transformation d'énergie
          2. Amélioration de la productivité agricole
          3. Traitement de l'eau
          4. Diagnostic médical
          5. Systèmes de distribution de médicaments
          6. Production et stockage de la nourriture
          7. Traitement de la pollution de l'air
          8. Construction
          9. Suivi médical
          10. Désinsectisation


          Intuitivement, on aurait pu penser que les apports des technologies en matière d'eau et de nourriture sont plus essentiels, mais le résumé des résultats de l'étude explique plus précisément les enjeux et le potentiel de différentes technologies.

          L'étude souligne par ailleurs que plusieurs pays émergents ont entrepris des recherches en matière de nanotechnologie, notamment l'Inde, le Brésil, l'Afrique du Sud, la Thaïlande ou les Philippines. Le rapport estime qu'une initiative globale et internationale pour soutenir et développer la nanotechnologie dans les pays émergents serait nécessaire.

          Il rappelle également qu'en nombre de brevets (relatifs à la nanotechnologie) déposés, la Chine se classe en 3e position, derrière les Etats-Unis et le Japon.

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          • #20
            Salam

            Une amie marocaine qui étudie à l'école de Micro Electronique de Lille m'a parlée de ce projet d'ailleurs des profs marocains de cette école et le ministére français de l'éducation nationale envisage de mettre en place une école similaire à Rabat dans ce futur parc technologique.

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